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Nucléaire : la désinformation continue...

24 Novembre 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie

Cette fois, c'est 2 millions d'emplois qui devraient être "fragilisés" par la sortie du nucléaire.

On revient donc à Goebbels : plus c'est gros, plus ça marche. Sauf que là, c'est vraiment énorme. Et en plus, complètement faux.

 

Une autre possibilité de sortie du nucléaire serait les STEP marines (Station de Transfert d'Énergie par Pompage ).

Les possibilités de STEP marine, pour la même technologie que celle des barrages, sont possibles en France, avec un potentiel énorme : 80 km2 (0.02 % du territoire) suffiraient pour " disposer d'une puissance électrique de 40 GW pendant 10 heures, ou de 20 GW pendant 20 heures, ou de 10 GW pendant 40 heures.

La France appelle une puissance moyenne de 60 GW.
 "

 

On reviendrait donc à une situation déjà connue en France, et décrite par les cartes de Cassini, l'exploitation massive de l'énergie hydraulique, cette fois plus adaptée à l'économie moderne que les modestes barrages et étangs qui existaient partout, mais qui globalement représentaient une énergie bien plus grande qu'on l'imaginait à une époque, et certainement, se comptant en millions de tonnes de TEP.

 

L'industrie européenne a été au départ, appuyée sur le moulin, hydraulique et à vent, et représentait la richesse.

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V
assez marrant de lire dans l'article cité que 150 000 + 1,2 millions = plus de 2 millions ...
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L
N'est-il pas beau le monde libéral ?<br /> <br /> Barrages français: le Norvégien Statkraft vise 20% du premier round<br /> <br /> Le groupe public norvégien Statkraft, numéro un de l'énergie hydroélectrique en Europe, vise à remporter environ 20% du premier round de l'ouverture à la concurrence des barrages français opérés<br /> par EDF et GDF Suez, ont annoncé son PDG et son dirigeant en France jeudi.<br /> <br /> Nous avons un objectif interne de 1.000 mégawatts (MW), a déclaré lors d'une conférence de presse le président de Statkraft France Emmanuel Soetaert, pour les appels d'offres d'un total de 5.300 MW<br /> qui devraient être attribués entre 2014 et 2016.<br /> <br /> Le parc hydroélectrique français, d'une capacité d'environ 25.000 MW, est exploité à plus de 80% par EDF, premier producteur d'hydroélectricité dans l'Union européenne, et à environ 12% par GDF<br /> Suez, mais les concessions arrivent à échéance et leur renouvellement se fera selon les règles de la concurrence conformément aux règles européennes<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/_Barrages_francais_le_Norvegien_Statkraft_vise_20_du_premier_round241120111411.asp
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I
C´est ce que les Suisse font avec notre energie nucleaire la nuit. Ils remplissent leurs barrage et revendent l´electricité le jour (surout à l´Italie du Nord ).<br /> <br /> En fait les Suisses se font du blé sur le dos des francais qui n´ont pas develloppé ce systeme dans leurs barrages.
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L
Il y a un projet de GDF-SUEZ en Andorre,pays de montagne, pour un tube d'une longueur de 8.2 kms.Pourquoi pas en France ?<br /> <br /> Túnel per dur aigua de la Massana a Aixovall<br /> <br /> http://www.diariandorra.ad/index.php?option=com_k2&view=item&id=16160&Itemid=380
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L
Electricité: les collectivités dénoncent une envolée des coupures<br /> <br /> Les collectivités locales ont dénoncé jeudi une spectaculaire dégradation de la distribution d'électricité par ERDF, marquée par une hausse des coupures, et réclamé de pouvoir remplacer la filiale<br /> d'EDF par des sociétés publiques locales en cas de défaillance du monopole.<br /> <br /> Le temps moyen de coupure d'électricité par abonné a atteint en 2010 près de deux heures (119 minutes), chiffre dans un livre blanc, la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies<br /> (FNCCR).<br /> <br /> Cette durée est 21,4% plus élevée que le temps moyen de coupure sur l'ensemble de la période 2005-2010, souligne la FNCCR, qui représente les collectivités locales sur le volet des services publics<br /> dans l'énergie, l'eau et l'assainissement.<br /> <br /> Certains usagers ont subi quelques minutes d'interruption de service (de l'ordre de 30 minutes en Ile-de-France) mais d'autres plusieurs heures (jusqu'à plus de 10 heures.<br /> Les relations entre les collectivités et EDF (puis ERDF) se sont nettement dégradées ces dernières années, les premières reprochant à EDF d'avoir délaissé les investissements sur le réseau à basse<br /> et moyenne tension lorsque le groupe était dirigé par Pierre Roussely (1998-2004) pour financer des acquisitions à l'étranger.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/_Electricite_les_collectivites_denoncent_une_envolee_des_coupures241120111311.asp
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