Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Grèce : on y vient...

20 Septembre 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie

Doucement, très doucement, après moults tergiversations, pour le moment, on "dément" toute sortie de l'euro (ce qui est complétement dément).

En France, on peut noter l'existence d'un irresponsable, qui fait voter des dizaines de milliards d'aide, à fonds perdus... Et dont on ne reverra pas un kopeck...

 

D'ici peu, donc, on aura le démenti du démenti, " "Ce n'est pas une hypothèse de travail", a souligné, lundi, François Baroin".
Il a raison, c'est une certitude.

 

Baroin, symbole complet de l'incompétence et de la suffisance.

C'est très facile d'avoir une carrière, quand on est né et qu'on connait beaucoup de monde.

C'est aussi très facile de parler d'austérité quand on est soi-même, très à l'aise, et qu'elle ne concerne que les autres, et que même si on est touché, on ne l'est que très marginalement.

 

Comme si ce monsieur était une autorité incontestable. Ce qui est à jeter aux poubelles de l'histoire, c'est Baroin and CO.

En attendant; monsieur Baroin pourrait proposer de réduire de moitié les émoluments des responsables de la république. En ces temps de crises, je ne doute pas qu'il serait affectueusement soutenu par le parlement, le sénat, le gouvernement, le président, le conseil constitutionnel, les amis boulistes de plouc-les-bains.

On pourrait même réduire des 2/3 les sénateurs (les ricains se contentent de 100), de moitié les députés (les américains en ont moins de 500 pour 300 millions d'habitants), et d'une manière générale, réduire de moitié le nombre d'élus et d'émoluments.

 

Mais bien sûr, on va me dire que ça, c'est du populisme. Il me semble aussi que Reagan avait réduit son salaire, en accédant à la maison blanche. C'est un exemple à souffler à NS.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
R
<br /> @BA: Pécresse, c'est pas celle qui confond Chancelière et chansonnière? Bonjour le niveau...<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> Extrait d'un article de Dedefensa de ce jour:<br /> <br /> "Cette évolution correspond à la dynamique générale de ce que nous avons nommé la “dissolution du monde”, qui implique un désordre grandissant dans l’orientation et surtout dans le sens profond des<br /> relations internationales, ainsi que dans la hiérarchie de ces relations où plus aucune référence (puissance, influence) n’est capable de s’affirmer. Cette dynamique va directement dans le sens<br /> inverse de certaines conceptions qui sont entretenues et réaffirmées dans ces temps troublés, sur un “ordre mondial”, ou un “gouvernement du monde” ou tout autre organisation dans ce sens ;<br /> paradoxalement, ces conceptions sont réaffirmées à cause du désordre et de l’absence de leadership qui solliciteraient leur affirmation, alors qu’au contraire ce désordre et cette absence de<br /> leadership sont la conséquence de l’impossibilité de la mise en œuvre de ces conceptions. Il n’y a plus de cadre structurant suffisant pour supporter de telles ambitions, si tant est qu’il y en ait<br /> jamais eu, et l’on peut considérer que la situation était bien plus favorable à cette sorte de projet tant dans les années de Guerre froide que dans celles de l’immédiat après-Guerre froide. (C’est<br /> le dérapage et l’orientation vers la Chute du leadership US à partir de 1996 qui marqua la fin de cette période d’“ouverture” à de tels concepts.) C’est d’ailleurs dans ces années-là que diverses<br /> organisations ou concepts dans ce sens ont vu le jour, du Bilderberbg dans les années 1950, à la Trilatérale dans les années 1970, au Washington Consensus selon John Williamson du début des années<br /> 1990 (avec le Council of Foreign Relations [CFR] de bout en bout). L’ère de ces éventuelles opportunités est close : le Système a désormais échappé à tout contrôle et les diverses puissances qui<br /> lui sont liées ont perdu de ce fait leurs assises conceptuelles, ce qui faisait leur lien commun, cette légitimité-Système qui pouvait les assurer, dans certaines circonstances qui leur seraient<br /> favorables, d’une autorité sur les autres. "<br /> <br /> Qu'ils veuillent bien me pardonner cet emprunt au service de ce que j'affirme plus haut.<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Bonne journée Roland. Je pense que nos points de vue peuvent se rapprocher, mais que vos conclusions sont en rapport avec votre age. Ce qui expliquerait que par analogie, vous pensez voir le<br /> systeme toucher à sa fin.<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> Et non, décidément ça ne passe pas. C'est le nerf de la guerre qui mène tout, jamais autre chose. Vos histoires d'idéologie prouvent que vous confondez l'emballage et le contenu. Classique. Bon<br /> c'est pas tout ça mais j'ai à faire maintenant. Démerdez vous avec vos contradictions.<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Grèce : le ministre des Finances grec loue le contrôle salvateur de la troïka.<br /> <br /> Le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, s'est félicité mercredi de ce que le pays soit soumis au contrôle de la troïka de ses créanciers, y voyant le seul moyen d'éviter un nouveau<br /> dérapage budgétaire et de garantir la sortie de crise.<br /> <br /> "S'il n'y avait pas le contrôle de la troïka représentant les bailleurs de fonds du pays (Commission et Banque centrale européennes, Fonds monétaire international), nous aurions de nouveau un<br /> dérapage budgétaire", a lancé M. Vénizélos, pour justifier le tour de vis supplémentaire préparé par son gouvernement sous pression des créanciers du pays.<br /> <br /> "Les défaillances grecques ne sont pas un problème d'intentions mais de capacité, d'habitudes, de structures. Heureusement que nous sommes sous contrôle car cela nous permet d'avoir du<br /> self-control, et nous sauve", a ajouté ce rhétoricien réputé.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/DETTEGrece_le_ministre_des_Finances_loue_le_controle_salvateur_de_la_troika210920111109.asp<br /> <br /> "Collaborateur"<br /> <br /> Définition :<br /> <br /> - Personne qui travaille avec quelqu'un d'autre à une entreprise commune.<br /> <br /> - Personne qui collabore avec un ennemi occupant le territoire national.<br /> <br /> - Français qui collaborait avec les Allemands sous l'Occupation (1940-1944).<br /> <br /> http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/collaborateur/17136<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> La Chine, des miettes...<br /> <br /> C'est donc le monceau de dettes qui représente l'économie réelle selon Breakfast.<br /> Désolé, à ce stade, je ne peux rien faire pour vous. Bonne nuit Breakfast.<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> Petit ajout: Il y a 35 ans, je faisais partie d'une mouvance militante appelée situationnisme, dont l'objet était d'observer et de dénoncer cette montée en puissance impériale, ses méthodes et<br /> moyens de domination. L'érection des statuts permettant l'apparition des grands groupes multinationaux (qui à l'époque s'occupaient encore de production) a été dénoncée à ce moment comme ce qu'elle<br /> était, à savoir la forme moderne de l'impérialisme et du colonialisme. C'est pourquoi je disais que Breakfast parle comme il y a 50 ans. C'est aussi pour cela que je dis qu'il est bon de connaitre<br /> l'histoire. Les multis, c'est de vieilles copines, pour moi (ne vous méprenez pas!) et ça fait bien longtemps que j'observe l'évolution de ces monstres.<br /> <br /> J'ai su que la partie était gagnée (à long terme) lorsque les plus grosses d'entre elles, pour satisfaire la voracité permanente de leurs actionnaires abandonnèrent la production réelle pour se<br /> lancer dans la spéculation. Je date ce tournant au milieu des années 90 avec par la suite des fleurons du genre tels Enron, censée produire de l'électricité, mais qui en fait n'a produit que de la<br /> spéculation financière en abandonnant totalement l'investissement productif. On connait la fin du sketch...<br /> <br /> Et maintenant c'est le bout du chemin. Toutes ces entités ne produisent plus grand chose, leur seule rentabilité venant des placements spéculatifs qu'ils effectuent. Ils sont en concurrence sur ce<br /> marché de la dette spéculative avec toutes les autres institutions ayant besoin de financement et le 15, 20, voire 40% de rentabilité annuelle fait partie des souvenirs démodés maintenant.<br /> <br /> En fait l'essentiel du capital des multis est composé de créances aussi douteuses que la dette grecque et consorts.<br /> <br /> Voila donc les monstres qui sont censés nous régenter dans le futur.<br /> <br /> Je n'y crois pas un instant.<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Mercredi 21 septembre 2011 :<br /> <br /> Les banques françaises n'ont pas besoin d'être recapitalisées, affirme Valérie Pécresse.<br /> <br /> "Les banques françaises sont solides et n'ont pas besoin d'être recapitalisées", a réaffirmé mercredi la ministre du Budget Valérie Pécresse, au lendemain d'un revirement de la Commission<br /> européenne, qui juge une recapitalisation nécessaire en Europe.<br /> <br /> "Il n'y a aucun problème de solvabilité, de liquidité des banques françaises. Les banques françaises sont solides", a-t-elle assuré sur RMC et BFM TV.<br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/les-banques-francaises-n-ont-pas-besoin-d-etre-recapitalisees-affirme-valerie-pecresse-7ff7a2fcc8f6961c0643561dc63bb28a<br /> <br /> Et Christine Lagarde ?<br /> <br /> Qu'est-ce qu'elle devient, Christine Lagarde ?<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Roland, j'ai l'impression de parler en chinois. Visiblement vous ne comprenez rien.<br /> Je ne reprends pas tout, juste quelques points. Premierement à l heure ou je vous parle il est 18h et nous sommes le 21/09. Souffrez donc que mon point de vue aie une dimension aussi internationale<br /> que celui que vous pretendez avoir.<br /> Deuxiemement : l'argent : bien entendu l'argent mene le monde, mais jusqu'a tres recemment le veritable pouvoir qui menait le monde etait l 'ideologie, que cela se manifeste par la politique ou par<br /> la religion. Depuis la chute de l'Urss, il n'y a plus que l'argent.<br /> Troisiement : relisez moi, je nie le NOM en tant que tel.<br /> <br /> Pour terminer : c'est amusant d'entendre que le Bresil ou la Chine sont protectionnisme et donc que les marchandises ne circulent pas. Mais que represente le protectionnisme vs le reste de l<br /> economie mondialisée? Des miettes, mais qui vous semblent etre des icebergs.<br /> <br /> L'explosion sociale à venir, des que les 22% de chomeurs espagnols seront en fin de droit sera un pet mouillé. Il n'y aura pas de revolution ni là, ni en Europe.<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Mercredi 21 septembre 2011 :<br /> <br /> Société Générale et BNP Paribas chutent, craintes d'une recapitalisation.<br /> <br /> Société Générale et BNP Paribas chutaient mercredi dans les premiers échanges à la Bourse de Paris, pénalisées par les propos la veille de la Commission européenne, selon laquelle une nouvelle<br /> recapitalisation des banques européennes sera "peut-être nécessaire".<br /> <br /> A 09H14 (07H14 GMT), BNP Paribas cédait 5,38 % à 23,61 euros et Société Générale cédait 3,18 % à 16,60 euros. Crédit Agricole perdait pour sa part 0,98 % à 4,72 euros dans un marché en baisse de<br /> 1,00 %.<br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/socgen-et-bnp-paribas-chutent-craintes-d-une-recapitalisation-837a506d4e4d24e03ba9fbfdfb72771b<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> "La circulation des capitaux et des marchandises fonctionne sans entraves"<br /> <br /> Faux. C'est en cela que votre tropisme est bien blanco-européen. La chine est protectionniste, l'Inde est protectionniste, le Brésil est... etc. Et puis regardez des indices comme le BDI, c'est<br /> parlant.<br /> <br /> L'économie ne fonctionne pas aux phantasmes. Le grand marché est un phantasme. La globalisation est morte, le monde entier le sait, sauf vous, enfin je veux dire sauf les petits blancs anglo saxons<br /> et européens.<br /> <br /> Le nouvel ordre mondial n'existe pas non plus d'ailleurs. Pendant que vous courrez après ces conneries, les pouvoirs changent de lieu et de nature. Selon vous ce serait donc des multinationales<br /> faillies par leur rapacité sans fin et leur incompréhension de tout ce qui n'est pas comptable et des élites anglo saxonnes pourrissantes (le mot n'est pas trop fort) qui présideraient aux<br /> destinées futures du monde? Vous vous trompez totalement. La puissance des multinationales (essentiellement américaines) repose sur le privilège dollar, sur la complaisance des gouvernements<br /> américains, et vous n'avez pas été sans remarquer que tout cela est par terre. Penser que les dites multinationales vont se refaire une santé en changeant de coeur pour en adopter un chinois (faute<br /> de mieux) est une hérésie totale. Les autorités chinoises ne sont pas capitalistes, elles utilisent le capitalisme, ce qui est différent. Mais les autorités chinoises sont essentiellement...<br /> chinoises et fort nationalistes. A part eux, pour faire perdurer le système des multinationales, je vois pas...<br /> <br /> Vous raisonnez comme si on était en 1950. D'ici quelques mois tout au plus, nous allons assister au reflux de l'armée américaine ou à son immobilisation sur place. A cet instant précis, le nouveau<br /> monde et ses nouveaux rapports de force vous apparaitront en pleine lumière.<br /> <br /> Votre réflexion sur la fin de l'URSS et du libéralisme triomphant sans adversaire est selon moi totalement fausse. C'est précisément à partir de ce moment historique que la sphère anglo saxonne à<br /> commencé à monter les projets chimériques qui l'on mené à sa perte. Ce que vous voyez comme un commencement est une fin pour moi. Par ailleurs, l'idée du NWO comme vous dites est née non pas en<br /> 1991 mais il y a plus d'un siècle. Rien de nouveau donc.<br /> <br /> Etant dans le coeur de l'effondrement, vous ne pouvez même plus continuer à présenter les choses comme vous le faites. Je le répète: pour ceux qui savent voir, les signes de décomposition sont<br /> nombreux et patents.<br /> <br /> Et pour finir, vous nous expliquez fort sérieusement que nous sommes dominés par une entité impalpable qu'on appelle l'argent. Euh, oui, et alors? L'argent ou ses équivalents dominent le monde<br /> depuis qu'il y a des échanges. Pas les multinationales qui, je vous le rappelle, n'existaient pas il y a 50 ans.<br /> <br /> J'en reviens donc à ce que je disais avant votre intervention. Le vulgus pecum d'aujourd'hui est aveuglé par son inculture et sa méconnaissance de l'histoire qui le conduit à considérer comme<br /> éternelles ce qui ne sont que des péripéties du temps, dont on se demandera probablement comment on a pu les laisser advenir dans une trentaine d'années.<br /> <br /> Ne vous laissez pas abuser, je vous prie. Ouvrez votre esprit. Ne gobez pas tout.<br /> <br /> <br />
Répondre
L
<br /> Comme tout le monde se mzt a faire des pronistiques, argumentants en vue de défendre sa vision des choses. Je vais tenter de ressembler les différentes idées.<br /> <br /> Je pense que pour appréhender un probléme complexxe il est important de trouver les dénominateurs communs. Hors dans cette crise le dénominateur commun est la finance, l'investissement,le placement<br /> et bien enttendu la dette qui permet a tout se systéme de tenir debout.<br /> <br /> Il est logique de remarquer que la mondialisation a eu lieu pour et parce que la finance as pu être mondialiser, est que se qui finance, les producteurs ont eux aussi été mondialisé, voire grande<br /> entreprises.<br /> <br /> Les peuples eux aussi ont été mondialiser, voire mixé entre eux pour des raisons simple, maintenir a la baisse les couts et du coup imposer le crédit comme seul est unique complement de revenu.<br /> <br /> Concernant la logique des peuples et des révolutions elles ne se masnifeste que lorsqu'un certains pourcentage de la population est a bout de force. C'est a dire méathématiquement, que pour faire<br /> pencher la balance de du coté obsur il faut au moins 51% de la populations en difficulté, est ont en est encore loin, je pensais il y a quelques années que 25% était suffisent, je dois vour qu'ont<br /> a deja dépassé se seuil et que rien ne semble bouger. L'inetie des 75 autres pourcent étant toujours protectrice de son bien être, aussi médiocre soit'il.<br /> <br /> Donc le soulevement du peuple me semble pour le moment a écarter, certes les coups budgettaire vont augmentr la part des indignées, mais tant qu'il auront de quoi manger et de quoi se distraire, il<br /> y peut de chance qui est le courage de bouger leur petit derriére.<br /> <br /> Donc la finance, bien que mal en point, a tout de mêm un avantage. Celui de faire parti de la même caste, indépendement de la couleur ou de la religion, étant dooné que leur dénomibateur commun est<br /> l'argent qu'il ont accumuler et qu'il ne voudraient pas voir partir en fumer.<br /> <br /> Il y a donc fort a parier que cette finance est ammené a ressérer les coudes pour faire front a tous les crises de faillites sachant que la marge de manoeuvre des indigné se trouve a plus de<br /> 50%.<br /> <br /> C'est clair qu'en cas de défaut d'un des maillons faible, c'est tout le systéme qui risque la catastrophe. Catastrophe finnciére pour eux est économique pour les autres. Dans se cas les autres,<br /> nous, pourrions nous rapprocher rapidement des 50% d'indignées et faire pencher la balance du coté obsur de l'argent.<br /> <br /> Donc je pense que sachant tout cela, le solution qu'ils prendront, la finance, sera de maintenir le plus longtemps possible le systéme en lui évitant de faire défaut et en augmentant le plus<br /> doucement possible le nombres des indignés, sachant qu'il leur reste encore beaucoup de marge. Il a fallu 30 ans pour arriver a 25% d'indigne, ou de zombie sociaux.<br /> <br /> En admettant que se se phénoméne de Zombinisation accelére et que la situation ne s'amméliore pas, combien de temps nous restent'il avant que la balance penche.<br /> <br /> Comme ça vite fait. Le probléme reviens a calculer le temps necessaire pour passer de 25 a 50% de zombie sociaux. et en prenant en compte le fait que le zombie perds sa volonté de révolte au bout<br /> d'un certains nombres d'année d'exluion du systéme. Par contre le nombre total de zombie semble régenerer cette vollonté.<br /> <br /> Nb Zombie/nb année de zombinisation + pourcentage de nouveau zombie par année + pourcentage de dégradationpar année(voir moins pourcentage d'amélioration) = pourcentage de révolution.<br /> <br /> Tout cela n'est qu'une fiction mais je tenais juste a éssayer de trouver une solution pour pouvoir évaluer, la possibilité d'un changement de pardigme économico-financier.<br /> <br /> Donc a moins d'un soulevement massif suite a une boone manipulation du peuple soumis, je ne voie pas vraiment de grand soir en vue. Par contre il y a de forte chance que le nombres de zombie<br /> continu a augmenter et que les petit veinard qui travaille pour maintenir tout cela et envie de travailler encore plus pour beaucoup moins afin de pouvoir échapper a la zombinisation.<br /> <br /> En tout cas beau post patrick, surtout concernant l'austerité des dépenses de l'états, qui il me emble se font encore et toujours attendre :) :)<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Cher Roland,<br /> La circulation des capitaux et des marchandises fonctionne sans entrave. L'ultime etape, la circulation des humains, n en est qu a ses debuts. Et les ennuis ne font que commencer. Vous vous croyez<br /> à la fin de la globalisation et pourtant nous n'en sommes qu'a la seconde etape.<br /> Quand au gouvernement mondial, que croyez vous? Qu'il y ait besoin d'un support physique, d'un bureau, d'un comité, d'un parlement...pour exister? Ne soyons pas naifs. Le nouvel ordre mondial est<br /> né quand les russes se sont retirés d'Afghanistan. Il n'as pas d'eglise, ni de noms, ni de couleurs politiques. Il s'appelle l'argent et ses bras, jambes, membres sont les multinationales.<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> @breakfast: Ce n'est pas l'immigration "massive", épiphénomène temporaire voulu par les maitres du moment, qui crée ou favorise la division des peuples. Les "peuples" sont naturellement divisés en<br /> classes sociales aux intérêts antagonistes, sinon contradictoires. Un prolétaire blanc ou noir rencontre bien souvent les mêmes problèmes alors que les ghettos de riches sont multi-ethniques.<br /> <br /> C'est une vision blanche, passéiste et par conséquent, erronée.<br /> <br /> Je ne vous dis pas ça pour vous critiquer, mais parce qu'avec de telles lunettes, vous ne pouvez pas comprendre ce qui se passe, ce qui est regrettable.<br /> <br /> Les pathétiques pantins qui s'agitent ces jours ci dans vos lucarnes ne représentent pas le pouvoir, pas plus que les grandes multinationales que vous évoquez. Elles aussi ont consciencieusement<br /> tressé la corde qui va servir à les pendre. La globalisation est tout aussi morte que le nouvel ordre mondial. Simplement, vous ne le voyez pas encore.<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Il est impossible de prévoir l'avenir mais selon la formule enoncée ci dessus, on peut envisager des SUPER BORDELS et des HYPER BORDELS.<br /> Egalement selon une formule ci dessus, les classes dominantes, pour de nombreuses raisons trop longues à evoquer, ont atteint un niveau de STUPIDITE VISIBLE qui met au jour leur incapacité à<br /> trouver des solutions autres qu'à court terme.<br /> Mais ils disposent d'un avantage : les peuples qu'ils manipulent ont changé : il n'y a plus un peuple de France ou d'Angleterre, il y a les communautés vivant en France ou en Angleterre.<br /> Cette division des peuples crées par l'immigration massive empechera tout soulevement et toute revolte.<br /> Donc quels que soient les evenements à venir, il n' y aura pas de réactions populaires, ni de tetes tranchés. On verra peut etre des Barouin ecartés des affaires mais des centaines de personnages<br /> similaires sont prets a prendre la releve.<br /> Il n'y aura jamais de retour au monde d'avant. Nous sommes rentrés dans l'ere d'Arcelor Mittal.<br /> <br /> <br />
Répondre
R
<br /> La révolte? Mais de quoi parle t-on?<br /> <br /> A ma connaissance, une révolte populaire seule n'a jamais abouti à rien, nulle part, jamais.<br /> <br /> Pourquoi? Parce que le pouvoir n'appartient pas au peuple. Le pouvoir est exercé par des groupe sociaux souvent très restreints qui détiennent la force et la coercicion, de tous temps et<br /> probablement à tout jamais.<br /> <br /> Ce qu'on appelle le peuple est appelé en certaines occasions pour légitimer telle ou telle ligne politique, cela ne va pas plus loin. On peut donc oublier les histoires de démocratie, de vote etc,<br /> tout cela ne changeant rien à ce fait majeur et vérifiable universellement: le pouvoir appartient à ceux qui ont le gros baton.<br /> <br /> En ce qui concerne la France, je précisais dans un autre billet que ce pays et sa politique s'intègrent dans une logique de domination qui est connue et facilement vérifiable. La France est un pays<br /> occidental, peuplé de blancs, dominateur, colonialiste à son heure, ex impérial, qui n'a retrouvé une virginité que suite à la politique de non alignement avec l'empire (quoique), abandonnée<br /> depuis.<br /> <br /> Mais ce pays fait partie du petit groupe des colonisateurs et des prédateurs économiques au dépends des pays du sud dits en dévelopement.<br /> <br /> Les dirigeants de ce type de pays ont donc une certaine habitude de la domination plus ou moins visible et du cynisme nécessaire. Pourquoi? Parce que derrière, il y a des institutions économiques<br /> et militaires qui permettent d'imposer leurs vues, avec l'habillage que l'on souhaite présenter (démocratie, droits de l'homme, patati, patata...)<br /> <br /> Les peuples donc n'ont jamais rien fait de décisif. Au final tout se décide dans des comités restreints ou l'on manipule par la corruption et des hochets dont les hommes ont toujours été<br /> friands.<br /> <br /> Cette fois ci sera semblable aux autres à cela près que l'élite occidentale dirigeante a atteint collectivement un degré de stupidité et d'incohérence tel que c'est devenu visible, même pour les<br /> non initiés.<br /> <br /> En soi, ce ne devrait pas être un problème, le monde ayant bien souvent eu à sa tête des hommes pour le moins instables psychiquement. Mais dans le cas qui nous occupe, il ne s'agit pas d'un homme<br /> par ci ou par là, mais de l'ensemble du système de gouvernement occupé par des gens dont l'irréalisme est total.<br /> <br /> Prenons ce concept de NWO dont on nous rebat les oreilles et qui est censé avancer à la faveur du chaos ambiant: il n'y a jamais eu autant d'états indépendants à la surface de la planète, le<br /> mouvement s'intensifie et toutes les organisations multilatérales (à part celles qui fonctionnent en mode informel) sont en crise. UE, ALENA, MERCOSUR, ASEAN... tout ca est d'une inutilité<br /> flagrante. A l'évidence la mondialisation est un échec (comme la précédente du début du XXème siècle) et les états reviennent à leur jeu habituel.<br /> <br /> Prenons la mondialisation qui aboutit à concentrer la production dans quelques endroits et à endetter tout le reste: c'est également un échec aboutissant à l'appauvrissement général et à des<br /> dépendances inacceptables. Un enfant comprendrait pourquoi: l'activité humaine n'est pas sectorielle mais globale.<br /> <br /> Prenons ce que j'appelle le monopoly global: la finance. Comme au monopoly, le joueur final bouffe la banque et après il n'y a plus rien. Là aussi, un enfant le comprendrait.<br /> <br /> Prenons le néo colonialisme économique: pas plus que le vrai, il n'est rentable à long terme, simplement parce les couts du maintien de la domination sont exponentiels et finissent par dépasser les<br /> bénéfices ecomptés.<br /> <br /> J'appelle tout cela la politique de gribouille. Les gens qui pilotent ca en sous main sont des apprentis sorciers incultes. Cela va donc leur retomber sur le nez, non pas parce ils ont perdu les<br /> instruments de la domination, mais parce que globalement, ils n'ont plus la moindre idée de comment on s'en sert pour parvenir à ses fins.<br /> <br /> C'est de cela dont le monde est malade. Le roi, après avoir été beau, jeune, avisé et conquérant, s'est installé dans des orgies quotidiennes, a perdu le sens des réalités, s'est construit un monde<br /> ou il fait toujours beau, et a fini par croire à ses propres fables, et comme je le disais déjà dans un autre billet, se retrouve à poil lorsque la bise fut venue.<br /> <br /> L'effondrement, ou la dissolution, ou le terme qu'on veut bien y mettre est acté, patent, et sa mécanique interne le rend instoppable, toute tentative de redressement se soldant en définitive par<br /> un nouvel effondrement.<br /> <br /> Alors les incultes qui scrutent le temps présent et ses péripéties pour alimenter leurs prophéties se trompent, bien sur. Le mécanisme dont nous voyons l'aboutissement aujourd'hui plonge ses<br /> racines dans un passé assez ancien. Ce qui fait que la plupart des commentateurs, surs que le système actuel dure de toute éternité, ne voient pas que le monde se reconfigure, que des pays sortis<br /> de l'histoire y reviennent, que ceux qui ont fait le système actuel n'ont plus les moyens de leur domination.<br /> <br /> Avant chaque révolution, ou qu'elle aie lieu, on croit toujours :l'ancien monde inamovible, et ce jusqu'au dernier instant. Pourtant, au jour d'aujourd'hui et pour qui sait écouter, les signes<br /> avant coureurs du changement sont nombreux, la parole commence à se libérer et ce qui est encore tabou aujourd'hui sera communément admis demain.<br /> <br /> Les sociétés humaines sont faites ainsi: c'est celui qui prévoit avec un, voire plusieurs coups d'avance qui gagne. A l'évidence ce ne sera pas la classe moyenne soit disant éduquée blanche, celle<br /> là est dans les choux et c'est tant mieux. Heureusement, l'humanité est bien plus diverse et son avenir n'est je crois pas menacé à court terme, elle est simplement parasitée en ce moment mais<br /> comme le parasite menace l'ensemble, je n'ai aucun doute: il va disparaitre, de gré ou de force.<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Mardi 20 septembre 2011 :<br /> <br /> La Grèce pourrait pousser le Portugal vers une nouvelle aide.<br /> <br /> "En cas d'un éventuel défaut de la Grèce, le Portugal pourrait avoir besoin d'une nouvelle aide financière de l'Union Européenne et du FMI", a déclaré mardi soir le Premier ministre portugais Pedro<br /> Passos Coelho.<br /> <br /> "Dans un scénario de défaut de la Grèce, cette aide pourrait être nécessaire, et il est important que nos partenaires européens soient convaincus que cela vaut la peine d'aider le Portugal et, dans<br /> ce cas, l'Irlande aussi", a dit M. Passos Coelho lors d'un entretien télévisé.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/_ALERTE___La_Grece_pourrait_pousser_le_Portugal_vers_une_nouvelle_aide_200920112309.asp<br /> <br /> Et toujours cet article extraordinaire :<br /> <br /> Banques : l'Union Européenne fait volte-face et reconnaît un besoin de recapitalisation.<br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/banques-l-ue-fait-volte-face-et-reconnait-un-besoin-de-recapitalisation-9ac7e70e3fb3b3597272a6bb1ae16baf<br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> Je crois que l'on se perd : tant de données, d'analystes, de modèles, de lieux, de sujets, etc.<br /> <br /> Nous sommes étourdis.<br /> <br /> Ce que je propose est de revenir à la simplicité. La logique. Laissons la politique, les échauffements de coté.<br /> <br /> En utilisant cette méthode, on peut synthétiser par : entre la peste ou le choléra, ou la peste + le choléra, le bon sens commande de choisir (d'abord) le choléra.<br /> <br /> On m'oppose :<br /> -"la volonté n'est pas tout. Ils ne contrôlent rien".<br /> <br /> Si. Pour éviter un instant Lehman que constituerait le defaut de la Grèce, ils sont très logiquement capables de se rajouter une lampée de choléra : inflation/impression.<br /> <br /> J'imprime un paquet de billets, et je fais "disparaitre" le problème grec.<br /> <br /> Bien sur, ce faisant, je créerai d'autres problèmes. Mais plus tard, et de moindre intensité.<br /> <br /> Donc, ils n'hésiteront pas (et ils ont déjà commencé)<br /> <br /> De ce point de vue, revenons aussi à l'épure : "la fin justifie les moyens".<br /> <br /> Si après avoir tout essayé, il convient toujours de reculer l'instant lehman, alors ils passeront au stade supérieur : guerre, false flag attaque terroriste pour détourner l'attention.<br /> <br /> J'en reviens toujours à ce qui semble être l'obsession du système : mieux vaut tout demain (et même le pire) qu'un "instant lehman", qu'un défaut grec tout de suite.<br /> <br /> Enfin, on m'oppose... le "peuple".<br /> <br /> Là on retombe dans le trivial. Et la polémique.<br /> <br /> Le peuple fait là où on lui dit de faire.<br /> Ici, je reconnais toutefois qu'il faut faire la distinction.<br /> <br /> Mais pour ne parler que des peuples occidentaux, je dis (comme par le passé) qu'ils ne feront rien, pour la bonne et simple raison qu'ils ont largement profité de la gabegie des 30 dernières<br /> années.<br /> <br /> Il suffira de leur coller une bonne "crise" (une vraie, pas la soi disante austérité, pas la petite guerre en lybie) non un truc sale, bien dégueu... et ils seront les premiers à faire sous eux, et<br /> à manifester pour... soutenir sarkozy en France... les verts et les "socialos" en Allemagne... les "socialos" en Grèce (autant d'avatars du système...).<br /> <br /> D'autres voteront Bayrou et seront tout émoustillés par leur audace. Les plus cinglés choisiront... Mélanchon.<br /> D'autres enfin pleureront toute leur vie... DSK.<br /> <br /> Voilà où est le "peuple" aujourd'hui... Alors je crois qu'il convient de rester humble...<br /> <br /> Un dernier mot (c'est mon dada) : les "indignés" espagnols... les "rebelles" grecs... ont tout arrêté en juillet et août... pour prendre leurs vacances.<br /> <br /> Comme je l'ai souvent répété ici : elle est où la révolte ?<br /> ;-)<br /> <br /> Les mois passent... bientôt des années... on la cherche toujours.<br /> <br /> (disclaimer : cela s'applique aux européens + américains)<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Banques : l'Union Européenne fait volte-face et reconnaît un besoin de recapitalisation.<br /> <br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/banques-l-ue-fait-volte-face-et-reconnait-un-besoin-de-recapitalisation-9ac7e70e3fb3b3597272a6bb1ae16baf<br /> <br /> <br />
Répondre
A
<br /> Le système financier est peut être un réseau au même titre que nos milliards de connexions neuronales avec les paradis fiscaux , représentant le système vasculaire , mais son cœur reste les USA ,<br /> plus précisément la FED (son âme sont nos multinationales )<br /> <br /> Ce système s ´est attaqué aux pays asiatiques en 1997.<br /> <br /> Lorsque le Japon a voulu aidé ses voisins , les américains ont bloqué l´initiative via le FMI.<br /> <br /> Seuls des pays comme la Malaisie qui contrôle les entrées et sorties de capitaux ont évité la casse.<br /> <br /> Mais dans l´absolu, rare sont les pays véritablement indépendant, en aliment, énergie etc...<br /> <br /> Le seul qui me vient à l´esprit ,c´est le Russie.<br /> <br /> <br />
Répondre