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La crise immobilière se profile...

10 Novembre 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie

Au plus grand bonheur des futurs acquéreurs...

 

Sans crédit, il n'y a que peu ou pas de marché immobilier, et très peu de transactions à des prix très doux.
On rentre dans cette configuration, qui était celle des années 1930.

Apports personnels, prêts amicaux, prêts des vendeurs. Voilà la donne.

 

Le coup de frein sur les prêts est visible, et devrait s'accentuer et s'accélérer en 2012, voire disparaître complètement. En effet, on ne peut pas exclure une crise totale du crédit.

Le regain de 2010 à 168.8 milliards de prêts, ne sera pas atteint.

2011 verra 155 milliards de prêts, et la baisse pour les lobbys devrait atteindre le seuil de 120-130 milliards de prêts. Mais le lobby étant le lobby, il n'imagine même pas la vie sans lui. Comme l'oligarque.

Rappelons lui à l'heure actuelle, le marasme de la construction en Irlande, en Espagne, en Grêce, ainsi que les difficultés de vente pour l'ancien, et encore, tout cela étant masqué par l'activisme du secteur à plusieurs niveaux, mais qui ne peuvent cacher la misère générale.

 

La fin du dispositif scellier, lui, ne fait qu'acter une évolution inéluctable : même gavés de privilèges, il n'y a plus d'acquéreurs.
On finit toujours par atteindre ce stade.

 

La rigueur à tous les étages aussi fera le reste. Il ne restera en France qu'à miser sur l'agriculture et l'industrie.

La dation en paiement des reliquats de dettes devrait aussi faire son oeuvre, en finissant de gorger les banques de biens dont ils ne sauront que faire.

 

Logiquement, il devrait y avoir beaucoup de ruines "historiques", de l'époque de la grande bulle.

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L
<br /> Il n'y a pas que l'aéroport de Huesca qui a des problèmes. En Catalogne l'aéroport de Lérida est mort né,très peu de liaisons,celui de Reus Tarragona est fermé jusqu'en Avril par manque de<br /> passagers et celui de Gérone a perdu de nombreuses liaisons. Après il y a celui de Castellon Valencia qui est pratiquement mort. Voila pour ceux que je connais. Le système hospitalier est malade.<br /> Dans un hôpital de Barcelone, le personnel n'a pas été payé depuis 2 mois, en tout cas partiellement, et l'hôpital économise sur tout. dernière trouvaille, réutiliser le petit matériel chirurgical<br /> en le réstérilisant.<br /> <br /> <br />
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B
<br /> http://www.boursorama.com/actualites/aeroport-cherche-passagers-desesperement-l-autre-face-de-la-crise-espagnole-66c756a3087570fd516e05b1d048d8da<br /> <br /> AFP le 13/11/2011 à 23:40<br /> <br /> Aéroport cherche passagers désespérément : l'autre face de la crise espagnole<br /> <br /> Aucun bruit dans le hall, pas un client aux comptoirs d'embarquement: à Huesca, dans les Pyrénées espagnoles, un aéroport fantôme attend les hypothétiques voyageurs, symbole d'un pays en crise<br /> après avoir construit à tout-va pendant la bulle immobilière.<br /> <br /> Sur le parking d'environ 150 places, seules quelques voitures sont garées en ce matin d'automne. Ce sont celles de la vingtaine d'employés encore sur place.<br /> <br /> Dans le petit bâtiment qui semble encore neuf, une femme de ménage nettoie les toilettes, tandis qu'à l'extérieur, un engin balaie les trottoirs. La principale activité de l'aéroport de Huesca,<br /> inauguré en 2007, consiste désormais en son entretien.<br /> <br /> Son cas n'est pas isolé. L'Espagne, dont la croissance a été portée pendant des années par la bulle de la construction avant que celle-ci n'éclate en 2008, compte le plus grand nombre en Europe<br /> d'aéroports commerciaux à vocation internationale: 48 publics, 2 privés.<br /> <br /> <br /> L'aéroport de Huesca, en Espagne, est vide, le 2 novembre 2011<br /> © AFP Josep Lago<br /> Certains n'ont qu'une poignée de vols, comme Lérida (Catalogne) ou Cordoue (Andalousie).<br /> <br /> Les deux aéroports privés sont aussi mal en point: celui de Castellon (région de Valence), inauguré en mars, reste désert, ayant demandé tardivement l'autorisation de vols, celui de Ciudad Real<br /> (Castille La Manche), ouvert en 2008, pourrait bientôt fermer. Il a accueilli son dernier vol, de la compagnie Vueling, fin octobre.<br /> <br /> Au total, "il y a une vingtaine d'aéroports qui ont moins de 100.000 passagers" par an, alors que 500.000 est le niveau limite pour être rentable, calcule Germa Bel, économiste à l'université de<br /> Barcelone, et parmi eux "seuls 2 ou 3 pourraient se justifier, pour lutter contre l'isolement" des îles Canaries, par exemple.<br /> <br /> Quinze passagers en juillet, zéro en août, quatre en septembre: si l'aéroport de Huesca vivote, c'est grâce aux avions privés qui l'utilisent. Le dernier vol commercial a décollé en avril.<br /> <br /> <br /> Carte des aéroports espagnols en fonction du trafic passagers en 2010<br /> © AFP<br /> Au départ pensée pour la saison de ski, l'infrastructure, qui a coûté 40 millions d'euros, a pâti des faillites de la compagnie aérienne locale Pyrenair et de l'école de pilotes chinoise Top<br /> Fly.<br /> <br /> Avec 20.000 passagers en quatre ans, cela revient à 2.000 euros d'argent public par voyageur, sans compter les frais courants.<br /> <br /> "Il a été conçu sans plan commercial solide", reconnaît Rafael Fernandez de Alarcon, directeur des chantiers publics au gouvernement régional d'Aragon.<br /> <br /> D'autant que Huesca, qui compte 50.000 habitants, "est à seulement 70 kilomètres d'un aéroport, celui de Saragosse".<br /> <br /> Pour Germa Bel, c'est le parfait exemple de l'excès d'infrastructures dont souffre l'Espagne: "à Huesca, il y a un aéroport, une ligne de TGV et une autoroute!".<br /> <br /> Car le pays est aussi numéro deux mondial en kilomètres de grande vitesse, derrière la Chine, et leader européen en kilomètres d'autoroutes.<br /> <br /> "Tous les cent kilomètres, il faut un aéroport, pour des raisons de sécurité", et Huesca peut ainsi servir de base pour d'éventuelles opérations de secours dans les Pyrénées, rétorque M. Fernandez<br /> de Alarcon.<br /> <br /> Mais il ajoute: "c'est nécessaire dans une Europe riche, comme celle de 2000, quand cet aéroport a été envisagé, et cela est mis en doute quand l'Europe est en crise économique".<br /> <br /> "Aujourd'hui je ne financerais pas" cet aéroport, admet-il.<br /> <br /> "En Espagne il y a eu la bulle immobilière et celle des chantiers publics, et après les bulles et le sur-investissement, vient une longue période de digestion et de paiement de la facture", tranche<br /> M. Bel.<br /> <br /> A Huesca, le gestionnaire public des aéroports Aena et la région travaillent à réanimer l'aéroport assoupi: le message officiel est qu'il ne doit pas fermer, mais que pour être rentable, il doit<br /> attirer des écoles de pilotes.<br /> <br /> Le gouvernement régional, qui négocie avec "trois projets" de ce type, se dit "sûr et optimiste pour l'avenir". Selon lui, l'aéroport pourrait même accueillir "quelques vols charters"<br /> <br /> <br />
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B
<br /> China property dip may have global effect :<br /> <br /> <br /> Ratings agency Standard & Poor's said last month it expected China's property prices to fall by 10 per cent nationally over the coming year.<br /> http://www.perthnow.com.au/business/china-property-dip-may-have-global-effect/story-e6frg2ru-1226194373059<br /> <br /> <br />
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A
<br /> Non , Patrick , tu n'es pas seul à dire des choses intelligentes...<br /> !<br /> Citation du Jour:<br /> <br /> "Europe's rescue fund buying its own bonds is like a cat licking its anus" Max Keiser<br /> <br /> (Le fonds de sauvetage de l'Europe achetant ses propres bonds, c'est comme un chat qui se lèche l'anus)<br /> <br /> http://mahamudras.blogspot.com/<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Bien vue pour se petit rappel de l'histoire de l'immobilier. Je pense que les bisousours vont encore voire cela comme une histoire passé qui ne pourra pas se reproduire, de même que cette or qui ne<br /> sera pas repris de force par les états lorsqu'il en auront besoin.<br /> <br /> <br />
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A
<br /> L'or et l'argent ont toujours été la monnaie, depuis quelques millénaires.<br /> <br /> C'est-à-dire que dans un marché libre les acteurs ont convenu que l'or et l'argent était supérieur, d'usage plus pratique, transportable, fractionnable et pérenne à l'emploi de coquillages ,<br /> pierres polies , colliers en os , femmes et troupeaux de chèvres.<br /> <br /> Actuellement nous vivons une des multiples expériences de la monnaie papier garantie par rien, qui se sont toutes finies dans la ruine.<br /> <br /> Le prix de l'or et de l'argent est manipulé à la baisse sur le marché des futures par le cartel des banques mondiales, par des ventes massives de l'or des banques centrales (Or, théoriquement<br /> propriété de la nation...), afin que le dollar paraisse plus attractif.<br /> <br /> Cette manipulation et sur le point de cesser , par manque d'or physique.<br /> <br /> Il est donc intéressant de connaître le prix d'un palais à l'époque des Médicis, qui devrait être sensiblement le même actuellement, à l'absence de toute manipulation de prix.<br /> <br /> http://www.safehaven.com/article/1922/to-silver-from-gold<br /> Traduction :<br /> <br /> http://www.microsofttranslator.com/BV.aspx?ref=BVNav&from=en&to=fr&a=http%3A%2F%2Fwww.safehaven.com%2Farticle%2F1922%2Fto-silver-from-gold<br /> <br /> Ce qui donne accessoirement le prix réel de l'once d'or que l'on devrait trouver dans les magasins.<br /> <br /> <br />
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A
<br /> A LIRE ! A LIRE ! A LIRE !<br /> <br /> Lire le commentaire HYPER intéressant de Naos le 12/11 à 19H15 sur le carnage de l'immobilier dans les années 40 et 50 en France (attention çà raconte le sort tres triste et pathétiques de ces<br /> ancetres propriétaires immobiliers )<br /> <br /> sur la page<br /> <br /> L’immobilier, valeur refuge ?<br /> http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/immobilier/221139831/immobilier-valeur-refuge.<br /> <br /> Extrait :<br /> "Certains de mes ancêtres, étaient de riches et heureux propriétaires bailleurs, qui possédaient plusieurs immeubles. A partir de 1936 et jusqu’ en 1950, mes ancêtres ont vécus une descente aux<br /> enfers, qui les ont ruinés jusqu’au dernier appartement vendu… pour une bouchée de pain!<br /> <br /> Après 1929 beaucoup d’ investisseurs, déçus par le marché des actions, convertirent leur épargne survivante, dans l’immobilier. Les malheureux furent presque tous ruinés 20 ans plus tard .<br /> <br /> Le retournement de situation commença en 1935 ou pierre Laval, ministre des finances décida la fameuse déflation Laval, ou les salaires et les loyers furent baissés de 10%. Ceux qui avaient<br /> emprunté furent les premières victimes de cette mesure déflationniste. Mais l’inflation des prix à la consommation prit le relais en 1937. Elle fut de 26%<br /> <br /> En 1939 le prix des loyers fut gelé. A partir de cette époque, les recettes locatives ne pouvaient plus s’ajuster à l’inflation du prix des travaux, des charges, et des impôts.<br /> <br /> En 1940 l’inflation était de 19% annuel.<br /> En 1945 l’inflation était de 25%.<br /> En 1948 l’inflation était de 50%.<br /> En 1949 l’inflation était de 60%.<br /> <br /> En 1950 un appartement parisien valaient 1,5% de sa valeur en 2007 en monnaie constante, c’est à dire en terme de pouvoir d’achat .<br /> <br /> Comme beaucoup de Français, mes ancêtres avaient donné toutes leurs pièces d’or à la Patrie, en 1914. Ils ne pouvaient donc pas échapper à la faillite. De toute façon, l’or fut interdit par les<br /> allemands pendant l’occupation.<br /> <br /> Les locataires furent logés presque gratuitement entre 1940 et 1948 , ceux qui possédaient encore quelque pièces d’or entre 1945 et 1955 ont tous eu l’occasion de devenir propriétaire du logement<br /> qu’ils occupaient; mais bien peu d’entre eux ont saisi cette occasion ."<br /> <br /> <br />
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N
<br /> Oui, et même à Paris intra-muros et tres proche banlieue, il y a plein de terrains à batir!<br /> <br /> Mais pourquoi les promoteurs s'embetteraient ils à construire au max, alors qu'ils peuvent se permettre de construire trois fois moins et gagner autant grace aux subventions étatiques ?<br /> <br /> <br />
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G
<br /> je voudrais en venir au cas de la ville de Nice. en 1998 elle comptait 342000 habitants, en 2002 342500 en 2009 j'ai deux chiffres 345000 ou 347000. la population a finalement peu augmenté. en<br /> revanche depuis que je suis arrivé on été construits de nombreux appartements en robien ou scellier ou scellier rénové. d'après le dernier nice matin consacré aux annonces immobilieres ils<br /> présentaient les programmes neuf en fin d'achèvement ou a produire pour les deux ans à venir. j'en ai compté 1040 soit en moyenne mensuellement 45.studio 2 3 pieces et plus.<br /> sur la période 1998 2011 cela correspond a 7000 appartements soit plus que l'augmentation de la population. d'après moi le discours des agents immobiier parlant du manque d'appartements est<br /> mensonger.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Faillite municipale record aux États-Unis à Jefferson, Alabama<br /> <br /> La collectivité locale américaine de Jefferson, un comté de l’Alabama, qui compte 650.000 habitants, a été obligée de se déclarer en cessation de paiement mercredi soir. C’est la deuxième cessation<br /> de paiement d’une collectivité locale depuis un mois (après Harrisbourg en Pennsylvanie) et cette faillite municipale est la plus grande de l’histoire des États-Unis avec 3 milliards de dollars de<br /> passif, après celle du compté d’Orange en Californie, en 1994, qui avait déclaré un passif de 1,7 milliards de dollars.<br /> Jefferson est l’exemple type de comté piégé par la crise des subprimes : les responsables de cette municipalité avaient utilisé ces prêts douteux pour rénover son système d’eaux usées. L’éclatement<br /> de la crise en 2008 a fait exploser les taux variables des emprunts contractés, amenant la collectivité au bord du gouffre. La restructuration récente de la dette auprès des principaux créanciers,<br /> dont la banque JP Morgan exposée pour 1,2 milliards de dollars en mai, avec un abandon de 750 millions de dollars de créances, n’a pas reçu l’accord des élus locaux, ce qui a entraîné la<br /> déclaration de faillite et le gel des remboursements d’échéances prévus.<br /> <br /> L’ensemble de l’historique de cette faillite ne peut empêcher un rapprochement avec les collectivités locales comme en France, dans une situation fort similaire, avec des emprunts à taux variables<br /> proposés notamment par Dexia et généreusement souscrits par des élus locaux peu soucieux de la bonne tenue des comptes municipaux.<br /> http://www.contrepoints.org/2011/11/11/55121-faillite-municipale-record-aux-etats-unis-a-jefferson-alabama<br /> <br /> Le marché de bond munis est un grand danger pour les Etas-unis. Toutes les villes,les institutions,les régions,les villes... sont endettés façon subprime.Le marché risque d'exploser avec tous ces<br /> emprunt pourris dits exotiques.<br /> <br /> <br />
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N
<br /> La révolution et la guerre ne resolvent rien du tout, ttes les expériences passées le disent.<br /> <br /> Tous les pays qui s'en sortent economiquement à long terme, sont les pays qui sont basés sur le respect du droit, de la liberté et de la démocratie.<br /> <br /> <br />
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N
<br /> C'est terrible de voir que dans ts les autres pays ou presque, la bulle à dégonflée, et qu'en France, elle reste intacte... c'est comme si ts ces pays avaient été libérés par les alliés, et que<br /> nous, nous restions sous la domination d'un tyran...<br /> <br /> Si fault passer par de la rigueur pour faire baisser les prix immo, je suis pour l'hyper rigueur.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Il semblerait que christophe ait retrouvé l'usagee de son cerveau et que la logique ait fait son chemin.<br /> <br /> Certes maintenant que les choses ont démarrer, j'avais dit 5 ans a certain, il me semble que le timing soit correcte, c'est vrai que c'est long mais comme le dit Patrick, cela va être bon pour ceux<br /> qui ont su patienter et ne pas paniquer.<br /> <br /> Donc pour résumer en 2009 en parlait de -20%, ce qui c'est passé sur une période d'un ans pour ensuite revenir au prix de 2007. Guy hocket, la canne sans le manche, fait une promo vente particulier<br /> accecible a tous avec des prix a la baisse. Ls grandes aseignes commence a voir leurs chiffres d'affaire virer en direction de zéro et les vendeurs a la commission ont bien compris que travailler<br /> pour rien se n'est pas marrant.<br /> <br /> Donc ont peut facilement prédire que les - 40% c'est a dire les moins 20% de 2009 plus les -20% de 2011 nous donne un bon -40%. De toute façon avec un crédit qui va être réduit a peau de chagrin,<br /> ceux qui avaient les moyens se sont deja empifré et vont surement perdre leur désficalisation. Il va falloir remplir le trou du déficite avec moins de sponsorisation étatique, laissé le marché<br /> faire son office. :) :)<br /> <br /> De toute façon il n'y a pas de solution a l'équation, ou il n'y en a que trois, c'est normal c'est un calcul irrationel qui fait intervenir les complexes ou imaginaire pour les matheux.<br /> <br /> 1) taxation des riches<br /> 2) révolution<br /> 3) guerre<br /> <br /> Sachant que la classe dirigente sera contre les solutions 1 et 2 il me semble logique que se qu'il nous prépare sans vouloir l'admettre, sera la solution 3. Solution qui au cours ds sciécle a été<br /> la solution permettant de réduire a néant la contreverse. Les pauvres font la guerre les riche en profitent, sauf ceux qui sont aux front :) :)<br /> <br /> Je pense que taxer les riches, serait la meilleur solution aprés tout ont limite juste la part de leur héritage. Et pour les protestants ou autres, c'est le travail qui fait l'homme et non pas<br /> l'argent.<br /> <br /> Rappelont aux américains leurs ancestrales conception est peut être que les choses s'arrangeront.<br /> <br /> C'est vrai je suis un optimiste, ça s'arrangera de grés ou de force .... :) :)<br /> <br /> <br />
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H
<br /> @anachorete<br /> <br /> la personne qui a acquis une maison pour son usage personnel ne sera pas appauvrie, mais uniquement si elle a tout payé, et n'a pas un crédit sur le dos.<br /> Dans les années 70-80 le crédit c'était bien. Les mensualités restaient constantes et les revenus augmentaient. Mais qu'en est-il si les revenus baissent ?<br /> Et si en plus la revente du bien ne permet pas d'éponger les dettes ?<br /> <br /> <br />
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H
<br /> @christophe<br /> <br /> Non, dans la bulle immobilière présente le crédit n'est pas que le second étage de la fusée. Il a un effet multiplicateur des prix, d'autant plus important que les taux d'intérèt sont bas et les<br /> durées de prèt longues.<br /> Ne pas oublier que juste avant la crise on commençait à parler de prèts sur 50 ans.<br /> Dans la crise actuelle, la baisse des revenus entrainera une baisse correspondante des prix, oui. Mais si en plus on a un credit-crunch, comme il semble, eh bien la baisse sera encore mutipliée par<br /> 2,3, voire plus.<br /> <br /> <br />
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A
<br /> Christophe "...subiront le plus grand appauvrissement."<br /> <br /> Faudrait pas mélanger "valeur d'usage" et "valeur marchande".<br /> La personne qui a acquis une maison pour son usage personnel et pour y vivre en permanence ne va pas être appauvrie par la chute des prix de l'immobilier puisque l'acquisition de ce bien n'avait<br /> aucune visée spéculative.<br /> Par contre effectivement ceux qui ont acheté un bien immobilier comme placement ou dans dans la perspective de le revendre avec plus-value vont le sentir passer.<br /> Et ce ne sera que justice que les rentiers et les spéculateurs trinquent eux-aussi...<br /> <br /> <br />
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R
<br /> PS: Je viens d'avoir Liliane au fil, elle est très heureuse de ta sollicitude et te remercie bien.<br /> <br /> <br />
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R
<br /> La thune, le blé, le pèze, l'artiche, le flouze, l'oseille, etc...<br /> Il n'y a que quand on en a plus qu'on comprend à quoi ça sert.<br /> Sinon, cher christophe, toute époque a ses privilégiés, insupportables à tous ceux qui ne bénéficient pas d'avantages immérités. Pas plus veaux qu'autre chose, simplement chouchoutés par un régime<br /> qui fabrique ainsi sa base électorale et les conditions de sa pérennité.<br /> <br /> C'est tout. Le prince disparait, les valets meurent. Tu peux continuer à les appeler les veaux, ils n'ont fait que répondre à leur intérêt immédiat et bien compris, ce que toi tu ne comprends pas<br /> visiblement.<br /> <br /> Mais tu peux être joyeux si tu n'en étais pas et que ça t'en rageait: làààà, c'est fini maintenant, calme...<br /> <br /> Reste à savoir ce que tu donneras dans le monde d'après. C'est là que je t'attend. Eh oui, la maison ne fait pas crédit bonhomme.<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Parfait Christophe,<br /> nous voila d’accord ; tu sais être bien quand tu le veux.<br /> <br /> <br />
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C
<br /> "La rigueur à tous les étages aussi fera le reste"<br /> <br /> C'est un sérieux understatement... A quoi sert le crédit ? A palier une insuffisance de revenus.<br /> <br /> Le vrai juge de paix (de paiement), ce sont les revenus.<br /> <br /> Le crédit n'est qu'un deuxième étage de la fusée, qui assure la mise en orbite.<br /> <br /> Quand tous les peignes culs verront leurs faux revenus réduits à zéro... alors l'immo baissera.<br /> <br /> Et cela affectera toute l'échelle, mais en particulier les classes moyennes, et moyenne supérieures, celles qui "font" le marché.<br /> <br /> Madame Bettancourt pourra toujours payer xxxxxx euros le m2. Mais Madame Bettancourt est seule. Unique. C'est cette vérité fondamentale que les gauchistes "Y'a qu'à faire payer les riches" ne<br /> comprennent pas. Et ne comprendront jamais.<br /> <br /> Fonctionnaires, retraités, professions libérales, bobos, doux rêveurs, gauchistes, artistes, syndicalistes, conservateurs, hollandistes, sarkozystes... tous ces veaux qui rêvent, qui regardent avec<br /> application le doigt quand on leur montre la lune... ce sont eux le "marché", ce sont eux qui subiront dans leurs chairs le grand appauvrissement.<br /> <br /> Vous disiez ailleurs, la vraie richesse c'est une usine. Ou un poulailler. C'est évident.<br /> <br /> Il y a 70 ans, pile, un oeuf valait de l'or pour les parisiens. Ils auraient sans doute volontier échangé un m2 de leur appart' à la con contre un oeuf. Ou du café.<br /> <br /> Voilà ce vers quoi nous nous dirigeons. Réjouissons nous.<br /> <br /> <br />
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