L'état des Etats-unis.
Bon, je vais reprendre la qualification patrickienne et vous parler des Zétazunis.
Pour ceux qui l'ignorerait, c'est le pays où tout le monde est, a été, sera millionnaire.
Normal, c'est le seul pays où pousse naturellement l'arbre à $.
Il suffit de se mettre dessous pour voir son portefeuille gonfler tellement vite qu'on n'arrive pas à le dépenser.
C'est aussi le pays auquel il faut obligatoirement obéir, car c'est le pays élu par dieu (le barbu, premier nuage à droite), et qui a le chic pour éliminer les méchants.
Les méchants, c'est facile à reconnaitre, c'est ceux qui se mettent exprès sous leurs bombes.
Comme les méchants sont les méchants et qu'ils sont prêts à toutes les basses manoeuvres, ils se cachent souvent -mais ça ne trompe personne-, en femmes, enfants, vieillards, ânes, vaches, cochons, couvées.
Tout le monde à compris ?
Pour ce qui est de la croissance, c'est comme une partie de poker bien commencée, mais les dernières cartes sont nulles.
3.5 puis 2.8 et enfin, 2.2 de croissance. Mais non, ce n'est pas pour des trimestres différents, c'est pour le même troisième trimestre de 2009., dont prime à la casse pour 0.8. Enlevons aussi la croissance démographique, soit 0.9 et on arrive donc à la FABULEUSE croissance de 0.5 % (rythme annuel) au troisième trimestre 2009.
En ce qui concerne la réforme de la santé, toujours aussi mal torchée, j'avais indiqué dans un article (je me rappelle plus lequel) que le gouvernement devrait faire appel à des experts Costaricains, pour avoir un appareil santé efficace. Moi, je disais ça pour rigoler.
Finalement, ce sont des iraniens qui interviennent dans le delta du Mississipi. Partant de leur expérience du début des années 1980, les iraniens ont alors quadrillé leurs pays de dispensaires, à faible coût et à très grands effets (un service de santé efficace, ça ne coûte rien).
On voit d'ailleurs que les dérives occidentales en matière de santé sont généralisées, mais particulièrement criantes aux USA, où les prix des médicaments sont dix fois supérieurs aux prix européens et canadiens, eux-mêmes délirants.
Total, les pauvres, sans moyens de se soigner, encombrent les urgences des hôpitaux, avec des pathologies envenimées.
Cela montre aussi la résilience et l'état réel de l'Iran. L'appui populaire au régime est une réalité, comme les soins de santé, auparavant inexistants, rallient une bonne partie de la population au régime aussi au Vénézuela, mais aussi en Bolivie, et en bref, dans tous les endroits qui se refusent à une gestion FMI.
Les soins de santé gratuits sont une bonne part de la sortie de la pauvreté.
Il est à noter que cela relativise aussi les PIB occidentaux, obtenant, comme les USA, 17 % de celui-ci dans la santé.
En effet, pourquoi payer cher ce que l'on pourrait avoir pour une très petite fraction du prix ? Réponse : pour goinfrer quelques porcs.
Ces histoires de dispensaires relativisent réellement les coupes programmées dans les systèmes sociaux.
C'est la dérive bureaucratique, ou dérive du chien crevé au fil de l'eau.
Ces coupes, présentées comme obligatoire et "sauvant le système", sont en réalité destinées à gaver encore plus les porcs.
Russie et USA négocient une baisse RADICALE de leurs arsenaux nucléaires. Je tiens tout de suite à vous rassurer, ce n'est pas par bonté d'âme, c'est parce que les armes nucléaires, ça vieillit mal, et les armes des deux superpuissances sont en majorité anciennes et doivent de toute façon être détruites.
Un désarmement, évite simplement de devoir les remplacer. En plus on peut récupérer l'uranium enrichi, pour les centrales nucléaires.
On parle de 1500 à 1675 armes, il faut rappeler qu'à un moment, les arsenaux de chaque superpuissance dépassait les 30 000.
Cela permettrait aussi des coupes radicales de budgets.
Le déficit extérieur américain se réduit. Les chinois se plaignent de ne plus avoir de $ pour acheter les bons du trésor US. Ce serait paradoxal, qu'un retour partiel à la vertu, soit à l'origine de la crise de la dette. La monétisation du déficit par la FED est donc obligatoire. Il n'y a plus assez de dollars dans le monde face à l'ampleur du déficit.
D'une manière générale, les pays occidentaux sont de plus en plus des pays potemkine, ou "bling-bling", où seul compte l'aspect, la posture, et le clinquant.
Mais, de plus en plus, il n'y a rien derrière.
L'atterrissage des pays occidentaux, et du monde, sera rude.
Pour ceux qui l'ignorerait, c'est le pays où tout le monde est, a été, sera millionnaire.
Normal, c'est le seul pays où pousse naturellement l'arbre à $.
Il suffit de se mettre dessous pour voir son portefeuille gonfler tellement vite qu'on n'arrive pas à le dépenser.
C'est aussi le pays auquel il faut obligatoirement obéir, car c'est le pays élu par dieu (le barbu, premier nuage à droite), et qui a le chic pour éliminer les méchants.
Les méchants, c'est facile à reconnaitre, c'est ceux qui se mettent exprès sous leurs bombes.
Comme les méchants sont les méchants et qu'ils sont prêts à toutes les basses manoeuvres, ils se cachent souvent -mais ça ne trompe personne-, en femmes, enfants, vieillards, ânes, vaches, cochons, couvées.
Tout le monde à compris ?
Pour ce qui est de la croissance, c'est comme une partie de poker bien commencée, mais les dernières cartes sont nulles.
3.5 puis 2.8 et enfin, 2.2 de croissance. Mais non, ce n'est pas pour des trimestres différents, c'est pour le même troisième trimestre de 2009., dont prime à la casse pour 0.8. Enlevons aussi la croissance démographique, soit 0.9 et on arrive donc à la FABULEUSE croissance de 0.5 % (rythme annuel) au troisième trimestre 2009.
En ce qui concerne la réforme de la santé, toujours aussi mal torchée, j'avais indiqué dans un article (je me rappelle plus lequel) que le gouvernement devrait faire appel à des experts Costaricains, pour avoir un appareil santé efficace. Moi, je disais ça pour rigoler.
Finalement, ce sont des iraniens qui interviennent dans le delta du Mississipi. Partant de leur expérience du début des années 1980, les iraniens ont alors quadrillé leurs pays de dispensaires, à faible coût et à très grands effets (un service de santé efficace, ça ne coûte rien).
On voit d'ailleurs que les dérives occidentales en matière de santé sont généralisées, mais particulièrement criantes aux USA, où les prix des médicaments sont dix fois supérieurs aux prix européens et canadiens, eux-mêmes délirants.
Total, les pauvres, sans moyens de se soigner, encombrent les urgences des hôpitaux, avec des pathologies envenimées.
Cela montre aussi la résilience et l'état réel de l'Iran. L'appui populaire au régime est une réalité, comme les soins de santé, auparavant inexistants, rallient une bonne partie de la population au régime aussi au Vénézuela, mais aussi en Bolivie, et en bref, dans tous les endroits qui se refusent à une gestion FMI.
Les soins de santé gratuits sont une bonne part de la sortie de la pauvreté.
Il est à noter que cela relativise aussi les PIB occidentaux, obtenant, comme les USA, 17 % de celui-ci dans la santé.
En effet, pourquoi payer cher ce que l'on pourrait avoir pour une très petite fraction du prix ? Réponse : pour goinfrer quelques porcs.
Ces histoires de dispensaires relativisent réellement les coupes programmées dans les systèmes sociaux.
C'est la dérive bureaucratique, ou dérive du chien crevé au fil de l'eau.
Ces coupes, présentées comme obligatoire et "sauvant le système", sont en réalité destinées à gaver encore plus les porcs.
Russie et USA négocient une baisse RADICALE de leurs arsenaux nucléaires. Je tiens tout de suite à vous rassurer, ce n'est pas par bonté d'âme, c'est parce que les armes nucléaires, ça vieillit mal, et les armes des deux superpuissances sont en majorité anciennes et doivent de toute façon être détruites.
Un désarmement, évite simplement de devoir les remplacer. En plus on peut récupérer l'uranium enrichi, pour les centrales nucléaires.
On parle de 1500 à 1675 armes, il faut rappeler qu'à un moment, les arsenaux de chaque superpuissance dépassait les 30 000.
Cela permettrait aussi des coupes radicales de budgets.
Le déficit extérieur américain se réduit. Les chinois se plaignent de ne plus avoir de $ pour acheter les bons du trésor US. Ce serait paradoxal, qu'un retour partiel à la vertu, soit à l'origine de la crise de la dette. La monétisation du déficit par la FED est donc obligatoire. Il n'y a plus assez de dollars dans le monde face à l'ampleur du déficit.
D'une manière générale, les pays occidentaux sont de plus en plus des pays potemkine, ou "bling-bling", où seul compte l'aspect, la posture, et le clinquant.
Mais, de plus en plus, il n'y a rien derrière.
L'atterrissage des pays occidentaux, et du monde, sera rude.
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