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Russie et URSS : plus une continuité qu'une rupture.

22 Août 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie

En réalité, quand on regarde sur la première partie du XX° siècle, les traits de ressemblances entre la Russie Tsariste et l'URSS l'emportent, plus qu'il n'y a une véritable discorde.

Tout d'abord l'agriculture. L'agriculture Russe a des traits uniques en Europe. De 1864, à 1914, la population rurale s'accroît de 30 millions et la soupape de sécurité sibérienne si elle fonctionne à plein, est aussi pleinement insuffisante : elle n'accueillera que 3 1/2 millions de personnes.

Jusqu'en 1906, la structure est celle du mir. Celle-ci est responsable du paiement de l'impôt pour la totalité de ses membres, et de la répartition de la terre.

 

Celle-ci a été vendue fort chère (3 fois le prix) par la couronne (lors de l'abolition du servage) aux paysans dont les ancêtres en avaient été dépossédés au XVII° siècle, lors de la poussée du servage.

La propriété privée n'existe qu'à partir de 1908-1909, date à partir de laquelle les paysans peuvent demander à se retirer du mir.

A cette occasion, les troubles seront nombreux, l'amélioration inexistante. Les paysans n'ont aucun moyen d'investir, et la noblesse de 1864 n'a pas investi un sou des sommes reçues suite à l'abolition du servage. En effet, fort endettée, menant grand train, elle a déjà inventé le "bling-bling".

Blattes et punaises dans une maison sont signes extérieurs de richesses.

 

La révolution, en milieu rural, a été celle du mir. Les soviets ruraux y trouvent naturellement leur dimension, et la propriété privée cesse quasiment d'exister AVANT la prise de pouvoir des bolcheviks.

Ceux-ci se contentent de légaliser le nouveau partage des terres et la renaissance du mir.

Seule la Sibérie échappe au mouvement.

 

Comme la production industrielle s'est effondrée, l'argent ne vaut plus rien, il n'y a plus que réquisitions, suivie d'une chute des surfaces cultivées.

La NEP impose un impôt en nature de 10 %, le reste étant commercialisable librement. Mais là aussi, on retombe sur le problème de l'absence de produits de consommation.

 

En 1914, on mobilise énormément d'hommes, 15 millions peut être, mais on ne peut en équiper que 8, un seul peut être amené au front, le reste est à l'arrière, ou pire, fermente dans les casernes.

Le résultat fut une désorganisation profonde de l'économie, non pas tant par manque de main d'oeuvre (le chômage larvé est important), mais par l'augmentation des besoins, et la dislocation d'un système de transport, certes déjà important, mais ridicule à l'échelle du pays.

 

"L'effort héroïque entrepris pour tenir tête aux armées modernes de l'Allemagne avait profondément retenti sur l'industrie et l'agriculture, mais encore plus désorganisé un réseau de transport très insuffisant amenant dans l'hiver 1916-1917, un véritable état de pénurie dans les grandes villes et les centres vitaux du pays" (Précis d'histoire contemporaine Jacques Néré), qui culmine en février 1917, avec l'annonce de la fermeture des usines Putilov.

 

Les emprunts sont répudiés, mais les occidentaux repousseront les ouvertures des soviets sur ce sujet. En effet ceux-ci ne sont pas idiots, ils savent que, dans les faits, les occidentaux répudient eux-mêmes leurs créances : la baisse du franc, notamment, aurait amputé 80 % du nominal (de nombreux emprunts russes sont libellés en francs), et beaucoup d'entreprises privées russes émettrices d'emprunts, ont fait faillite.

Finalement, sans faillite russe, les occidentaux eux-mêmes s'étaient chargés du travail...

Par contre, Lénine demandera des crédits supplémentaires, que notamment en France, on est incapables de fournir.

 

Par contre, la leçon de la grande guerre sera éclatante pour les bolcheviks : coupée du monde, la Russie a du se débrouiller seule, et sa faiblesse industrielle sera démontrée, la valeur de sa production est :

- 2 1/2 inférieure à celle de la France (pourtant guère un géant industriel en 1914),

- 6 fois moins que l'Allemagne,

- 14 fois moins que les USA.

 

La suite est logique : ils en tireront la conclusion que l'URSS ne peut compter que sur ses propres forces, l'aide de ses alliés ayant été inexistante de 1914 à 1917, et qu'elle a besoin de s'industrialiser à marches forcées.

La guerre suivante prouvera aussi  que l'aide par convois britanniques, plus symbolique que réelle, ne pouvait être importante.

 

L'industrialisation se fera donc sans capitaux étrangers, les britanniques et les français sont raides, les américains s'occupent de LEUR industrie et n'ont pas encore découverts les joies des délocalisations, et donc en conséquences, les payeurs seront :

- les paysans,

- les consommateurs. En quoi, le régime soviétique ne différe guère des autres industrialisations du continent européen. Dans la période 1924-1928, l'autofinancement des investissements du secteur industriel (nationalisé) ne dépasse jamais 30 %.

 

C'est donc, dans un contexte terrible de pénurie, d'absences d'aides extérieures (Marshall n'est pas encore passé par là), que la politique d'industrialisation est lancée.

Peut être aurons nous le goût des "contraintes extérieures" réelles, avec le Peak oil. Le Rouble, déjà réduit à l'état de vestige (il faut 103 roubles papier pour faire un rouble or, en janvier 1919), finit de dégringoler.

 

Le pouvoir soviétique va devoir affronter un autre ennemi, autrement coriace : le mir. En effet, le gros de la population, resté ou redevenu rural, vit sans grandes aspirations, entre son clocher et son alambic (qui détruit les récoltes).

Le paysan n'a pas les moyens d'investir, et d'ailleurs s'en garde bien. Le mir redistribue les terres toutes les années, alors, pourquoi se fatiguer à vouloir augmenter les rendements. Seul le négociant Nepman tire son épingle du jeu.

 

Bien sûr les pertes humaines causées par les phases d'exodes ruraux en occident seront bien cachées au fil des décennies. Les gens partent, et la famille reçoit un avis de décès quelques mois plus tard. Mais comme ce sont des événements disjoints, on évite d'en faire reposer la responsabilité sur le régime économique...

 

Il n'y a donc, finalement, pas de réelles différences entre Russie et URSS, seules les circonstances l'étaient.

Il n'y a pas, non plus, de réelles différences entre évolutions occidentales et russes. Les russes seront plus brutaux et expéditifs, accomplissant alphabétisation et industrialisation en une seule génération.

Le reste, c'est du bla-bla et de la propagande. La version officielle de l'histoire est celle des vainqueurs.

 

Tous les régimes économiques sont énormément meurtiers. Mais on regarde la paille dans l'oeil du voisin, pour ne pas voir la poutre dans le sien.

" Le carton final du film dit que pendant que Bouvier assassinait 12 bergers, 2500 enfants mourraient dans les mines et les filatures. Bouvier a été condamné à mort, mais les assassins des 2500 enfants morts au travail sont resté impunis."

En France aussi, le régime économique a tué énormément. Ne parlons pas de l'Angleterre, bourreau de l'Irlande et de ses mineurs. Ne parlons même pas des USA.


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L
<br /> Prise d'otage de Beslan bien sûr ! Brescia, c'est où j'allais en vacances en 1970, au son de la musique de Midnight cow boy (http://www.youtube.com/watch?v=jMoXQOmIcgo)?<br /> <br /> <br />
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L
<br /> @ Helios<br /> <br /> D’accord pour les victimes des déportations, mais avec des nuances, on le verra plus loin. Pour celles des guerres, c’est plus compliqué. C’est vrai que les bolcheviques avaient l’habitude de<br /> prendre en compte des éléments qui n’avaient rien à y faire, afin, en quelque sorte, de les « blanchir » (victime des famines ou des déportations). D’un autre côté, elles avaient tout aussi<br /> tendance à minorer les pertes au moment des combats dans un but de propagande anti-démoralisation.<br /> Personne ne sait au juste qu’elles ont été les pertes totales de l’hécatombe de stalingrad. De mon temps, on les estimait à un million environ, russes et allemands confondus. L’historien américain<br /> Antony Beevor estime pour sa part « a minima » un nombre de un million cent mille pour le seul camp russe ! C'est-à-dire qu’elles pourraient être encore plus importantes (à comparer avec les sept<br /> mille tués de l’opération de police internationale de juin 1944 appelée « LE Débarquement », un évènement militairement bien peu significatif de ce point de vue, si on le compare avec l’expédition<br /> des Dardanelles en 1915, qui fit plus de 500 000 victimes, tuées ou blessées, en quatre mois de combat).<br /> Il est bon de citer aussi ce que disait l’ancien dissident Alexandre Zinoviev dans son « Journal d’un homme en trop » à propos de la terreur stalinienne. Vingt pour cent environ de la population<br /> passèrent à sa moulinette d’abord parce que quatre vingt pour cent l’acceptait ou y trouvait son compte, et non parce qu’il y avait un guépéiste dans chaque placard.<br /> On oublie que l’industrialisation à marche forcée fut une opportunité inouïe pour toute une génération de jeunes gens pour fuir le monde arriéré et totalement fermé des campagnes russe. Pour ces<br /> jeunes, cette nouvelle vie urbaine, malgré sa dureté et toutes les promiscuités qu’elle entraînait, restait la promesse d’un changement de condition et la perspective d’apprendre autre chose que<br /> gratter la terre (je trouve que les amateurs de potagers on un peu tendance ici à idéaliser la chose).<br /> L’industrialisation s’accompagna d’une élévation considérable du niveau général d’instruction et de l’acquisition par beaucoup d’une culture technique, laquelle, pour Zinoviev, fut plus tard le<br /> premier facteur de la victoire contre l’Allemagne.<br /> Il faut préciser que Zinoviev savait de quoi il parlait puisque avant guerre il fut impliqué dans un complot visant à l’élimination physique de Staline. Il vécu ensuite 20 ans dans une<br /> clandestinité totale pour échapper à la traque de la police, changeant plusieurs fois d’identité, ce qui lui permit de faire la guerre en tant que tankiste dans l’armée rouge, de la finir comme<br /> pilote, avant de mener à bien une tardive carrière universitaire.<br /> Il s’agit sans doute de la partie la plus stupéfiante de son récit autobiographique, puisqu’il explique qu’une telle aventure était tout à fait possible sous la « terreur rouge ». Il suffisait<br /> d’acheter des protections auprès des maffias régionales, lesquelles, malgré la guépéou dans chaque placard, n’ont jamais cessé de prospérer sous le régime soviétique. Elles furent même le moyen<br /> privilégié de mettre de l’huile dans le moteur collectiviste.<br /> Ces faits n’annulent pas les récits de Soljenitsyne ni surtout ceux de Vassili Grossmann, qui rendent compte d’autres expériences dans un pays immense et complexe, même du temps des soviétique, et<br /> que l’on a eu trop tendance à voir comme LE monolithe totalitaire.<br /> Ils permettent en tout cas de prendre avec des pincettes tous les « livres noirs du communisme » et autres travaux généralement rédigés par des maoïstes recyclés à la Stéphane Courtois (les<br /> maoïstes français ont toujours reçu avec déférence le denier du culte de la CIA).<br /> Oui, certes, les massacres de masse commis sous le régime de la Russie soviétique ont atteint des proportions réputées « inégalées » (plus que ceux commis sous la révolte des Taï Ping en Chine au<br /> dix neuvième siècle –et dont il a un jour été question ici ? Allons donc !).<br /> Mais le massacre de masse, tout comme l’impôt du sang, sont partie intégrante de l’inconscient collectif russe. Il n’y a qu’à se reporter à l’approbation reçue par Poutine lors du tragique<br /> dénouement de l’affaire de la prise d’otages à l’école de Brescia pour le vérifier (il n’y a guère qu’en occident que l’on s’est montré indigné et scandalisé à la place des russes).<br /> <br /> <br />
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D
<br /> tu es bien le petit trouduc que je pensais ...<br /> <br /> <br />
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C
<br /> Que vient faire dans le schmilblick une bande de sauvages qui découpent à la machette leurs congénères, dans la joie et la bonne humeur qui sied si bien au continent noir ?<br /> <br /> Ah pardon, il s'agit de l'"impérialisme français". Faut envoyer ta copine Ségolène Royal pour s'excuser. Demander pardon.<br /> <br /> Je suis sidéré par ce genre de réaction. On parle ici de choses sérieuses, autour (généralement) d'un topic (le papier du tenancier)... ça dérape parfois... okay... mais de temps en temps...<br /> pouf... surgit un gauchiste, un alter quelque chose qui fait sa crise, et pisse les mots aussi clés que creux :<br /> <br /> -fascisme<br /> -impéralisme (français, américain, biffez la mention inutile)<br /> -extrême drouate<br /> <br /> Donc pour résumer mon bon : tes africains, tes machettes, tes jérémiades anti ceci, anti cela, les sanglots longs de l'homme blanc, tes regrets, ton sentimentalisme carambar au goût très frais, tes<br /> auto flagellations nutella, tu te les gardes, tu les plies, et tu les emballes dans du papier cadeau pour... te les offrir.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> L'aéroport de Huesca en Espagne a accueilli 15 passagers au mois de juillet. L'aéroport a été construit il y a 4 ans pour 40 millions d'Euros et emploie 20 personnes.<br /> Les Espagnols sont ravis ! Idem pour les Nantais ?<br /> <br /> http://www.lavanguardia.com/economia/20110823/54205630450/aena-mantiene-el-aeropuerto-de-huesca-pese-a-que-solo-acogio-a-15-viajeros-en-julio.html<br /> <br /> <br />
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L
<br /> L'aéroport de Huesca en Espagne a accueillit 15 passagers au mois de juillet. L'aéroport a couté 40 millions d'Euros et emploi environs 20 personnes.<br /> Les espagnols sont ravis. Idem pour Nantes ?<br /> <br /> http://www.lavanguardia.com/economia/20110823/54205630450/aena-mantiene-el-aeropuerto-de-huesca-pese-a-que-solo-acogio-a-15-viajeros-en-julio.html<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Mardi 23 août 2011 :<br /> <br /> La croissance du secteur privé allemand à un plus bas de 25 mois.<br /> <br /> Principaux résultats préliminaires publiés mardi 23 août des enquêtes mensuelles PMI réalisées par Markit auprès des directeurs d'achats des secteurs de l'industrie manufacturière et des services<br /> en Europe.<br /> <br /> ALLEMAGNE - L'INDUSTRIE STAGNE, LES SERVICES RALENTISSENT.<br /> <br /> L'activité manufacturière est restée stable au mois d'août en Allemagne, restant à son plus bas de 25 mois, sous l'effet d'une chute des nouvelles commandes, montre l'enquête PMI menée auprès des<br /> directeurs d'achat des entreprises.<br /> <br /> S'il ressort meilleur que prévu - le consensus n'anticipait que 50,8, après 52,0 en juillet - il ne parvient pas à s'éloigner de la barre des 50 qui sépare contraction de croissance et reste à son<br /> plus bas depuis juillet 2009.<br /> <br /> L'indice PMI des services est ressorti plus bas qu'attendu à 50,4 pour août, contre un consensus de 52,0, et après 52,9.<br /> <br /> L'indice PMI composite est lui aussi inférieur aux attentes, à 51,3, contre 52,2 attendu.<br /> <br /> "Le principal moteur de croissance de la zone euro est en train de caler. C'est un tournant spectaculaire pour l'Allemagne", s'est alarmé Chris Williamson, économiste chez Markit.<br /> <br /> FRANCE - CONTRACTION DANS l'INDUSTRIE, CROISSANCE DES SERVICES.<br /> <br /> L'activité manufacturière s'est contractée en France en août et, malgré la bonne tenue des services, la croissance du troisième trimestre s'annonce molle, montrent les résultats publiés par<br /> Markit-CDAF.<br /> <br /> L'indice PMI composite est remonté à 53,6 en version "flash" contre 53,2 en juillet.<br /> <br /> Dans les services, l'indice des directeurs d'achats, qui reculait lui aussi depuis mai, est reparti à la hausse à 56,1 après 54,2 le mois dernier.<br /> <br /> Mais ce rebond occulte le net recul de l'indice de l'industrie manufacturière, qui chute à 49,3 et repasse pour la première fois depuis juillet 2009 sous le seuil de 50 séparant contraction et<br /> expansion de l'activité.<br /> <br /> L'enquête montre aussi que les nouveaux contrats signés par les entreprises françaises (industrie et services confondus) ont enregistré en août leur plus faible croissance depuis deux ans.<br /> <br /> Dans les services, la composante des anticipations des chefs d'entreprises accuse une baisse de plus de cinq points d'un mois sur l'autre.<br /> <br /> Sur cette base, Markit anticipe une croissance du PIB français limitée à 0,1 % ou 0,2 % au troisième trimestre.<br /> <br /> http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRLDE77L0RG20110823<br /> <br /> <br />
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D
<br /> http://www.matierevolution.fr/spip.php?article134<br /> <br /> on peut être "fier" ...christophe doit l'être ...<br /> quand ce sera dans son jardin il fera moins le "fier" ...<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Lundi 22 août 2011 :<br /> <br /> La Banque Centrale grecque a annoncé ce week-end que les quatre plus grandes banques du pays ont donné leur accord pour prendre jusqu'à 50 millions d'euros d'obligations convertibles pour aider à<br /> recapitaliser la petite banque privée grecque Proton Bank.<br /> <br /> Cette dernière est pourtant soupçonnée de détournement de fonds, mais est soutenue par l'Etat grec fin d'éviter « les répercussions négatives » sur le système bancaire grec.<br /> <br /> Selon une source du Financial Times, l'accord précède une annonce attendue des banques du pays qui demanderont d'urgence des liquidités à la Banque Centrale grecque.<br /> <br /> Les quatre grandes banques grecques - National Bank of Greece, EFG Eurobank, Alpha Bank et Piraeus Bank - font en effet face à une crise de liquidités menaçante alors qu'environ 10 milliards<br /> d'euros des dépôts du gouvernement vont être retirés auprès des banques grecques pour rembourser la dette venant à échéance dans les semaines à venir.<br /> <br /> National Bank of Greece, EFG Eurobank, Alpha Bank et Piraeus Bank déploraient en avril l'évaporation d'environ 10 milliards d'euros due à des retraits en série des Grecs, soit 4,5 % du total de<br /> l'argent du système bancaire du pays.<br /> <br /> http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/20110822trib000643654/les-banques-grecques-s-entraident-pour-eviter-la-faillite.html<br /> <br /> <br />
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L
<br /> De mieux en mieux<br /> <br /> L'Iran va importer du pétrole temporairement<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/_L_Iran_va_importer_du_petrole_temporairement_220820112208.asp<br /> <br /> <br />
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H
<br /> Il y a quand même une légère différence dans le nombre de victimes des déportations en Sibérie : le score sur une même durée est au moins 1000 fois plus pour l'URSS.<br /> Il y a aussi la différence du nombre de morts dans les guerres, dûe pas uniquement à l'ennemi.<br /> Le régime soviétique a été bien plus meurtrier, et c'est d'autant plus idiot que cela n'a servi à rien.<br /> <br /> <br />
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