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La troïka, les experts, et mourir guéris...

14 Février 2012 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique

D'abord, pour pondre le plan de "sauvetage" de la Grêce, il faut être singulièrement tordu, bête et méchant. 

On résumera ça sous le titre de "néo-libéral", enfin, néo-libéral pour certaines choses, mais diablement dirigiste pour d'autres.
En effet, pour baisser autoritairement le salaire minimum de 22 % et en attendre autre chose que l'explosion sociale et économique, il faut être vraiment taré, et même pas marxiste, car même Staline n'aurait pas osé ça.

Mais, c'est bien connu, les cons, ça ose tout.

D'ailleurs l'explosion est là, il n'y a qu'à voir les villes en cendres, et peut être pas pour les raisons indiquées.
En effet, un commerçant vivant des moments difficiles - déjà-, au bord du dépôt de bilan,  et voyant se renforcer l'austérité aura toute les raisons de stocker des bidons d'essence chez lui, et de faire des crêpes flambées ensuite.

 

Bien sûr, cette affaire ne peut que foirer, coincés depuis 30 ans, entre une relance américaine qui ne viendra plus, et le mercantilisme des asiatiques, joint au mercantilisme des allemands.
Ceux qui peuvent relancer, ne le font pas, et exigent de leurs clients l'austérité.

 

Après donc, avoir copieusement arrosé d'essence le brasier grec, les experts (en incendies ?), s'attaquent au Portugal.
Avec, bien entendu, les mêmes effets.

 

Le front politique commence à se lézarder. Les défections dans les partis officiels se sont multipliées, seuls 199 députés ont voté le plan de soumission.
On promet des élections où on verrait, si elles ont lieu, une forte poussée des partis d'extrême gauche.

Papademos dit craindre le chaos, mais le chaos, c'est lui. Seule voix parfaitement lobotomisée, celle du "Figaro", qui se félicite de l'accord...

En réalité, si les élections ont lieu (comme le référendum ?), il y a fort à parier que les partis "de gouvernement" seront écrasés par une double poussée, celle de l'extrême droite et de l'extrême gauche.
L'extrême droite a eu la prudence de se sortir du guépier, et même de passer pour le "protecteur" des plus pauvres, contre des teutons idiots et stupides.
En effet, eux qui jadis protestaient si fort contre le traité de Versailles et les réparations, ont adopté même politique vis-à-vis de la Grèce, comme en 1930-1933, contre leur propre population.

 

Bien entendu, la radicalisation de la population va se durcir, et on verra le point d'aboutissement avec les premiers meurtres des responsables et/ou de leurs familles.

On verra alors flamber les députés, et non plus les magasins.

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L
Il est claire que si toute les réserves de dollar détenu par les non US devait se transformer en OR, Wall Street et la City, n'existe même plus :) :) :)
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L
En fait la machine fonctione toujours, mais au ralenti. Par contre il y a un chose qui as été cassé, c'est la confiance en cette machine. Et je doute que cette confiance ne revienne si la machine<br /> n'est pas changé. Donc tu as raison sur le fond, par contre il ne me semble pas qu'un quelconque changement de machine soi a l'ordre du jour. Et cette machine continu donc d'être au mains de Wall<br /> street et de la city.<br /> Et je dirais même que cela leur as permis de mettre la main sur une énorme part des marchés. Grace a leur QE respectif.<br /> Le monstre de la finance as été toucher et bien toucher, mais il n'est malheureusement pas mort et si ont lui laisse trop de temps il s'en remmettra. Nous moins par contre ....<br /> Il est encore trop tot pour crier victoire.....
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R
@logique: J'en profite pour faire une mise au point. Ce que j'évoque plus haut n'est nullement conjoncturel. Je tente d'aller vers la structure même de la crise, ses mécanismes profonds. Quand je<br /> dis que nul n'est prophète je veux dire que les aléas de l'humanité sont imprévisibles et que toute l'histoire est faite de retournements et d'évènements inattendus. Cependant, il existe des<br /> tendances de fond, des relations de cause à effet qui font que l'évolution des évènements se fait dans un domaine contraint, globalement appelé la crise.<br /> <br /> quand je dis que WS et la city sont finis, c'est parce que je sais que les principaux centres de décision sur la planète ne sont plus là. La tendance se dessinait depuis le début des années 2000,<br /> elle s'est singulièrement accélérée depuis 2008. Je ne vois rien en dehors d'un miracle céleste qui puisse inverser cette situation. De plus, elle s'inscrit dans une tendance historique concernant<br /> en gros toutes les formes de pouvoir connues depuis l'invention de l'écriture.<br /> <br /> Alors sûr, l'évènementiel peut toujours distraire, laisser penser que quelque chose se joue, mais au fond tout cela est un théâtre d'ombres. Les individus les plus avisés (et les moins connus) du<br /> monde financier avouent à mi mot leur défaite. La machine est cassée...<br /> <br /> ...et merci valuebreak, ton message m'avait échappé.
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L
@roland,<br /> <br /> Wall street et la city ont certes perdu du pouvoir, mais il tiennent encore debout. Le probléme est qu'il n'arrivent plus a écouler toute leur merdes et qu'il tentent tant bien que mal de tenir la<br /> barre. Tout va dépendre des petits invetisseurs, si ils ré-entre sur le marché, a l'achat, ou non. A mon avis c'est non, donc c'est plier pour eux. Mais ont ne sais jamais avec les veaux :) :)<br /> :)<br /> en tout cas tout est fait pour faire croire que le marché redemmare a la hausse.
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B
Le président du directoire de Bosch, l'un des industriels les plus respectés d'Allemagne et proche conseiller de la chancelière Angela Merkel, a plaidé pour une sortie de la Grèce de l'Union<br /> européenne dans un entretien à Manager Magazin.<br /> <br /> <br /> "Cet Etat, avec ses retraités fantômes et ses gens riches qui ne paient pas d'impôts, un Etat qui n'a pas d'administration qui fonctionne, n'a pas sa place dans l'Union européenne," a déclaré Franz<br /> Fehrenbach dans un entretien à paraître vendredi 17 février.<br /> <br /> Il s'agit du dernier en date d'une liste de grands dirigeants d'entreprises allemandes à s'élever contre le rôle de la Grèce dans l'UE et la mise en place d'un deuxième plan d'aide. Selon une<br /> enquête menée auprès de plus de 300 dirigeants parue dans le magazine, environ 57 % d'entre eux souhaitent une sortie de la Grèce de la zone euro et un retour à la drachme.<br /> <br /> <br /> A la question de savoir ce que les dirigeants politiques devraient faire si la Grèce ne quittait par la zone euro de son propre chef, Franz Fehrenbach, qui ne s'exprimait pas en tant que conseiller<br /> du gouvernement, a répondu : "Alors, l'Union Européenne doit modifier ses lois et l'expulser, aussi difficile que cela puisse paraître."<br /> <br /> Reste par ailleurs un désaccord sur le point de savoir s'il faut conserver l'objectif d'un niveau d'endettement public grec ramené à 120% du PIB d'ici 2020 ou si on peut le laisser atteindre un<br /> niveau plus élevé, par exemple 125% du PIB. Sur ce point, "il y a les fétichistes du 120% qui n'en démordent pas", en particulier les Pays-Bas, l'Allemagne et la Finlande, selon une source proche<br /> des négociations.<br /> <br /> "Nous faisons face à une situation particulière, on nous pose toujours de nouvelles conditions, et cela est dû au fait qu'il y a des puissances dans l'Europe qui jouent avec le feu, qui croient que<br /> la décision d'octobre sur le nouveau prêt pourrait ne pas être appliquée, et qui veulent que la Grèce soit hors de la zone euro", a déclaré le ministre des Finances grec M. Vénizélos, à l'issue<br /> d'une rencontre sur l'économie avec le président grec Carolos Papoulias.<br /> <br /> Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a réaffirmé mercredi la volonté de son pays d'aider la Grèce, mais seulement si celle-ci n'était pas "un puits sans fond".<br /> <br /> Mais le Luxembourg, quatrième pays de la zone euro toujours noté "triple A" par les trois grandes agences de notation avec l'Allemagne, les Pays-Bas et la Finlande, a également manifesté son<br /> impatience ces derniers jours.<br /> <br /> Son ministre des Finances, Luc Frieden, a laissé entendre lundi que la Grèce pourrait être exclue de la zone euro si elle ne tenait pas ses promesses de réformes et de réduction du déficit public.<br /> "S'ils ne font pas tout cela, je pense qu'alors nous devrons continuer avec 16 pays" dans l'Union monétaire et "qu'ils s'excluent eux-mêmes de la zone euro", a-t-il dit.<br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/la-grece-amere-et-determinee-face-a-des-europeens-intransigeants-2116d225dbd6ea3b0c2c988bd4ad4cd6<br /> <br /> En clair :<br /> <br /> L'Allemagne, l'Autriche, les Pays-Bas, le Luxembourg, la Finlande, ne veulent plus prêter des dizaines de milliards d'euros à la Grèce, car ils savent que la Grèce ne les leur remboursera<br /> jamais.<br /> <br /> L'Allemagne, l'Autriche, les Pays-Bas, le Luxembourg, la Finlande, veulent que la Grèce quitte la zone euro.
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R
Sclavus, merci de ton accueil, je suis heureux de vous retrouver. Les élites ne se gourent pas, elles font de manière non concertée ce qu'elles pensent être la seule politique possible. Ce sont des<br /> idéologues, c'est en cela qu'ils sont crétins car ils se ferment eux mêmes les portes de sortie. Un exemple? La Grèce, justement. En Mai 2010, la remise à niveau aurait coûté 10 Mds d'€.<br /> Aujourd'hui, ce n'est même plus rattrapable, toujours dans la logique bankster.<br /> <br /> De plus, quels sont les intérêts communs des ordo capitalistes rhénans et des groucho capitalistes anglo saxcons (lol)? Pas loin de aucun. Et là nous sommes dans une période ou ils jouent<br /> ouvertement les uns contre les autres.<br /> <br /> Pour le moment, ils sont omniprésents, essentiellement par défaut d'autre chose. On peut ainsi avoir l'impression qu'ils dominent tout. Mais c'est une vision très euro centrée. J'ai passé les 2<br /> derniers mois à voyager un peu et je peux t'assurer que partout ailleurs que dans l'OCDE, on prépare la suite. Toi qui es un supporter de notre ami Poutine, regarde ce qui se prépare en Russie,<br /> observe le raidissement et les déclarations de plus en plus claires qui nous parviennent du Kremlin, reprises dans un bel ensemble par tout l'appareil du PCC... On se croirait revenu 30 ans en<br /> arrière.<br /> <br /> Par toute une série d'initiatives désordonnées aux résultats en général désastreux, l'empire a réussi à se mettre à dos à peu près tout le monde du dehors de "la communauté internationale", ce qui<br /> représente les deux tiers de l'humanité et plus de la moitié des forces de production. Le dollar s'évanouit lentement en tant que véhicule principal des transactions sur les matières premières, des<br /> pans entiers du marché de l'énergie sortent également de la zone dollar.<br /> <br /> Je le disais plus haut, nul n'est prophète mais la direction est claire: l'effondrement. D'ores et déjà, le vrai pouvoir n'est plus ni à la city, ni à wall street. Quand ces bouffons crèveront sur<br /> leur tas d'ordures, il n'y aura plus grand monde pour s'en apercevoir.
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B
Mercredi 15 février 2012 :<br /> <br /> L'Allemagne, l'Autriche, les Pays-Bas, le Luxembourg, la Finlande, veulent que la Grèce quitte la zone euro.<br /> <br /> C'est un secret de polichinelle.<br /> <br /> Mais le ministre des Finances grec vient juste de s'en apercevoir.<br /> <br /> Grèce : "Plusieurs" pays de la zone euro "ne veulent plus de nous" affirme Vénizélos.<br /> <br /> "Plusieurs" pays de la zone euro "ne veulent plus de nous", a déclaré mercredi le ministre des Finances grec Evangélos Vénizélos, qui souhaite "convaincre" les pays partenaires que la Grèce pourra<br /> "réussir" à y rester.<br /> <br /> "Il faut dire la vérité au peuple grec, il y a plusieurs (pays de la zone euro) qui ne veulent plus de nous. Et il faut les convaincre" que la Grèce peut "réussir" à y rester, "pour les prochaines<br /> générations, pour nos enfants", a déclaré M. Vénizélos à son arrivée chez le président de la République Carolos Papoulias.<br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/grece-plusieurs-pays-de-la-zone-euro-ne-veulent-plus-de-nous-affirme-venizelos-2116d225dbd6ea3b0c2c988bd4ad4cd6
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S
Salut Roland ;<br /> Bon retour ; nous voilà pas d’accord ; j’espère toutefois que tu as raison.<br /> Ce qui me taquine c’est que ces fumiers – que toi, PR, et qqs d’autres considérez comme des ânes, crétins, etc. – se gourent toujours dans le même sens.
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R
quelqu'un a une liste des gros cadres, mais les très très gros. des grosses banques qui controlent l'ue et qui ont poussé la grèce à la ruine.<br /> j'entend parler de rothschild rockfeller, familles royales.<br /> est ce que quelque chose d'encore plus obscur pourrait se cacher derrière les grands argentiers du monde.<br /> ils sont nomades surement. les paparazzi savent traquer les trouducs. on devrait monter un réseau international pour traquer la liste et espérer que çà aide quelques bonnes âmes pour en dégommer<br /> quelques uns.<br /> on devrait prendre contact avec les pays libres pour des formations et des financements.<br /> oups çà ressemble à du terrorisme :p j'ai rien dit.<br /> jsais pas pourquoi j'ai pas pensé à mal, je dois etre convaincu qu'ils le sont.
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L
Je pense que vous avez oublié qui est lheman brothers est qui l'as fait chuter pour qu'ont se retrouve dans se merdier. Certes se lheman le mérite emplement, puisqu'il n'as pas su assuré sa survie<br /> au lieu d'assuré son avidité. Mais qui as donné le coup final US or UK ?
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B
Mardi 14 février 2012 :<br /> <br /> La mauvaise nouvelle était attendue… mais le couperet qui tombe s’avère particulièrement lourd. Selon l’autorité des statistiques grecques, le PIB du pays aurait chuté de 7 % au dernier trimestre<br /> de 2011.<br /> <br /> Selon l’agence de presse grecque Ana (semi-officielle), ces chiffres, s’ils se confirmaient, équivaudraient à une contraction du PIB de 6,8 % pour l’ensemble de l’année 2011.<br /> <br /> Ce recul intervient après un troisième trimestre déjà particulièrement mauvais. Le PIB s’était alors contracté de 5 % au sur un an, alors que le budget de l’année en cours tablait sur une récession<br /> de 5,5 % en 2011.<br /> <br /> L’année 2012 devrait être la cinquième année consécutive de récession subie par le pays.<br /> <br /> Et en tout état de cause, les derniers chiffres publiés mettent en avant une situation du pays beaucoup plus inquiétante que ce que le gouvernement grec voudrait. Même si Athènes redoutait une<br /> aggravation de la récession pour l’année 2011, au vu du coup d’arrêt donné à l’activité économique dans le pays par deux ans d’austérité dictée par l’UE et le FMI en contrepartie du sauvetage<br /> financier du pays surendetté, celle-ci était moins importante que celle qui se profile. Dans son dernier budget, le gouvernement tablait en effet sur une récession de « seulement » 5,5 % en<br /> 2011.<br /> <br /> Ces chiffres risquent également d’aviver les tensions dans le pays, alors que les mesures d’austérité demandées par les l’Union européenne et le FMI viennent d’être durcies avec l’adoption d’un<br /> nouveau mémorandum de politique économique, ouvrant notamment la voie à des baisses de salaires dans le privé.<br /> <br /> Les syndicats et des pans du patronat s’y sont opposés en jugeant que loin d’aider à redresser l’économie grecque, ces mesures vont enfoncer davantage encore le pays dans la récession.<br /> <br /> « Nos entreprises veillent sur le revenu des salariés et donnent la priorité à la sauvegarde des emplois, en utilisant en priorité d’autres moyens d’amélioration de la compétitivité et de baisse<br /> des coûts », a ainsi indiqué ce mardi l’Union des industriels de Grèce (Sev) en rendant publique une motion adoptée la veille par sa direction.<br /> <br /> http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0201897851926-le-pib-grec-aurait-chute-de-pres-de-7-en-2011-289127.php
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R
@LG: Salut vieux camarade, toujours fidèle au poste.<br /> En fait, si tu me lis bien, je ne dis pas qu'ils ne seront pas tentés au point d'y aller (sous lourde pression voire action autonome israélienne), je dis qu'ils vont se prendre une trempe<br /> monumentale et que, toujours dans cette hypothèse, cela ne fera qu'accélerer la chute finale. Ce qui, au bout du bout, est une bonne chose. C'est probablement cynique aux yeux de certains (tu sais<br /> qui) mais c'est pourtant une hypothèse tangible. A +
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L
@ Roland<br /> <br /> Tu oublies un paramètre indécrottable chez les militaires, qui ont toujours eu le chic pour s’aveugler avec leur propre fumée. Pour eux, les guerres sont toujours courtes.<br /> « Frapper vite et fort » tel est leur logo d’aujourd’hui comme d’hier. Leur modèle parfait reste « la guerre des six jours » d’Israël, même si tout le monde, à part les experts stratèges, savent<br /> que ces six jours là ont entraîné un demi-siècle de misères bien saignantes.<br /> Frapper vite et fort, ils semblent que les anglo-saxons et leurs alliés somnambules (suivez mon regard) n’ont plus que cette stratégie là dans leur botte, et il semble aussi qu’ils ne veulent pas<br /> se priver de l’utiliser.<br /> Je crois moi que ces sauts de puce peuvent nous mener très loin, d’autant plus que, comme tu le soulignes toi-même, qui a peur, en face, du technologisme ?<br /> <br /> Sur la « sagesse » des grecs, des espagnols, des portugais (plus loin, nous, français, avons pas mal dégusté aussi), je m’étonne que personne ne rappelle que ces pays ont connu des guerres civiles<br /> terribles et des dictatures impitoyables, il y a à peine deux générations en arrière.<br /> Sûr que cela invite à la prudence avant de remettre le couvert ! Les « veaux » (comme dirait notre Céline de PME attitré), avant de boire du petit lait, furent jadis sevré à l’hémoglobine.
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V
brouillard hellène ...<br /> <br /> pendant ce temps, silence radio sur les mesures imposées par le FMI à la roumanie :<br /> -25% sur les salaires publics<br /> -15% sur les retraites<br /> -15% sur les alloc chomâge.<br /> demandé par le FMI : TVA : 20% --> 25%<br /> flat tax : 16% --> 20%<br /> <br /> c'est pas l'€ donc on s'en tape ???
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V
bjr à Roland ...<br /> <br /> pas encore congelé ?
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D
ils ont tous la trouille du declenchement des CDS..<br /> Leur seul objectif c'est d'eviter la faillite officielle.<br /> Non pas pour les grecs dont ils se foutent totalement,mais pour le systeme financier,incapable de savoir ce qui se passera si les CDS sont activés.
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R
Salut les Aminches!<br /> <br /> Me voila de retour, gare à vos miches...<br /> <br /> Bon, je vois qu'on tourne toujours autour du pot. Le plan méticuleux et savamment organisé, je n'y crois pas un instant. Je que je vois, c'est plutôt un sauve qui peut généralisé. En haut lieu, ils<br /> savent que l'affaire est pliée. Take the money and run. Je suis 100% d'accord avec Patrick, réflexes du cerveau reptilien.<br /> <br /> Les conséquences ne sont pas gérées, elles ne sont même pas envisagées. Le scénario hystérique se perpétue donc avec comme point focal le déchainement belliciste. Les rancœurs et les haines<br /> s'affichent.<br /> <br /> En bas, le cerveau lobotomisé de base se raccroche à ce qu'il peut, refusant tout aussi hystériquement d'envisager les conséquences de ce qu'il perçoit de façon diffuse.<br /> <br /> La clé est qu'en toutes choses, il y a un point de non retour, et que si rien n'est écrit, la direction ou nous allons est elle tout à fait claire.<br /> <br /> Donc il n'y a ni lieu de s'en réjouir ni de s'en désespérer. Mon père, ce saint homme, me disait de ne pas me soucier des choses auxquelles je ne pouvais rien. Son adage s'applique parfaitement à<br /> la période actuelle. Les dés sont lancés, seul le bord du plateau pourra les arrêter.<br /> <br /> Nos braves Népotes assis sur leur tas de... de quoi en fait? D'or? de papier? de rien? bref, ils n'ont que le pouvoir de posséder, rien d'autre. Et c'est un pouvoir bien fragile par temps<br /> houleux.<br /> <br /> Quant à la guerre en général, c'est à mon avis un écran de fumée. Comment voulez-vous que des gens incapables de contrôler (au sens de faire marcher correctement) ce qui se passe chez eux aillent<br /> guerroyer avec succès à l'autre bout de la planète? C'est la trempe assurée.<br /> <br /> D'autant que le "technologisme" qui fait le succès fort relatif des armées impériales est singulièrement battu en brèche ces derniers temps.<br /> <br /> Qui vivra verra... C'est ce que doivent se dire les Iraniens. Et les Grecs!
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B
Mardi 14 février 2012 :<br /> <br /> Le Medef dévoile son programme de campagne, avec l'Europe en "top priorité".<br /> <br /> La présidente du Medef Laurence Parisot a présenté mardi les propositions du patronat dans la perspective de l'élection présidentielle, articulées autour d'une vingtaine de points dont le déficit<br /> public nul en 2015, mais avec une priorité : le fédéralisme européen.<br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/le-medef-devoile-son-programme-de-campagne-avec-l-europe-en-top-priorite-aa4df646abfc819464d38c6d7108faeb
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L
@fabrice,<br /> <br /> Tu pointe exactement ou je voulais pousser mon derniers post. Il y a un momment ou il y a peut être une troisiéme possibilité, celle du pardon. Mais cela impose de ne plus recommencer. Mais il me<br /> semble que le pardon as aussi, malheureusement, c'est limite. Comment pardonner a quelqu'un qui recommence les mêmes erreurs et qui déclenche les mêmes horreurs ?
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F
Le poète Norvègien Overland disait ( il parlait des nationaux-socialistes): Ne leur pardonnez pas, car ils savent ce qu'ils font.C'est terriblement d'actualité.
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