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Nouvelles du monde 8 octobre 2012...

8 Octobre 2012 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités

De multiples nouvelles du monde, aujourd'hui.

Chavez est réélu, pour lui, avec un petit score (54 % des voix), pour n'importe quel tyranneau occidental, un triomphe. Après 13 ans de pouvoir, et l'inévitable lassitude.

 

Dans le monde occidental qui se désindustrialise, et lèche le cul des millionnaires, et milliardaires,

 

 

en voilà un qui leur dit de signer ici, et de pas s'aventurer à lui tirer son stylo (sous peine de coup de boule ???).D'ailleurs, il n'y en a pas un qui aurait l'idée déplacée de s'aventurer à moufter.

La preuve, donc, que le politique, quand il le veut bien, a une grande prise sur l'économique.

 

Saakkachvili qui se survit depuis sa guerre triomphalement et rapidement perdue contre une armée russe de troisième ordre (les forces russes sont disposés concentriquement, avec le plus récent au milieu), vient de perdre, lui aussi ses élections, et différents responsables auraient pris des vacances précipitées à l'étranger.


En Arabie Saoudite, Bandar Ben Sultan, serait "mentalement dérangé", et a été démis de ses fonctions (le pôvre, après avoir été assassiné en juillet, ça fait beaucoup).

Mais le problème de l'Arabie Saoudite est simple à comprendre : chômage 40 %, pauvreté 25 %, prédateurs inutiles et gourmands : 20 000.

 

Le voisin irakien, satellisé il y a peu, montre une hostilité croissante à son ex-protecteur, (il faut dire, 100 000 morts officiels, plus vraisemblablement un million, ça laisse des traces), et finalement, reprendrait la politique de Saddam, à l'exception qu'il n'y a plus d'hostilité envers l'Iran.

Moralité : on peut changer de gouvernement, mais pas de géographie...

 

En Grèce, ça bouge aussi, avec la prise du ministère de la défense, guère défendu visiblement, ou alors pris par ses propres défenseurs ???

 

1916, donc, en attendant 1917.

 

Pendant ce temps là, les islandais narguent le reste du monde, avec leur recul du chômage, de l'inflation et une croissance qui s'accélère.
Bien entendu, on leur dit de rentrer dans le rang, et se mettre dans la merde en adoptant l'euro, et en réduisant leurs dépenses publiques.

 

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L
Excellent cette vidéo de poutine. Je comprends mieux pourquoi peut de politique l'apprécie en occident :) :)<br /> <br /> ca doit leur faire tout drole de se regarder dans une glace aprés. :) :)
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S
Comment tu t’es débrouillé Roland pour passer à coté de cette vidéo ?<br /> Elle explique à elle seule pourquoi VVP est le plus grand homme politique du 21e siècle.<br /> Des Déripaska, Berëzovski et autres voyous avaient quasiment réussis la destruction de l’état Russe ; le maitre Sorosh en vautour aguerri n’attendait que le coup de grâce (et notre ami Christaux<br /> sans doute aussi) ; mais comme ce fameux coup tardait à venir ils ont essayés de le précipiter : Beslan, Koursk etc.<br /> Et puis du coup – comme si Adonaï décidait d’un coup d’abandonner ses poulains - les choses se brouillent.<br /> VVP resserre les visses ; ferme petit à petit toutes les brèches par lesquelles d’immenses richesses se déversaient en occident au profit de qqs prédateurs ; réforme graduellement la majorité<br /> d’institutions…<br /> Et les gus que je cite plus-haut ne peuvent plus prononcer son nom sans cracher parterre.<br /> Les moyens de manipulation des masses – qu’ils détiennent en occident – produisent de la haine avec acharnement contre le personnage ; « le monde civilisé » se montre outré etc.<br /> Mais au dernier scrutin VVP gagne au 1e tour 64%.<br /> C’est pas beau ça ?
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B
Mardi 9 octobre 2012 :<br /> <br /> Le président de la BCE : la Banque centrale n'imprimera pas de monnaie face à la crise.<br /> <br /> La Banque centrale européenne (BCE) n'imprimera pas de monnaie pour résoudre la crise de la dette en zone euro, a déclaré mardi son président Mario Draghi.<br /> <br /> "La BCE ne peut s'engager dans du financement monétaire et ne peut pas remplacer l'action des Etats membres (de la zone euro). Il est trop facile de penser que la BCE peut remplacer l'action des<br /> gouvernements ou leur manque d'action en imprimant de la monnaie. Cela n'arrivera pas", a dit M. Draghi lors de son audition devant la Commission des affaires économiques et monétaires du Parlement<br /> européen, retransmise par la télévision du Parlement.<br /> <br /> "La BCE a déjà fait beaucoup", a-t-il ajouté, en référence aux liquidités mises à disposition des banques et aux programmes de rachat de dette des Etats en difficulté de la région, dont le dernier<br /> en date, l'OMT, a largement contribué à l'accalmie sur les marchés depuis son annonce début septembre.<br /> <br /> "Nous avons nos propres responsabilités et nous devons agir dans le cadre de notre mandat", a signifié M. Draghi. Un mandat qui lui interdit de financer les déficits publics en imprimant de la<br /> monnaie, notamment pour éviter de créer de l'inflation alors que l'objectif fixé à la BCE est de la maintenir sous le seuil de 2% à moyen terme.<br /> <br /> Les rachats d'obligations publiques effectués par la BCE depuis 2010 sont entièrement stérilisés, c'est à dire que l'institution prend en dépôt de la part des banques le montant de ces rachats pour<br /> éviter de créer de la monnaie.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/BCEPresident_la_Banque_centrale_n_imprimera_pas_de_monnaie_face_a_la_crise40091020121128.asp
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B
Mardi 9 octobre 2012 :<br /> <br /> Le FMI craint une aggravation de la crise dans la zone euro.<br /> <br /> Le FMI, qui a abaissé ses prévisions de croissance pour la France, se montre tout aussi pessimiste pour l'ensemble de la zone euro. "La crise dans la zone euro reste la plus claire menace sur les<br /> perspectives mondiales", assure-t-il dans ses perspectives économiques, publiées lundi 8 octobre.<br /> <br /> Malgré de récentes avancées, la récession semble plus forte que prévu cette année en zone euro et le rebond s'annonce limité en 2013, pire, la crise pourrait encore s'aggraver sans nouvelles<br /> "mesures immédiates", prévient le FMI, qui participe aux trois plans d'aide en cours dans la région (Grèce, Irlande, Portugal).<br /> <br /> "La crise de la zone euro s'est aggravée en dépit des décisions politiques visant à la résoudre", constate-t-il. Les indicateurs "restent dans le rouge, ce qui suggère que la faiblesse se répand de<br /> la périphérie vers l'ensemble de la zone euro", touchant tous les pays, y compris l'Allemagne.<br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/le-fmi-craint-une-aggravation-de-la-crise-dans-la-zone-euro-ef23c6e2cce73aae3d33155efcba7249
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G
L’Algérie : un pays désormais importateur de pétrole<br /> <br /> http://www.lematindz.net/news/9681-lalgerie-un-pays-desormais-importateur-de-petrole.html<br /> <br /> La Sonatrach importera 42 millions de tonnes par an pour faire face à la demande interne en carburant. De pays exportateur de pétrole, l’Algérie deviendra un pays importateur de pétrole.<br /> <br /> <br /> L’absence de clarté dans le secteur de l’énergie<br /> <br /> Dans ses interviews, le ministre de l’Energie évite d’évoquer l’épuisement des réserves pétrolières algériennes, rien à retenir de ses propositions farfelues, pour éviter le pire, mais le pire est<br /> déjà là ?<br /> <br /> Depuis qu’il a compris que le renouvellement des réserves d’hydrocarbures accuse un retard considérable, le ministre multiplie les déclarations sur une stratégie, qui reste toutefois contradictoire<br /> et très vague. Les dernières interventions médiatiques illustrent du flou dans la conduite de politique énergétique nationale à long terme. L’Algérie ne donne aucune impression de s’occuper de son<br /> avenir énergétique. L’absence d’un plan sérieux pour l’après-pétrole, par l’appel de sources alternatives qui remplaceront le pétrole et le gaz appelés à disparaître dans moins d’une décennie, du<br /> moins à nous manquer pour une certaine période nécessaire pour reconstituer nos réserves d’hydrocarbures c’est la caractéristique connue de l’actuelle politique menée par M. Youcef Yousfi.<br /> Celui-ci, qui a succédé à Chakib Khelil à la tête du département de l’Energie et des mines en 2010 avant d’être reconduit dans l’actuel gouvernement de M. Abdelmalek Sellal, n’arrive pas à donner<br /> une vision claire de l’Algérie concernant sa politique énergétique.<br /> <br /> Sa stratégie personnelle non partagée par les médias et les experts algériens du domaine est axée sur l’exploitation à fond des hydrocarbures conventionnels et la course au non conventionnel à<br /> grande échelle, satisfaire la demande interne par l’importation massive de pétrole, sans recours au nucléaire ni au développement des énergies renouvelables. Ainsi, faute de stratégie bien définie<br /> pour assurer l’avenir énergétique de l’Algérie et qui ne peut se faire que par la ressource renouvelable, en l’occurrence le soleil ainsi que l’accélération de la recherche et de l’exploration du<br /> sous-sol algérien recelant encore des quantités faramineuses d’hydrocarbures. Le gouvernement se dirige dangereusement vers le recours aux gaz non conventionnels, qui présentent de nombreux<br /> inconvénients : prix de revient excessivement, dépendance technologique envers l’extérieur, un impact non maîtrisé sur l’environnement, et le risque de plomber les cours des gaz conventionnels déjà<br /> en déprime, reconversion des infrastructures existantes, etc.<br /> <br /> Du gaz pour produire de l'électricité<br /> <br /> Pour faire face aux enquiquinantes opérations de délestage électrique, le ministre a annoncé la mise en marche d’un programme de production d’électricité par un supplément de 8.000 mégawatts, qui<br /> viennent s’ajouter aux 4.000 mégawatts, soit un total de 12 000 mégawatts, déjà programmés à l’horizon 2016, pour les seules périodes de forte demande (hiver et été). Le plan prévoit la<br /> construction de nouvelles centrales thermiques fonctionnant au gaz pour produire ces 12.000 mégawatts pour un coût estimé à près de 22,5 milliards de dollars. Ceci dit que notre électricité sera<br /> produite à 100% au gaz, alors qu’on devait chercher à la produire par le solaire en long terme, pour la production exclusive de l’électricité, et le dessalement d’eau de mer, tout en économisant<br /> notre pétrole et gaz. Pour faire tourner ces centrales, il faut au moins, selon les estimations, 22 milliards de m3 de gaz, soit presque la moitié de nos exportations (52 milliards de m3 en 2011),<br /> ce qui représente un manque à gagner de près d’une douzaine de milliards de dollars. L’Algérie consomme pour ses besoins internes 35 milliards de m3 (en 2011) et projette 50 milliards de m3 en<br /> 2017, donc nous produisons un cumul de 102 milliards de m3, 50% pour la consommation interne et 50% pour l’exportation. Les énergies renouvelables, bien qu’elles soient plus onéreuses à produire et<br /> à rentabiliser, constituent néanmoins l’avenir énergétique durable de l’Algérie, tant qu’il y aura du soleil. Cet investissement peut être consenti en le finançant par une partie des sommes<br /> faramineuses qui vont aux subventions de l’énergie. Le nucléaire allègera aussi considérable notre facture énergétique, si l’on prend l’exemple de la France qui soutire la totalité de son énergie<br /> électrique des mines d’uranium du Niger et en exporte même sur l’Union européenne.<br /> <br /> L’Algérie a consacré 10,59 milliards de dollars en 2010 à la subvention de la consommation de l’énergie, selon une étude de l’ONU. Cette somme augmente chaque année d’environ 7%. La seule véritable<br /> façon de rationaliser la consommation d’énergie serait de réduire les niveaux de subvention, Mais c’est un risque que notre gouvernement ne pourra prendre, en ces temps des grandes révoltes et au<br /> détriment de sa politique du maintient d’une politique sociale à grand flot d’argent .<br /> <br /> Des raffineries pour camoufler la défaillance du système politique<br /> <br /> Sonatrach vient d’engager deux programmes d’investissement pour couvrir les besoins nationaux en carburant. Ainsi, le premier programme d'investissement, déjà engagé pour la maintenance et<br /> l’extension des capacités de raffinage des raffineries de Skikda, d'Arzew et d'Alger de 4 millions de tonnes supplémentaires. Le même programme permettra également aux raffineries du groupe de<br /> produire des carburants - essences gas-oil, aux normes européennes et de disposer d'une chaîne de production des aromatiques (benzène et paraxylène) plus développée, permettant ainsi d'initier des<br /> projets pétrochimiques en aval du raffinage, etc. Par ailleurs, les travaux de réhabilitation de la petite raffinerie d'Arzew, qui alimente tout l'ouest et le sud-ouest du pays, et dans l’informel<br /> le nord-ouest du Maroc, ont été achevés, et les installations sont en activité. La capacité de production de la raffinerie est ainsi passée de 2,5 millions de tonnes par an à 3,75 millions de<br /> tonnes par an, soit plus de 50%.<br /> <br /> Pour autant, une des deux unités intégrées de la raffinerie de Skikda est actuellement à l'arrêt pour rénovation. L'arrêt technique a été même autorisé par le Pdg du groupe Sonatrach, Abdelhamid<br /> Zerguine. Les travaux sont confiés au Coréen Samsung. Alors, que cette rénovation aurait pu peut-être être attribuée à la filiale de Sonatrach GTP ex-Altra, détenant un savoir-faire algérien dans<br /> les grands travaux pétroliers. GTP est spécialisée dans la construction des unités pétrochimiques, avec un riche palmarès à son effectif ; la réalisation d’un module de traitement de gaz de 60<br /> millions de m3/j à Hassi-R’mel, pour le compte d’une grande compagnie japonaise JGC et la rénovation totale de la raffinerie de Nouakchott (Mauritanie), avec du matériel récupéré, paraît-il du<br /> reste, de la raffinerie de Béjaïa détournée ?<br /> <br /> Pour subvenir aux besoins internes en carburant, la Sonatrach doit importer 42 millions de tonnes/an de pétrole brut aux prix coté à la bourse, une fois raffiné, il sera vendu sur le marché<br /> national, au prix aussi coté à la bourse par les compagnies internationales de raffinage. Les institutions de la finance et les associations mondiales des raffineurs, avec qui Sonatrach est liée<br /> par des conventions nous obligeront à aligner nos prix de carburant à la pompe aux leurs. Par une reconversion du dinar en euro, les prix moyens des carburants (2011) seront de 82 DA pour les<br /> lourds et 220 DA pour les légers et super-légers (sans subvention). A ce prix là, aucun mobiliste ne se permettra le luxe de rouler en voiture !<br /> <br /> Il se pourrait que monsieur le ministre a d’autres idées en tête. Par le fait de construire des raffineries en Algérie alimentées par du pétrole importé, n’essaye-t-il pas peut-être de récupérer la<br /> souveraineté nationale perdue à jamais par la fin du pétrole ? Le pétrole de notre temps est une arme de dissuasion plus efficace que l’arme nucléaire et l’Etat qui ne possède pas de pétrole ne<br /> pourra pas se défendre.<br /> <br /> Que s’est-il passé pour la raffinerie de Béjaïa ?<br /> <br /> Dans les années 1970, une raffinerie de pétrole, sœur jumelle de celle d’Arzew d’une capacité de 2,5 millions tonnes/ an, prévue par le plan Valhyd pour être construite aux environs de Béjaïa, à<br /> proximité de l’oléoduc qui relie Haoud-El-Hamra au terminal-arrivé de Béjaia. Les études de faisabilité ont été réalisées, le choix du constructeur fixé, les études techniques achevées, une équipe<br /> d’ingénieurs et de techniciens algériens fut envoyéechez le constructeur anglais pour suivre une formation sur le raffinage, les terrassements du site réalisés, 90 % des équipements achetés, payés<br /> cash et transportés jusqu’en Algérie. Le projet était arrivé à sa dernière ligne finale. C’est à dire, il a atteint ses phases : de montage, démarrage et exploitation. Mais brusquement, ce projet a<br /> été purement et simplement annulé, pour des raisons semble-t-il d’un malentendu politique.<br /> <br /> Un crime économique ? Du matériel flambant neuf d’une valeur de 2,5 milliards de dollars jeté par Sonatrach dans un "dépotoir public" à Arzew et un lourd préjudice moral infligé par Sonatrach au<br /> mépris de la population bougiote. Bougie a perdu un investissement en or. Le litige qui s'en est suivi avec la partie contract
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C
La bombe est le choix le plus rationnel... non pas "détruire israël" (ça c'est la version croque-mitaine pour les veaux).... mais tout simplement pour sanctuariser son territoire.<br /> <br /> Les mollahs ont bien compris que.... on venait pour leur piquer leur pétrole. Après irak, libye.<br /> <br /> c'est inévitable.<br /> <br /> les mollahs, contrairement aux apparences, sont rationnels.<br /> <br /> l'iran avec une bombe, c'est l'assurance de sanctuariser son territoire. cqfd.<br /> <br /> et c'est donc précisément pour éviter cela (laisser l'arme pétrolière à des mollahs qui ne portent pas l'occident dans leur coeur, le tout dans la perspective du peak oil) que les usa ne peuvent<br /> pas tolérer le développement de cette bombe.<br /> <br /> voilà pourquoi l'iran tombera, d'une manière ou d'une autre.
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D
@ Yrreiht<br /> <br /> Je ne sais pas ce que vaut Tom Clancy comme "souce", mais on doit lui reconnaître à lui comme aux autres auteurs américains de romans de guerre moderne voire post-moderne d'être toujours bien<br /> renseignés.<br /> <br /> Dans Tempête Rouge, qui date de 1987, Tom Clancy dépeint donc une offensive générale des forces soviétiques sur l'Europe pour cause (masquée) de pénurie sévère de carburant, dans laquelle, après<br /> avoir usé leurs forces de pointe, les Soviétiques tentent, dans un dernier effort, de lancer un assaut en masse avec leurs divisions de second et troisième rang,dont les Abrams ne font évidemment<br /> qu'une bouchée, tout en craignant (évidemment) d'être débordés à chaque instant.<br /> <br /> En réalité, pourquoi faudrait-il occuper tout le terrain avec des troupes de choc, équipées de matériel dernier cri ? Pourquoi faudrait-il employer d'emblée des troupes de choc, quel que soit<br /> l'adversaire, quitte à subir de sévères déconvenues s'il a bien préparées ses défenses ?<br /> <br /> Pourquoi est-ce que nos armées occidentales ne connaissent que les engagements de force totalement disproportionnés, systématiquement coûteux en matériel de notre côté ? Pourquoi ne<br /> connaissons-nous, fut-ce pour le regretter et déplorer le coût prohibitif de nos matériels hautement sophistiqués, que les conflits dits asymétriques ?<br /> <br /> Pourquoi engager des chars de combat dernier cri dans des combats de rue qui demandent une occupation patiente du terrain, rue par rue ?<br /> <br /> Pourquoi ne pas avoir retenu la leçon de Koursk, où les Panther et les Tiger se sont péniblement embourbés dans la défense soviétique opiniâtre ?<br /> <br /> Détail croustillant, Tempête Rouge se termine lorsque, proches d'être submergés par les forces soviétiques, les troupes de l'OTAN s'avisent que peut-être, leurs ennemis pourraient bien être tout<br /> proches de la panne sèche. Pouf, ils concentrent leurs frappes sur les convois de ravitaillement de l'armée soviétique, qui se retrouve à genoux.<br /> <br /> Or donc, que font les troupes du PKK et les Talibans face aux forces turques ou aux forces de l'OTAN ? Bien loin de lancer des attentats aveugles, leur cible de prédilection sont tout simplement<br /> les camions-citernes des convois de ravitaillement...<br /> <br /> En attendant, si nécessaire, des attaques plus méchantes contre les méthaniers du Qatar ou les raffineries saoudites ou israéliennes. Un méthanier n'est rien d'autre qu'une bonbonne de gaz géante.<br /> Potentiel explosif ? Quelque chose allant de plusieurs dizaines de fois à plusieurs centaines de fois Hiroshima. Une boule de feu s'étendant sur des dizaines de kilomètres à la ronde. Ce qui est<br /> aussi le sort promis au complexe pétrochimique de Haïfa, à la frontière nord d'Israël.<br /> <br /> Pourquoi l'Iran aurait-il absolument besoin de cette fichue bombe nucléaire quand il sait pouvoir renvoyer Israël à l'âge de pierre en détruisant Haïfa et le Qatar à son insignifiance dans une<br /> éblouissante boule de feu conventionnelle ?
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U
@Yrreiht<br /> <br /> Si si, car les musulmans dirigent la planète, les medias, et tout les grands reseaux en secret, et les "surdoués" comme Gabelle l'ont bien compris ! On la leur fait pas, a EUX !<br /> <br /> C'est d'ailleurs le fameux complot "Islamo-Maçonique", bien connu de tous ...<br /> <br /> Veuillez a l'avenir ne pas déranger les genies comme "Gabelle" dans leur élucubrations, s'il vous plait. Tendez leur un Kleenex tout au plus, afin qu'il puissent s'essuyer apres avoir eu leur<br /> orgasmes intellectuels.
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Y
@ gabelle<br /> la video ne disparaîtra pas. on parie ?
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G
islam le poison<br /> a regarder avant que la video disparaisse:http://www.youtube.com/watch?v=Mda4h1YGMM0<br /> <br /> allah akbar!
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R
Excellente vidéo qui m'avait échappée. Merci Patrick, je saurai quoi montrer quand on me demandera ce que c'est qu'un homme politique, pas une tarlouze.
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Y
"les forces russes sont disposés concentriquement, avec le plus récent au milieu"<br /> <br /> Très intéressant, Patrick Reymond ou un autre peut-il développer ? Sources ?
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B
Lundi 8 octobre 2012 :<br /> <br /> Grèce - "Il faut songer à une restructuration de la dette" - un responsable du FMI.<br /> <br /> Les pays européens devraient réfléchir à une restructuration de la dette de la Grèce s'il s'avère que le pays n'est pas en mesure de se remettre sur les rails, estime un responsable du Fonds<br /> monétaire international cité lundi dans un journal néerlandais.<br /> <br /> "Une contribution de la part des Etats sera alors certainement un sujet de discussion", dit Menno Snel au quotidien Het Financieele Dagblad.<br /> <br /> Ses déclarations illustrent les divergences entre les membres de la troïka - FMI, Banque centrale européenne et Commission européenne - sur la manière de résoudre la crise de la dette.<br /> <br /> Des responsables européens ont dit à la fin septembre à Reuters que le FMI voulait que les Etats passent une décote sur la dette grecque qu'ils détiennent, une perspective rejetée par les pays de<br /> l'UE tant elle leur paraît politiquement périlleuse.<br /> <br /> L'Europe préfère donner plus de temps à Athènes en matière de respect des objectifs budgétaires.<br /> <br /> Un responsable grec a déclaré samedi que deux semaines de discussions seraient encore probablement nécessaires pour parvenir à un accord entre la Grèce et la troïka sur de nouvelles mesures<br /> d'austérité.<br /> <br /> http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/reuters-00469275-grece-il-faut-songer-a-une-restructuration-de-la-dette-resp-fmi-370034.php<br /> <br /> Encore ?<br /> <br /> Encore un défaut de paiement de la Grèce ?<br /> <br /> Mais cette fois-ci, ce sont les Etats de la zone euro qui vont subir des milliards d'euros de pertes.<br /> <br /> Contribuables européens, préparez-vous à payer.<br /> <br /> Contribuables européens, préparez-vous à payer pour le deuxième défaut de paiement de la Grèce.
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