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Restons ASSIS !!!!!!

25 Mars 2010 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie

islande-et-grece.jpgPetite nouvelle d'Irlande.
Là, vous pouvez comparer la différence entre le PIB et l'endettement extérieur.
Dire qu'on se paie la tête de la Grèce, de l'Islande et qu'on dit aux salariés de se serrer la ceinture...

Donc, je maintiens mon diagnostic : si l'on s'obstine à vouloir honorer la dette, on va aux troubles politiques.

Déjà, rien que vouloir payer les intérêts serait une performance...
La dette globale tourne aux alentours de 1200 % du PIB. Ils ont fait une guerre de 10 000 ans ???

Le dessin est de Pierre.
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B
<br /> PIB des Etats-Unis au 24 mars 2010 :<br /> <br /> 14 256, 3 milliards de dollars.<br /> <br /> Dette publique des Etats-Unis :<br /> <br /> 12 662, 4 milliards de dollars, soit 89 % du PIB.<br /> <br /> http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=510f696109a55bfaa42f6f1c0967437c<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Aide à la Grèce : l'Eurogroupe entérine un accord inspiré par l'Allemagne.<br /> <br /> http://www.lesechos.fr/info/france/020439981046-aide-a-la-grece-l-eurogroupe-enterine-un-accord-inspire-par-l-allemagne.htm<br /> <br /> L'Allemagne a gagné sur tous les tableaux :<br /> <br /> 1- Le FMI va intervenir pour sauver la Grèce.<br /> <br /> 2- Une opération de sauvetage de la Grèce ne sera déclenchée qu'à l'unanimité des pays de la zone euro. Un seul pays pourra l'empêcher en votant contre.<br /> <br /> 3- Chaque Etat membre ne sera pas obligé d'accorder un prêt à la Grèce. Seul les Etats volontaires prêteront quelques milliards d'euros à la Grèce : ce ne sera pas obligatoire.<br /> <br /> 4- A partir de là, la répartition prévue ne pourra pas avoir lieu dans la réalité. Selon la répartition prévue, deux tiers des prêts seront accordés par les Etats européens. Un tiers des prêts sera<br /> accordé par le FMI. Mais dans la réalité, quels seront les Etats européens volontaires pour prêter à la Grèce ?<br /> <br /> Tous les Etats européens sont endettés, et même surendettés. Quel Etat européen pourra accorder un prêt à la Grèce ? Et, surtout, avec quel argent ?<br /> <br /> Cela impliquerait qu'un Etat européen volontaire emprunte quelques milliards d'euros sur les marchés, et ensuite il les reprêterait à la Grèce !<br /> <br /> Par exemple : la France a déjà une dette publique de 84 % du PIB aujourd'hui, soit 1 500 milliards d'euros. La France devrait donc s'endetter encore plus, pour pouvoir ensuite prêter à la Grèce, et<br /> la France ne serait même pas sûre d'être remboursée par la Grèce !<br /> <br /> Conclusion : seuls deux ou trois Etats européens accepteront de prêter à la Grèce. L'écrasante majorité des prêts sera fournie par le FMI.<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Grèce : l'Allemagne impose son plan.<br /> <br /> La pilule qui s'annonce est amère pour le premier ministre Papandréou. Il attendait de l'Europe qu'elle l'aide à se refinancer à moindre coût. Athènes doit trouver 15 milliards d'euros d'ici début<br /> mai et 50 milliards avant la fin de l'année. Les conditions posées par Angela Merkel font du soutien conjoint de l'Union Européenne et du FMI un recours très dissuasif.<br /> <br /> La Grèce ne pourra y faire appel qu'en dernier ressort, en clair seulement si les seize pays de l'euro constatent - à l'unanimité selon Berlin - qu'elle ne peut pas se refinancer sur le marché.<br /> <br /> Les crédits européens se feront «sans élement de subvention» d'après Paris. Côté FMI, les taux paraissent plus attrayants. Mais ils relèguent la Grèce au rang de pays assisté. Ils passent aussi par<br /> une cure d'austérité supplémentaire qu'Athènes aurait du mal à faire passer face à la colère sociale.<br /> <br /> Sur le fond, Angela Merkel semblait hier soir sur le point de dicter sa loi au reste de l'Union Européenne. A priori isolée dans son orthodoxie, l'Allemagne a démontré que rien ne peut se faire<br /> sans elle dans une Europe en crise. Inflexible, la chancelière a imposé son prix.<br /> <br /> Nicolas Sarkozy, le patron de la BCE Jean-Claude Trichet, le président de l'Eurogroupe Jean-Claude Juncker, le chef de l'exécutif européen José Manuel Barroso, tous auraient préféré une solution<br /> européenne. Tous voyaient dans le recours au FMI une atteinte à la fierté européenne. Hier soir, la menace d'une débâcle sur l'euro ne leur a pas laissé le choix.<br /> <br /> http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/03/25/04016-20100325ARTFIG00734-grece-l-allemagne-impose-son-plan-.php<br /> <br /> <br />
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