On peut être prix Nobel...
13 Octobre 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie
Et un parfait abruti...Ou plutôt deux parfaits abrutis.
Visiblement, on refile les prix nobels aux premiers venus.
L'Europe, ça n'est pas les Etats-Unis, ou ce qui allait le devenir en 1787.
En effet, il faut rappeler aux zigotos, que les USA n'ont réglé le problème issu de 1787 qu'en 1865, au prix de 660 000 morts, que pendant longtemps ça n'a été qu'un conglomérat à-minima.
Pour régler le problème budgétaire issu de la guerre d'indépendance, les Etats-Unis ont essentiellement vendu des terres libres, que la croissance démographique venait occuper.
Ce "léger détail" a sans doute échappé aux brillants acolytes.
Mais c'est bien connu, les terres sans propriétaires abondent en Europe, et les citoyens se précipitent dessus...
Il faudra donc appliquer une politique nouvelle qu'on pourra baptiser "lebensraum" (et exterminer
les populations les occupant précédemment ?).
En outre, la fiscalité US, ça n'a été que des droits de douanes pendant longtemps.
Proposeraient ils donc de taxer les importations européennes à 60 % ? (moi, je suis d'accord, et les chinois vont être contents).
Quand à la partie bancaire, on doit leur rappeler qu'un président (Andrew Jackson, élu triomphalement) avait promis, lors de sa campagne électorale, de découper au bowie knife toute personne ayant eu la tentation déplacée de vouloir accéder à la qualité de banquier central, riche idée, qu'on devrait mettre en application plus souvent.
En outre, jusqu'en 1913, le pays s'en est fort bien passé, et en 1861, Lincoln avait mis à la porte tous ceux qui lui proposait des prêts (à taux d'ami : 30 %) pour financer la guerre.
De même, toute la partie qui s'étend de 1787 à 1861, voient des menaces de sécessions multiples, voir des sécessions (réduites politiquement), ou des guerres civiles localisées.
Bref, si il faut être Nobelisé pour prêcher la guerre, je préférerais personnellement être illettré.
"La prochaine étape est pourtant évidente, y compris pour les acteurs- à l’instar d’ Edouard Carmignac- qui ont tant bénéficié, de la grande inégalité à l’intérieur du couple. Cette étape sera l’intervention massive de la BCE, non plus sur les banques et les marchés secondaires de la dette souveraine, mais directement sur les marchés primaires. "
La loi de 1973 sera donc enterrée.
Pour préciser, rajouter 27 insolvables les uns aux autres ne crée pas du tout un être solvable. Visiblement, c'est plutôt le monstre de Frankenstein le résultat...
Le monstre de Frankenstein, mâtiné de Dracula...
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