Un vrai stress test : c'est OK...

L'éolien de Grande Bretagne vient de passer un vrai stress test. Les vents ont soufflé jusqu'à 266 km/h sur l'Ecosse, infligeant des dégâts légers à UNE éolienne, sur 3000.
De même, aucune éolienne nipponne n'avait été endommagé au Japon lors du tsunami/ séïsme.

Par contre, les stress tests bancaires et nucléaires ne réussissent que lorsqu'ils sont bidons et évitent les sujets qui fâchent : vrais pertes subies par les banques, avions qui tombent et attentats terroristes.

Sans compter, bien sûr, les pannes impromptues et imprévues, qui nécessitent des boites à outils introuvables...

Là aussi, on voit la dégradation de la situation... Il n'y a qu'en trichant qu'on peut faire croire que la situation est sous contrôle.
En réalité, dans tout ce qui dépend des lobbys, tout est tromperie.

De plus, on peut affirmer sans se tromper qu'un attentat terroriste contre une éolienne, ou un avion qui tomberait dessus, ne provoquerait qu'un trouble très restreint. 

En temps de guerre, c'est encore pire. Inutile de comparer les deux cibles...

Comments

[resiliation mutuelle]

très bien illustré, c'est la situation du gouvernement en ce temps.

[resiliation mutuelle]

très bien illustré, c'est la situation du gouvernement en ce temps.

[resiliation mutuelle]

très bien illustré, c'est la situation du gouvernement en ce temps.

[brunos]

Et pendant ce temps là:

Areva : le gouvernement responsable d'acquisitions onéreuses, selon le PS Cahuzac

Le président PS de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Jérôme Cahuzac, a estimé dimanche que "si des comptes doivent être demandés" sur les pertes d'Areva "c'est certainement à
Anne Lauvergeon" son ex-PDG "mais certainement aussi aux responsables politiques".

Invité du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro, M. Cahuzac a fait référence à l'achat par le groupe nucléaire public, des mines d'uranium UraMin en Namibie. "Areva a passé comme provision plus de 1,5
milliard d'euros en constatant que l'achat effectué en 2007 avec l'accord du gouvernement actuel d'UraMin ne valait plus rien aujourd'hui", a résumé M. Cahuzac.

"Si des comptes doivent être demandés, c'est certainement à Anne Lauvergeon mais certainement aussi aux responsables politiques qui à l'époque ont donné leur accord pour un investissement très
onéreux, payé dans un paradis fiscal et dont on s'aperçoit aujourd'hui qu'il ne vaut rien" a lancé M. Cahuzac, en rappelant que Christine Lagarde était à l'époque ministre de l'Economie.

Le ministre de l'Industrie, Eric Besson, a déclaré dimanche, au Forum de Radio J, "que le conseil de surveillance d'Areva veut se doter d'un comité spécial pour faire toute la lumière sur cette
acquisition qui date de 2007 et qui a été achetée à un très haut niveau qui correspondait probablement au très haut niveau des prix de l'uranium à l'époque".

"J'ai demandé moi-même à mes services une étude sur les conditions de cette acquisition pour essayer de comprendre ce qui s'était exactement passé et pourquoi la dépréciation de cet actif", a
ajouté M. Besson qui a toutefois assuré qu'il ne croyait pas qu'il y ait eu des zones d'ombre dans l'achat d'UraMin en Namibie. AFP

[lecteur]

M'sieu raymond
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