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Il y a quelque chose de pourri au Royaume de Danemark...

29 Mars 2012 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie

Nous diraient les Laurel et Hardy du nucléaire, à savoir Fillon et Sarkozy, bien que leur physique invoque plutôt un charlot dédoublé.

Le Danemark vise, d'ici 2020, 35 % de renouvelable, et 50 % d'éolien dans la production d'électricité, bien que la part de celle-ci, dans la production globale, ait déjà atteint le chiffre -impossible selon les nucléairocrates- de 25 %.

La consommation devra être réduite de 12 %, par rapport à 2006,

Le chauffage électrique est déjà interdit, le chauffage au fioul et au gaz va l'être dans le neuf d'ici 2013, le fioul sera interdit dans l'existant en 2016, là où le chauffage urbain et le gaz naturel sont disponibles.
Mais, le fait d'interdire le fioul n'a pas grand intérêt, il ne s'en vend, en réalité, presque plus, comme partout ailleurs.

Donc, là, on est dans le cadre d'une obsolescence, non pas programmée, mais naturelle.

 

Les centrales électriques devront fonctionner à la biomasse, et la totalité du Royaume devra être au renouvelable en 2050.

 

Mais d'ici 2050, je penserais plutôt à une solution mixte, entre :

- ceux passés au renouvelable par choix, et qui maintiendront leur cadre étatique.

- ceux passés au renouvelable dans le cadre d'un effondrement de la civilisation. 

 

Pendant ce temps là, Fillon, renouvellant son répertoire de clown triste nous dit : "le nucléaire, instrument de progrès à l'échelle mondiale", avec ses 2 % de l'énergie consommée dans le monde, on peut être admiratif, pour le " raréfaction des ressources énergétiques et notamment des ressources en matière de pétrole et de gaz", parce que l'uranium ne serait pas raréfié, lui ???

 

Quand au caractère intermittent et non gérable de l'éolien qu'évoquent certains, je vous laisse découvrir l'article suivant : "arrêt à distance des éoliennes si besoin ", chose courante au Danemark, décidement de plus en plus pourri...

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M
Let us know more Denmark stories that are told as the rotten ones. This is very much informative and this talks about the wind power plant and the related issues that are now marked as the issue of the state nowadays.
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C
Mouai, concernant le Japon, j'ai déjà lu pas mal d'article envisageant la réouverture des centrales nucleaire pour faire la nique au déficit commercial qu'entraine les importations d'énérgie...<br /> Info ou Intox?<br /> Malgré l'apparition d'une défiance de la population japonaise face à son gouvernement, je pense qu'ils s'y resoudront, histoire de reculer la chute, toujours la même histoire du kick the can.<br /> <br /> Concernant le nucleaire, je pense qu'il a un avenir.<br /> Vous semblez adoré l'éolien, mais il faut également des ressources pour construire des eoliennes, et notament des terres rares pour les aimants de la turbine. Là aussi on est dependant. Et pensez<br /> vous qu'il y ai assez de ressource pour un monde multipliant les micro turbine pour remplir la place d'éolienne? Ne vaut-il pas mieu quelque grosse turbine du point de vue des ressources?<br /> Alors bien sur il faut de l'uranium pour les centrales nucleaire (pour l'instant), mais avec l'EPR (qui j'avoue accumule les bourdes) et le MOX, en utilisant les déchets comme combustible, les<br /> ressources seront disponibles plus longtemps. L'EPR est aussi un premier pas vers des centrales au thorium.<br /> La France a un leader dans le nucleaire. Et comme d'habitude, le pays d'accueil de ce leader doit servir de vitrine. AREVA ne sera donc jamais sacrifié.<br /> L'allemagne, que vous admirez du point de vue énergétique, a voulu nous piquer le nucleaire avec Siemens. Croyez vous que Miss Merkel serait sorti du nucleaire si leur coup avait reussi? Bien sur<br /> que non. C'etait politique pour satisfaire les verts allemand et un aveux d'echec pour siemens.<br /> <br /> Alors oui, je suis contre le sacrifice du nucleaire, mais celà peut se concilier avec une montée en puissance du renouvelable.
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C
C'est un peu du théâtre. Fillon joue son rôle. Sa partition.<br /> <br /> Au-delà de toutes les problématiques que vous évoquez souvent... le juge de paix qui donne un coup d'arrêt, définitif au nucléaire... risque bien d'être Fukushima.<br /> <br /> Eh oui. C'est à peine si le premier anniversaire de cette catastrophe a été évoqué.<br /> <br /> 12 mois, c'est un pet de nonne à l'échelle (de temps) du nucléaire.<br /> <br /> Or les japonais sont en train de perdre de pied. Et il n'y a pas de solution.<br /> <br /> Ce bordel infâme et mortel va bien les décimer.<br /> <br /> Encore quelques tremblements de terre, un peu plus forts que d'habitude (il y en a en permanence au large de Fuku) et le réacteur 4 et sa piscine s'effondreront, balançant des tonnes de déchets<br /> radioactif.... au sol dans un vaste gloubilgouga qui fera passer Tchernobyl pour une modeste expérience de laboratoire.<br /> <br /> Et ce n'est même pas la peine d'évoquer le numéro 3 et les autres.<br /> <br /> Donc, à votre place Patrick, je ne me ferais pas du sang d'encre à chercher à lutter contre les mensonges de la "filière" nucléaire.<br /> <br /> Ils sont cuits.<br /> <br /> Et -peut-être- nous avec...
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P
http://www.marc-candelier.com/article-11-septembre-l-etat-profond-102453027-comments.html#anchorComment
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P
Un proche de Nicolas Sarkozy a fait rentrer Mohamed Merah en Israël<br /> <br /> Retenez bien son nom : Erard Corbin de Mangoux. Cet homme dirige depuis 2008 le bastion des services secrets français -la DGSE. A en croire le scoop révélé lundi soir par le quotidien italien Il<br /> Floglio, c’est sous sa responsabilité que l’assassin présumé de Toulouse, Mohamed Merah, a pu accéder en septembre 2010 au territoire israélien.<br /> <br /> En contrepartie, le jeune homme devait rapporter des informations aux responsables du contre-espionnage français. Mohamed Merah était-il un informateur de la DGSE ? Dans cette affaire encore<br /> obscure, une chose est certaine : l’actuel dirigeant des services secrets a été nommé par Nicolas Sarkozy en raison de sa proximité avec le président de la République. Dérogeant à la règle<br /> coutumière d’une nomination militaire à la tête de la DGSE, le chef de l’Etat a préféré placer un de ses hommes, préfet de carrière, pour chapeauter le renseignement extérieur.<br /> <br /> Après les indices relatifs à une collaboration avec la DCRI, ce nouvel élément suggère une étroite et troublante connivence entre la sécurité d’Etat et la mouvance djihadiste. Une information<br /> méconnue mérite ici d’être rappelée : fin 2001, le terroriste Richard Reid avait tenté, en vain, de faire exploser des explosifs, dissimulés dans ses chaussures, lors d’un vol Paris-Miami.<br /> <br /> Un témoignage ultérieur, rapporté par l’émission « Pièces à conviction » de France 3, était particulièrement intriguant : selon un responsable du contrôle de l’aéroport parisien, Richard Reid avait<br /> pu aisément monter à bord car il disposait d’un tampon israélien dans son passeport. Un élément interprété finalement comme un gage de sécurité pour l’embarquement d’un passager considéré comme<br /> nerveux. Pour l’homme en charge du contrôle, l’accès-généralement difficile- au territoire israélien signifiait que ce touriste ne présentait pas de danger particulier puisqu’il avait été autorisé<br /> à passer par l’une des douanes les plus vigilantes au monde.
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