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Le vrai rendez vous...

29 Novembre 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique

On a beaucoup glossé sur les triomphes islamiques dans les élections dans les pays arabes.

En réalité, cela n'est qu'un épiphénomène.

Parce que dans certains pays, ils sont largement corrompus et intégrés au jeu.
Qu'ensuite ils ont déjà partagé parfois, le pouvoir avec les militaires, mais qu'enfin, ils ne peuvent changer la donne principale.

Cette donne principale, c'est l'économie, et par delà l'économie, c'est l'emploi.

Le terme économie a été galvaudé par les libéraux, pour l'opposer à l'emploi.
Mais en tout état de cause, sur quoi tout se jouera, c'est l'emploi.

"Tunisie : "Si rien ne change, on va brûler Gafsa""

Gafsa, c'est 40 % de chômage, et une seule activité, la mine de phosphates. En gros, ou on y est miséreux, ou on y est aisé, parce que le salaire y est le double de celui tunisien.

Les dictateurs ont oublié le sens antique du mot tyran. Le tyran, c'était le "bienfaiteur et protecteur du peuple". Contre les riches.

Paul Jorion se plante (comme souvent), il nous dit qu'il n'y eut qu'une seule redistribution réussie sans révolution, celle du new deal.
Monsieur jorion, retournez à l'école. Ces exemples, il y en a dans tous les pays, dans tous les siècles.
Un des plus célèbres, c'est la "révolution royale" de 1770-1774.

Menée par Louis XV, son résultat fut le suivant :

"Débarrassée des trublions, dotée d'une administration judiciaire moderne, d'une fiscalité juste et efficace, la monarchie de Louis XV se révélait apte à surmonter les forces de désagrégation et les intérêts égoïstes, soucieuse d'ordre et de justice, capable de gouverner dans l'intérêt général.
Le grand héritage pouvait paraître consolidé.
Mais ce qu'un roi a fait, son successeur peut le défaire. Louis XV mort, que fera le nouvel héritier ?".

On peut noter aussi que l'Abbé Terray (vide-gousset) se chargea fort bien de la banqueroute (partielle).
D'ailleurs, toute mesure de banqueroute, quelqu'elle fut, est d'abord une mesure d'écrêtage des inégalités.

Et dieu sait si elles furent nombreuses dans l'histoire de France.

En réalité, les révolutions en France, concernent toujours les périodes où l'on se refuse à la banqueroute.

Sans doute les révolutions sont elles indispensables et incontournables, parce les gouvernements n'ont pas la mémoire des événements passés, et remettre en route, la machinerie des inégalités, est très facile et très simple. cela s'appelle réduire les impôts progressifs (bouclier fiscal), et réduire les droits de succession des plus aisés, sous les applaudissements de tous, qui se croyaient concernés...

 

Les révolutionnaires de 1789 étaient parfaitement conscient du problème d'éviter les révolutions à venir.
Mais on ne peut empêcher le renouvellement des générations, et d'avoir des gens d'une bêtise extrème qui accédent au gouvernement.

En gros, il n'y a pas de système parfait qui puisse résister à l'injure du temps.

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J
Oui Patrick !<br /> Vous êtes un esprit candide et l'injure du temps se réfère en autre à voltaire dans Candide.<br /> C'était juste une pirouette de transition Jorionesque.
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J
@Jean-Paul...<br /> <br /> A croire qu'il a que ça à foutre.<br /> Remarquez, Herman, n'avait rien demandé, il fallait un pantin, il était tout désigné, les Merkosy Barrosso Wall-Street et LA CITY l'ont mis.<br /> Savoir qu'il fait des haïkus parait être déterminent dans son rôle d'intermittent du spectacle, car à chacune des ses appartitions j'ai l'impression de voir le Mr Bean de la politique.<br /> Sera t"il convier par ses supérieurs à nous faire bientôt des discours de crise en rimes et alexandrins avant de retourner au placard.<br /> Le comique est la vaseline du dramatique, c'est bien connu.
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J
"En gros, il n'y a pas de système parfait qui puisse résister à l'injure du temps."<br /> <br /> Patrick, c'est l'usure du temps, l'usure, et non l'injure...<br /> Le temps n'injurie personne, ce sont les hommes qui par leurs injures faites à l'égard des autres, finissent par se faire justice.<br /> C'est comme si j'avais dit "justesse soit faite"...envers les arguments de Jorion....<br /> <br /> ;-)
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P
<br /> <br /> On parle aussi d'injure du temps.<br /> <br /> <br /> <br />
J
Vous saviez que van serpillere écrit des haikus?<br /> ca ne s'invente pas, un poète ce cher Herman<br /> <br /> http://www.hermanvanrompuy.be/haiku/
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B
La force de frappe du Fonds de secours, le FESF, est insuffisante. Il n'atteindra "probablement pas" le montant de 1000 milliards d'euros, initialement prévu fin octobre, a reconnu Jean-Claude<br /> Juncker, le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, à l'issue d'une réunion à Bruxelles.<br /> <br /> La zone euro a décidé mardi soir d'"examiner rapidement une augmentation des ressources du FMI au travers de prêts bilatéraux" des pays de l'Union monétaire, a déclaré M. Juncker.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/La_zone_euro_se_tourne_vers_le_FMI_pour_sortir_de_la_crise301120110911.asp<br /> <br /> Voici l'explication des "prêts bilatéraux au FMI" (idée géniale !) :<br /> <br /> 1- Les Etats de la zone euro sont surendettés.<br /> <br /> 2- Le FESF sera insuffisant pour sauver les Etats européens surendettés.<br /> <br /> 3- Le FMI sera insuffisant pour sauver les Etats européens surendettés : la capacité de prêt du FMI est seulement de 300 milliards d'euros.<br /> <br /> "La capacité de prêt totale du FMI est actuellement de l’ordre de 400 milliards de dollars, soit environ 300 milliards d’euros."<br /> <br /> http://www.tdg.ch/actu/economie/fmi-preparerait-pret-600-milliards-euros-italie-2011-11-28<br /> <br /> 4- Donc les Etats européens surendettés vont emprunter encore plus d'argent sur les marchés : les Etats européens surendettés vont se surendetter encore plus.<br /> <br /> 5- Ensuite, les Etats européens surendettés vont prêter cet argent au FMI, et ensuite le FMI va pouvoir prêter cet argent aux Etats européens surendettés.<br /> <br /> 6- Nos dirigeants sont des génies.
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L
Jorion devrait lire Howard Zinn, voire simplement se reporter à la littérature du temps (Steinbeck, Dos passos, Mac Coy entre autre). La situation sociale à bien des égards était au bord de la<br /> rupture dans l’Amérique des années trente, au point que je me demande si la réussite du New Deal n’a pas été avant tout un succès purement psychologique.<br /> C’est l’entrée dans le second conflit mondial qui leva l’hypothèse d’une crise interne violente, et paracheva principalement l’œuvre de redressement que le New Deal avait seulement esquissée. Il<br /> faut admettre que rien n’est plus égalitaire et redistributif qu’une guerre moderne.<br /> <br /> A ce sujet, je suis pour une fois d’accord avec Chri-Chri-quinze-tonnes. Dans les secousses qui affectent le monde arabe actuellement la question sociale est secondaire. Elle sert surtout de<br /> détonateur à une rupture majeure avec l’occident, et résoudre la première n’y changera rien.<br /> Dans le cas d’une guerre civile (je pense surtout à l’évolution probable de la Libye), la question est résolue d’emblée. La guerre donne du boulot à tout le monde : faire la guerre, avec conscience<br /> professionnelle et si possible en oubliant pourquoi on la fait.<br /> C’est un genre de vie et une forme d’économie à part entière, ce qui explique qu’il soit tellement difficile d’en sortir (par exemple relire la presse de l’époque sur les tenants et les<br /> aboutissants de la guerre du Liban dans les années soixante dix, quatre vingt, et un violent exercice d’humour).<br /> <br /> http://www.bernardlugan.blogspot.com/2011/11/libye-point-de-situation-le-25-novembre.html#comment-form
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C
??? Patrick, qu'est ce qui vous arrive ?<br /> <br /> Un "épiphénomène" ? Les Frères musulmans en Egypte ? Alliés dans le passé des milis ??? Heu... on n'a pas lu les mêmes bouquins d'histoire.<br /> <br /> Je me souviens encore des shootings au pieds des pyramides, des manifs réprimées, des frères embastillés etc.<br /> <br /> Vous allez trop vite en besogne.<br /> <br /> Idem en Tunisie, Maroc... Les belles âmes depuis un an nous assommaient : "aucun risque", "les islamistes n'existent pas"... blablabla, il ne fallait surtout pas "stimagtiser", "effrayer le chalan"<br /> (les crétin retraités Tonton et Tontines qui achetaient de l'immo au soleil...).<br /> <br /> L'art de prendre ses désirs pour des réalités.<br /> <br /> Ce sont au contraire des événements majeurs, dans la même veine que la révolution en Iran il y a 30 ans.
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P
<br /> <br /> la base manifeste, mais l'état major (islamiste) pactise avec l'état major (militaire). C'est le syndrome du PCF, toujours en retard sur le déclenchement des grèves par la base.<br /> <br /> <br /> Les phénomènes de manifestations, sont des phénomènes purs de lutte des classes. Ils veulent du boulot et des sous.<br /> <br /> <br /> <br />
Y
Oui, je suis d'accord, Jorion se plante (encore) sur ce coup la. Manque de culture et de lucidité.<br /> <br /> Moi j'aurais donné comme exemple plus récent les 30 glorieuses qui a quand même connu une nette diminution des inégalités.<br /> <br /> http://yoananda.wordpress.com/2011/11/29/la-faute-a-qui-ou-quoi/<br /> <br /> mon analyse s'éloigne énormément de la sienne que je trouve beaucoup trop simpliste (d'autant plus pour un esprit brillant comme lui).
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L
American Airlines dépose son bilan<br /> Placée sous la protection du chapitre 11 du régime des faillites, AMR, la maion mère du transporteur, compte se réorganiser et réduire ses coûts de fonctionnement.<br /> <br /> De notre correspondant aux États-Unis<br /> <br /> AMR, holding d’American Airlines, a déposé mardi son bilan. La compagnie, numéro trois dans le ciel américain, compte sur la protection du régime des faillites pour se réorganiser et réduire ses<br /> coûts. Les vols d’American Airlines et de sa filiale American Eagle ne devraient pas être affectés par ce passage d’AMR par le chapitre 11 du code des faillites.<br /> <br /> Un nouveau patron a été nommé par le conseil d’administration pour mener à bien cette transition délicate. Il s’agit de Thomas Horton, jusqu’alors numéro deux. Gerard Asprey, qui dirigeait le<br /> groupe depuis 2003, a préféré démissionner plutôt que de rester en place comme le conseil d’administration le lui avait proposé.<br /> <br /> Le transporteur, dont le siège se situe à Fort Worth (Texas), souffre de coûts substantiellement plus élevés que ses rivaux. Il a été le seul grand opérateur américain à ne pas dégager de profits<br /> l’an dernier. Il perd des parts de marché et devrait encore afficher des pertes sur l’ensemble de l’année 2011.<br /> <br /> Concurrence agressive<br /> AMR est en conflit chronique avec les syndicats qui représentent ses différentes catégories d’employés depuis au moins 2006. À la différence de ses rivales comme Delta, United ou Continental, AMR a<br /> délibérément évité de recourir au dépôt de bilan pour se restructurer dans les années de crise qui ont frappé l’industrie après les attaques du 11 septembre 2001.<br /> <br /> Or le chapitre 11 a permis aux compagnies qui y ont eu recours de se débarasser de leurs obligations de pension de retraite, de restructurer leurs dettes et de renégocier des contrats moins<br /> honéreux avec leurs pilotes, mécaniciens et personnels naviguants.<br /> <br /> Par la suite, American Airlines, longtemps numéro un, a choisi de ne pas fusionner avec d’autres. Mais le mariage de United avec Continental d’une part, et celui de Delta avec Northwest d’autre<br /> part, ont crée de nouveaux géants aux réseaux plus compétitifs. Surtout face la concurrence aggressive de plus petites compagnies à bas prix comme Southwest et JetBlue.<br /> <br /> Sacrifices consentis en 2003<br /> Pour ne rien arranger American Airlines est handicappée par l’âge de sa flotte. Ses avions en moyenne plus vieux consomment plus de carburant que les appareils de ses concurrents. À ce propos, la<br /> compagnie souligne que son dépôt de bilan n’affecte pas sa commande gigantesque de quelque 40 milliards de dollars passée en juillet dernier. Elle porte sur 200 Boeing 737 et 260 Airbus A 320. AMR<br /> précise qu’elle n’a pas l’intention de réduire massivement son réseau.<br /> <br /> Des rumeurs de dépôt de bilan d’AMR ont commencé à circuler il y a deux mois. En octobre, une vague de départs en retraite anticipée par des pilotes d’American Airlines a alarmé les actionnaires de<br /> la compagnie. Des dizaines de pilotes ont choisi de partir pour profiter de conditions de pensions de retraite avantageuses par rapport à ce qu’ils auraient obtenu dans le cas d’un dépôt de bilan.<br /> Leur syndicat, Allied Pilots Association, est en conflit avec la direction sur les termes d’un nouveau contrat.<br /> <br /> D’une manière générale le personnel d’AMR tente depuis des mois de revenir sur des sacrifices consentis en 2003 dans le cadre de négociations qui avaient permis d’éviter le dépôt de bilan. Le cours<br /> d’AMR plonge ce mardi matin à Wall Street de plus de 80% à moins de 0,3 dollar.<br /> <br /> LIRE AUSSI :<br /> <br /> » L’aéronautique doit compter avec Abu Dhabi<br /> <br /> American Airlines dépose son bilan<br /> Placée sous la protection du chapitre 11 du régime des faillites, AMR, la maion mère du transporteur, compte se réorganiser et réduire ses coûts de fonctionnement.<br /> <br /> De notre correspondant aux États-Unis<br /> <br /> AMR, holding d’American Airlines, a déposé mardi son bilan. La compagnie, numéro trois dans le ciel américain, compte sur la protection du régime des faillites pour se réorganiser et réduire ses<br /> coûts. Les vols d’American Airlines et de sa filiale American Eagle ne devraient pas être affectés par ce passage d’AMR par le chapitre 11 du code des faillites.<br /> <br /> Un nouveau patron a été nommé par le conseil d’administration pour mener à bien cette transition délicate. Il s’agit de Thomas Horton, jusqu’alors numéro deux. Gerard Asprey, qui dirigeait le<br /> groupe depuis 2003, a préféré démissionner plutôt que de rester en place comme le conseil d’administration le lui avait proposé.<br /> <br /> Le transporteur, dont le siège se situe à Fort Worth (Texas), souffre de coûts substantiellement plus élevés que ses rivaux. Il a été le seul grand opérateur américain à ne pas dégager de profits<br /> l’an dernier. Il perd des parts de marché et devrait encore afficher des pertes sur l’ensemble de l’année 2011.<br /> <br /> Concurrence agressive<br /> AMR est en conflit chronique avec les syndicats qui représentent ses différentes catégories d’employés depuis au moins 2006. À la différence de ses rivales comme Delta, United ou Continental, AMR a<br /> délibérément évité de recourir au dépôt de bilan pour se restructurer dans les années de crise qui ont frappé l’industrie après les attaques du 11 septembre 2001.<br /> <br /> Or le chapitre 11 a permis aux compagnies qui y ont eu recours de se débarasser de leurs obligations de pension de retraite, de restructurer leurs dettes et de renégocier des contrats moins<br /> honéreux avec leurs pilotes, mécaniciens et personnels naviguants.<br /> <br /> Par la suite, American Airlines, longtemps numéro un, a choisi de ne pas fusionner avec d’autres. Mais le mariage de United avec Continental d’une part, et celui de Delta avec Northwest d’autre<br /> part, ont crée de nouveaux géants aux réseaux plus compétitifs. Surtout face la concurrence aggressive de plus petites compagnies à bas prix comme Southwest et JetBlue.<br /> <br /> Sacrifices consentis en 2003<br /> Pour ne rien arranger American Airlines est handicappée par l’âge de sa flotte. Ses avions en moyenne plus vieux consomment plus de carburant que les appareils de ses concurrents. À ce propos, la<br /> compagnie souligne que son dépôt de bilan n’affecte pas sa commande gigantesque de quelque 40 milliards de dollars passée en juillet dernier. Elle porte sur 200 Boeing 737 et 260 Airbus A 320. AMR<br /> précise qu’elle n’a pas l’intention de réduire massivement son réseau.<br /> <br /> Des rumeurs de dépôt de bilan d’AMR ont commencé à circuler il y a deux mois. En octobre, une vague de départs en retraite anticipée par des pilotes d’American Airlines a alarmé les actionnaires de<br /> la compagnie. Des dizaines de pilotes ont choisi de partir pour profiter de conditions de pensions de retraite avantageuses par rapport à ce qu’ils auraient obtenu dans le cas d’un dépôt de bilan.<br /> Leur syndicat, Allied Pilots Association, est en conflit avec la direction sur les termes d’un nouveau contrat.<br /> <br /> D’une manière générale le personnel d’AMR tente depuis des mois de revenir sur des sacrifices consentis en 2003 dans le cadre de négociations qui avaient permis d’éviter le dépôt de bilan. Le cours<br /> d’AMR plonge ce mardi matin à Wall Street de plus de 80% à moins de 0,3 dollar.<br /> <br /> LIRE AUSSI :<br /> <br /> » L’aéronautique doit compter avec Abu Dhabi<br /> <br /> » Airbus et Boeing ouvrent le bal des commandes géantes
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D
En effet Jorion qui est invité tres souvent comme le messie pour dispenser sa bonne parole,se prend un peu trop la grosse tete et raconte de plus en plus n'importe quoi .
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L
Groupama espère lever 1,8 milliard d'euros grâce à des cessions<br /> <br /> Groupama veut lever quelque 1,8 milliard d'euros grâce à des cessions d'actifs, parmi lesquels une participation de 44% au capital du groupe d'immobilier Silic et le courtier d'assurance GAN<br /> Eurocourtage, a-t-on appris lundi d'une source proche du dossier.<br /> L'assureur mutualiste français espère obtenir 800 millions d'euros avant la fin de l'année<br /> <br /> http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/reuters_00403189-groupama-espere-lever-1-8-milliard-d-euros-grace-a-des-cessions-255182.php<br /> <br /> Qu'est-ce qui se passe en fin d'année?
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H
Vous avez sans doute remarqué qu'Olivier Delamarche a conseillé aujourd'hui à plusieurs reprises à ses interlocuteurs de lire des livres d'histoire, se plaçant à un autre niveau que dans ses<br /> interventions habituelles. Setait-il un lecteur de ce blog ?
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P
<br /> <br /> je vais de ce pas, décorer ce grognard...<br /> <br /> <br /> <br />
B
AFP le 29/11/2011 http://www.boursorama.com/actualites/american-airlines-depose-son-bilan-mais-poursuit-ses-operations-945ad6caf4e591020804f503d39ab7af<br /> <br /> American Airlines dépose son bilan mais poursuit ses opérations :<br /> <br /> ..."American Airlines a assuré qu'il poursuivrait ses services normalement et que ses clients continueraient à recevoir les services auxquels ils sont habitués. Le groupe, qui a massivement investi<br /> pour renouveler sa flotte, ne dit toutefois rien du devenir de la commande géante de 460 moyens courriers (260 Airbus A320 et 200 Boeing 737) annoncée en juillet.<br /> <br /> M. Horton a fait la quasi-totalité de sa carrière chez Americain Airlines, à l'exception d'une parenthèse de quatre ans (2002-2006) chez l'opérateur téléphonique AT&T, où il était déjà<br /> directeur financier."<br /> <br /> <br /> Copyright © 2011 AFP. Tous droits de reproduction et de représentation réservés.
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