Le coût de l'immobilier freine la compétitivité française...
26 Février 2013 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Immobilier
La nouvelle est parue -enfin- chez l'agence
reuters.
L'immobilier, surévalué en France, est une gabegie financière, économique et sociale.
" les logements sont en moyenne 40% à 60% plus chers à l'achat en France qu'en Allemagne et les loyers 10% à 20% plus élevés, malgré un parc social deux fois plus important du côté français. "
Pourtant, les différences maximales enregistrées, feraient plutôt apparaitre un coût trois fois plus important, y compris dans les zones où la bonne valeur serait zéro, ou pas loin.
"Une partie excessive de la richesse française part dans la rente immobilière." C'est vrai, c'est trois fois trois cher.
Il est clair qu'il y a bien des régions françaises, où cela devrait être zéro, ou pas loin, ou à peine plus.
Mais cette bande de communistes ne s'arrête pas là :
"en France, l'empilement des dispositifs d'aide à l'accession à la propriété dans un contexte d'offre limitée a nourri la flambée des prix de l'immobilier, alors que l'Allemagne a au contraire eu tendance à réduire les aides fédérales au logement. "
"Les problèmes de logement des salariés affectent 40% des entreprises".
Il faudrait généraliser le tonneau, comme moyen de résidence. Ou la caravane. Comme ça hop, le salarié Rono ou pigeot ne perd plus de temps. Il réside sur le parkin-gueux de la boite et peut se contenter de 800 roros par mois.
"Les politiques des gouvernements français visant à faire de la France un pays de propriétaires ont créé les conditions d'une rigidité du marché du travail",
souligne Lionel Fontagné. Notre génial conducator zébulon talonette, qui voulait faire de notre pays une "société de propriétaires", aurait il eu donc faux ???
Et enfin, le clou sur le cercueil :
"A court terme, la transition vers des prix plus bas de l'immobilier peut avoir des effets extrêmement pénalisants : perte de richesse, donc hausse de l'épargne et
recul de la demande des ménages.
Ben, ma bonne dame, quand les prêts bancaires à l'immobilier ont représentés jusqu'à 10 % du PIB, c'est vrai qu'il y a eu un drôle d'effet richesse. Totalement
injustifié, qui s'est à peine retrouvé dans une croissance anémique, et a surtout gonflé les teutons dans une suffisance et une idiotie tout aussi injustifiée.
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