Foison de Tanguys...
"40 % des jeunes
envisagent un retour forcé chez leurs parents" Sans compter ceux qui sont jamais partis, sans compter les parents qu'il faudra bien accueillir jusqu'à la dernière limite, parce qu'avec leurs
pensions réduites, et le montant exigés des maisons de retraite, c'est le grand écart, la reconstitution des lignées va aller bon train.(Bande de canaillous, vous étiez déjà au courant !, Bien
sûr, je vous l'avais déjà dit, mais il y a des trucs d'égo dont on ne se lasse pas )
D'un autre côté, les parents auront la joie de s'occuper de leurs enfants -adultes- alors qu'ils les ont peu vu dans leur enfance.
On veut élargir l'horaire des crêches, mais c'est vrai que chez les normaux, pardon les socialos, on supporte pas bien les mères au foyer, pas assez libérés (du
mari, mais pas du patron, des transports, etc...).
Pour inverser la tendance, il faut que l'immobilier à l'achat baisse de 80 à 90 %, et la location de 50 % à 75 %.
Sinon, elle va se poursuivre, et on va assister à la naissance d'autres modes de comportements.
Mais je citerais la réaction : "il y a belle lurette que mon plus jeune fils est revenu a la maison ,quant a l ainé nous en avons deja discuté si les loyers continuent a augmenté et les salaires a stagnés, nous allon modifié notre maison et lui aussi va revenir, si ça continue je vais aussi avoir ma mere de 90 ans parce qu avec une maison de retraite a 2200 euros par mois avec sa petite retraite je ne vais plus et mes freres et soeurs ,qui vont etre bientot eux aussi a la retraite,pouvoir payer, enfin il parait que proprietaire et deux salaires pour un total de 3000 euros par mois,nous faisons partie des riches!!!!! "
Ce que décrit cette personne, c'est l'explosion des dépenses contraintes, qui fausse tous les calculs des économistes officiels.
Quand au fatras de mesures proposés, c'est rien. Tout au plus un cautère sur jambe de bois, il y a besoin et nécessité d'un effondrement des prix.
Tenez, pour mes lecteurs parisiens, admirez le prix, 65 000 euros, et la surface. S. Plazza vous vanterait ce produit extraodinaire pour une surface jamais vue ; à 650 000 euros, lui, et bien sûr introuvable (tant pis si c'est quand même, un peu défraichi...)
Selon "The Economist", de 1851, les castes sociales les plus détestables sont les patrons, férus et friands de baisses de salaires, et les blablateurs.
Le problème est aussi immense en Chine, pleine d'immeubles vides, vendus chers à des spéculateurs.
La justification de l'économie est de satisfaire les besoins des hommes. Est elle d'en enrichir une poignée ? Qui se présenteront, eux-mêmes, comme "indispensable", parce qu'il y en a toujours
eu.
Toujours selon la théorie du mandat du ciel chinois, tous les deux siècles, ces élites indispensables prennent le chemin du cimetière, avec veaux, vaches, cochons, couvées, femmes, enfants,
maîtresses, Bmw, pavillon à Saint Cloud, tocantes, stocks de CD invendus, etc...
Si effectivement, être propiétaire et avoir 3000 euros de revenus, c'est être rélativement à son aise, dans une bonne tranche sociale, là aussi, on est rattrapé par le flot qui monte, à savoir que cela devient de plus en plus difficile de vivre avec.
20 % des français peinent à payer leurs dettes, celle de tous les jours, et les dettes immobilières, dans un marché en baisse pourraient être, là aussi, le signal de la grande crise sociale.
En plus, les impayés concernent de plus en plus, non des dépenses somptuaires, non les emprunts, mais les dépenses courantes. Energie, assurances, tous les postes "de base", de la consommation, touchant les dépenses contraintes, soi disant "consommation", en réalité "imposition", sont concernés, et si on entend fréquemment les grandes pleureuses du patronat se lamenter, la situation est pire "en bas".
Il ne sont touchés que par contagion de la désolvabilisation, qu'ils se proposent de résoudre, en matraquant, un peu plus, les déjà désolvabilisés...
Bref, ça va chier, peut être pas grâce à une fibre révolutionnaire, mais les gouvernants pousseront le bouchon un peu trop loin.
Comble du ridicule dans un monde devenu de fou, l'armée française qui évacue l'Afghanistan la queue entre les jambes, détruit elle même ses VAB trop anciens et trop chers à
ramener...
Les Talibans doivent pas bien comprendre...
Sans doute, c'est par cette manoeuvre habile, qu'ils ont été dissuadé d'attaquer...