La dégringolade, la crise de nerf, et la fin...
Les affaires, REELLES, vont très mal aux USA.
Bien que les chanteurs de berceuses poussent très fort la complainte, il est clair que nous sommes en 1932.
Des lecteurs me demandaient combien de temps ??? On peut penser que les USA arrivent au point de collapsus, en voulant liquider "pour rééquilibrer les finances" tout ce qui fait la civilisation.
Routes, hôpitaux, écoles, tout doit y passer.
Bien sûr, le monde entier n'est pas au même point, mais vu l'impact du "ventre du monde" sur le reste de l'économie, nul n'en sortira indemne.
"Leur préoccupation concerne pour le court terme les élections de novembre, pour le presque aussi court terme l’Amérique elle-même. Leur appréciation critique, implicite et explicite, va à l’administration Obama, pour ce qui semble être sa complète absence d'appréciation de la situation. "
Je me rappelle du débat qu'il y avait eu lieu dans un comté il y a une dizaine d'année. Il concernait le relèvement massif du salaire minimum.
Ce comté était totalement polarisé entre une poignée de riches, et le reste de la population.
En réalité, tout un tas de budget, sont "la part du feu", comme la sécurité sociale en France, crée pour éviter la communisation.
Mais sur un certain point de vue, on peut être tranquille. Il n'y aura, contrairement à ce que pense la fondation rockfeller, pas d'épargnés.
Les quartiers des ultras-riches protégés par des armées privées, dans un océan de délinquance, avec un mix de technologie.
la technologie a peu d'importance. C'est la volonté politique.
Rétablir l'ordre, le premier des connards est capable de le faire. Il suffit de ne pas s'embarrasser de "contraintes". C'est comme en économie, et tant pis pour les pots cassés.
J'ai parlé de la peine de mort, mais on m'a mal compris.
On voit avec les yeux d'aujourd'hui, au lieu des yeux d'hier. Les attentats contre les biens étaient souvent beaucoup plus durement réprimés que les meurtres, souvent considérés comme des rixes excusables.
63 % des américains en âge de travailler avaient un travail il y a 3 ans, c'est 58.5 % aujourd'hui (sans doute faut il, là aussi, reculer l'âge de la retraite ?).
Bien la criminalisation de la pauvreté est la première réplique. Mais il est difficile de faire face à cette montée, quand on envoie basiquement, les cops, eux aussi, au chômage.
Le gouvernement "envisage", une rallonge pour les services de base des états asphyxiés financièrement, mais, en tapant dans d'autres budgets. 26 milliards en tout. A comparer aux 33 pour l'Afghanistan, où la "rallonge" a lieu tous les mois.
Bien entendu, certains traîneurs de sabres aimeraient bien étendre les guerres existantes en Iran, au Vénézuela, et certains voient encore les USA, comme "l'unique grande puissance".
En réalité, sur les 1200 milliards consacrés à la défense, la moitié est gaspillé, destiné au système lui-même, les systèmes, les armes sont usées et vétustes, et rien ne dit que les coups de clairons retentissant feront bomber, une fois de plus, les poitrines...
En France, aussi, la politique d'aveuglement continue. Hausse du gaz, de l'électricité et des taxes d'habitations. Le point commun étant, comme on l'a compris, de taper sur les classes populaires (moyennes, dans la terminologie occidentaliste).
Avec, bien entendu, le même résultat. La "poll-tax" à la française a été introduit par Sarkozy, au bénéfice de la suppression de la taxe professionnelle.
Que des têtes, et pas de cerveaux.