Fatras de nouvelles diverses...

La pouf qui trouvait que le problème technique d'Orange, c'était "l'apocalypse", verra avec la réalité de la crise qui s'annonce, que c'était un clapotis.
Je me rappelle d'une autre pouf sur le campus de la Sorbonne, en 2005. 4 heures à parler à sa copine, pour dire des choses d'une insignifiance absolue et totale (et saoûler tout ceux qui étaient à proximité). 

Là était la vraie apocalypse...

Le problème réside, en fait, dans le collapsus d'un réseau, qui risque d'en entraîner bien d'autres, en ayant pas, comme l'URSS, le culte du stock tellement profond qu'on en voit jamais le bout.

Et puis, on peut se poser finalement une question sur l'utilité profonde du portable.

Les activités liés au portable, sont très diverses, on peut citer, par exemple, la distribution d'eau, et c'est l'exemple type.
Une rupture dans ce type d'activité serait immédiatement ravageuse.

Par ce qu'on ne peut pas s'en passer.

Pour bien des autres, ce sera une désintoxication et un sevrage, donc un bénéfice. Le blabla, ce n'est pas vital. 

On s'en est bien passé pendant des dizaines de milliers d'années, on s'en passera encore.

Mais le vrai problème que cela pose est la possibilité de collapsus de réseaux de plus en plus complexes et imbriqués, et de moins en moins réparables, car pour la maintenance, il faut pouvoir arrêter...

Les réseaux d'eaux, d'électricité, sont les deux plus vitaux, car ils concernent le besoin le plus vital à court terme, s'abreuver.

Car, sans électricité, pas d'eau non plus...

La société est dans une fuite sans fin, une spirale. Elle doit revenir à des choses plus rustiques, comme les "manoeuvres du millénaire", au début des années 2000. Le "mauvais camp", avait gagné, et les manoeuvres avaient été interrompu, "passqueuh", les méchants, ils communiquaient par courriers, à pied, à cheval, en voiture et appels de muezzin, et qu'ils avaient mis tout le reste à la poubelle.

La preuve ultime étant dans la pelle occidentale en Afghanistan. Les mals peignés et mal lavés, avec un armement rustique, ont gagné contre la technologie.

La France désormais, emprunte à taux négatif, et cela en étonne pas mal. En réalité, c'est tout à fait basique à comprendre.

Le centre du monde, ce sont les USA, et en Europe, le centre, c'est la France et l'Allemagne. Sans eux, ni euro, ni construction européenne n'existe. Quelque soit la situation propre de la France, si la France tombe, c'est le monde entier qui tombera.

C'est un morceau trop gros. Elle tombera, mais quand tombera le centre.

Mais il faut bien se dire que prêter, à taux négatif, ça reléve de la psychiatrie. En effet, où est l'intérêt, dans tous les sens du terme ???

Autant garder l'argent dans un coffre !

Après, on nous dit que la dette est un problème ? Avec la crise de la dette, l'Allemagne a gagné pas loin de 50 milliards d'euros, par baisse des taux...

Aux USa, on parle de crise des subprimes pour les prêts étudiants. A son époque, G W Bush interdit que les prêts étudiants soient concernés par une faillite personnelle.
Totale, aujourd'hui, c'est une crise encore plus grave qui s'annonce...
Il faut dire que les frais d'université n'en étaient pas vraiment. Les prêts, accordés avec la garantie fédérale n'étaient jamais honorés, les étudiants faisant faillite dés la fin de leurs études...

...

Comments

[Feelgood]

Et si la panne de Orange n'était qu'une "expérience" pour connaitre les réactions des clients ?
La société devient elle un laboratoire d'expérience de toutes les imaginations de nos élites ? (Grêce, mesures d'austérité, panne informatique dans les banques, coupures d'électicité, coupures
d'internet, du téléphone fixe et mobile etc...)

Refléchisez y deux fois....

[finvaparaiso]

JORION vient de se faire saucissonner : il vient d'obtenir une chaire à l'université libre de bruxelles .les neo liberaux savent y faire lorsqu'il veulent faire taire quelqu'un ,quand bien même il
ne représente pas un grand risque

[BA]

Mardi 10 juillet 2012 :

Zone euro : stabiliser ou scinder (Wolfgang Schäuble).

"La zone euro risque de se retrouver dans une situation délicate si rien n'est fait pour stabiliser le bloc monétaire qui risque d'éclater", a déclaré ce soir le ministre allemand des Finances
Wolfgang Schäuble, devant la Cour constitutionnelle de Karlsruhe.

Cette dernière a décidé mardi d'examiner des plaintes déposées par des opposants à la ratification par Berlin des textes validant la création de deux outils destinés à enrayer la crise de la dette
souveraine de la zone euro.

"L'alternative à la stabilisation de la zone euro est de la scinder, avec des conséquences difficiles à prévoir", a-t-il dit.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/07/10/97002-20120710FILWWW00611-zone-stabiliser-ou-scinder-schuble.php

[triton]

https://triton95.wordpress.com/2012/07/10/les-cassandre-rates/

oui, nous les ancêtres on réagit de la même manière à toutes ces nouvelles "diverses"

[BA]

Mario Monti commence à préparer les esprits : l'Italie pourrait être intéressée par l'intervention des fonds de sauvetage de la zone euro.

Mardi 10 juillet 2012 :

L'Italie a évoqué mardi la possibilité de solliciter l'aide de la zone euro pour faire baisser ses coûts d'emprunt, tandis que l'Espagne a obtenu un sursis supplémentaire d'un an pour ramener son
déficit dans les clous.

Le président du Conseil italien, Mario Monti, a dit que Rome pourrait être intéressée par un recours aux fonds de sauvetage de la zone euro, afin d'obtenir un soutien au marché obligataire réservé
aux pays qui respectent leurs engagements européens et qui ne font pas l'objet d'une surveillance externe.

"Il serait périlleux de dire que l'Italie n'emploiera jamais ce mécanisme", a-t-il dit à l'occasion de la réunion des ministres des Finances de l'Union européenne (Ecofin) à Bruxelles. "L'Italie
pourrait être intéressée".

http://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRPAE8690G020120710?pageNumber=1&virtualBrandChannel=0

Rappel :

La dette publique italienne a atteint un nouveau record en avril 2012, à 1949 milliards d'euros, soit 121 % du PIB.

http://www.romandie.com/news/n/PRESSERome_veut_ceder_30_mrd_EUR_d_actifs_publics_d_ici_fin_201240150620121045.asp

Le déficit public de l'Italie au premier trimestre 2012 a été de 8% du PIB, contre 7% un an plus tôt sur la même période, sous l'effet de la hausse des taux obligataires italiens et de la récession
en cours depuis fin 2011, a indiqué mercredi 4 juillet l'Institut national des statistiques (Istat).

Le tableau Istat montre aussi que les comptes publics italiens qui présentaient un excédent primaire (avant paiement du service de la dette) de 2,6% au dernier trimestre de 2011, sont en déficit
primaire de 3% au premier trimestre de cette année.