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Végétalisation de la Bretagne...

29 Janvier 2013 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités

La Bretagne, suffoquant sous le poids de ses élevages, est en train de régler le problème.

A grand coups de normes, tout s'arrête. "La végétalisation menace les terres bretonnes. C'est le cri d'alarme de la FDSEA du Finistère qui constate le découragement des éleveurs face aux pressions économiques et sociales de plus en plus fortes. "

 

Le constat est simple. Les prix de vente stagnent ou reculent, les coûts de revient augmentent fortement, notamment par le recours à des normes drastiques.

Bien entendu, la solution la plus simple est l'arrêt de la production, ce que les vieux cons de retraités traduisent par "y a du boulot, mais y veulent pu travailler".

 

"les abattoirs bretons vont bientot être à vides avec des licenciements massifs." Car l'élevage est très producteur aussi, d'emplois induits en amont et aval. (4 pour 1).

 

Pour ce qui est du reste, c'est le retour à quelque chose de très vieux, l'autoconsommation, présentée comme "nouvelle".
Dans la Sarthe, un village distribue des poules pour réduire les déchets ménagers organiques.

Bientôt, ils distribueront aussi le cochon. Avec le poêle pour brûler les vieux papiers, on pourra encore réduire la fréquence de passage des ordures ménagères, réduites aux métaux, au verre et plastiques.

 

Quand au coût des poules, pour le village en question, il s'est limité à 600 euros (les particuliers fournis devant acquérir abris et protections contre les prédateurs), avec un rapport immédiat très important.

 

ça, c'est une démarche capitaliste. Investir pour produire.

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G
par ci par là la résistance s'organise ;<br /> ok je vous le concéde Antibes n'est pas roubaix<br /> <br /> <br /> http://www.nicematin.com/antibes/la-mairie-dantibes-refuse-de-supprimer-la-viande-de-porc-dans-les-ecoles.1121397.html
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G
bon de toute manière les jours du cochon sont comptés :<br /> <br /> pardonnez moi l'expression; mais avec la démographie de<br /> <br /> ceux qui n'en mangent pas il faut s'attendre a une chute<br /> <br /> inexorable de la consommation de ralouf, en effet la<br /> <br /> conso de cochon est inversement proportionnelle a la<br /> <br /> vision de la sortie d'une maternité de roubaix sarcelle<br /> <br /> marseille etc etc completez au choix.
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B
Sur l'ile d'oleron on roule à l'huile de friture:<br /> <br /> http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/01/29/sur-l-ile-d-oleron-roule-ma-frite-carbure-a-l-huile-de-friture-recyclee_1823851_3244.html
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B
Mardi 29 janvier 2013 :<br /> <br /> Italie : une banqueroute de Monte dei Paschi menacerait l’Europe.<br /> <br /> On savait que Monte dei Paschi, la grande banque de Sienne, la troisième d’Italie, était en difficultés. Mais ce n’est pas pour participer à un des somptueux diners donnés dans le superbe Palazzo<br /> Salimbeni par cette institution que Mario Draghi s’est envolé ce soir pour l’Italie. Mont de Piété créé en 1472 par les magistrats siennois, elle a pour principal actionnaire une fundazione aussi<br /> prestigieuse que peu transparente. AXA en est le troisième actionnaire avec plus de 3% du capital.<br /> <br /> C’est au chevet de cette institution systémiquement importante pour l’Europe et le monde bancaires que le Président de la BCE se rend, à en croire le Financial Times. Une réunion au sommet est en<br /> effet convoquée à Rome ce mardi. C’est que la faillite de la BMPS serait une catastrophe à plusieurs niveaux.<br /> <br /> Les conséquences d’une faillite pour les banques, pour l’Italie, et l’Europe seraient létales.<br /> <br /> • Elle entrainerait une faiblesse contagieuse des deux autres grandes banques italiennes, Unicredit et Intesa San Paolo, ainsi que du réseau de caisses d’épargne du pays. Ce faisant, elle<br /> menacerait l’ensemble du secteur bancaire européen à travers le marché interbancaire et provoquerait une crise de liquidité. Parmi elles, un montant substantiel prêté à 1% à 3 ans au début de 2012<br /> par la Banque Centrale Européenne. Ancien Gouverneur de la Banca d’Italia, Mario Draghi connaît parfaitement les fils qui lient les institutions bancaires de son pays avec l’Europe et le reste du<br /> monde.<br /> <br /> • Une panique entrainerait un effondrement des obligations souveraines italiennes qui s’étaient améliorées suite à l’engagement pris par la BCE de soutenir l’Italie et l’Espagne. Cet engagement a<br /> rassuré, mais n’a pas encore été exécuté. Face à un risque de 2.000 milliards d’euros de titres du Tesoro italien, la BCE pourrait se trouver elle-même en difficulté, vu son bilan déjà largement<br /> surexposé en créances bancaires de l’Europe du Sud.<br /> <br /> • L’affaire ne s’arrêterait pas à l’Italie : la France serait aux premières loges, et en particulier BNP Paribas, qui détient la Banca Nazionale del Lavoro, elle-même la quatrième banque du pays et<br /> qui célèbre son centenaire en 2013. Qui plus est, on voit mal comment un effondrement de la dette italienne n’affecterait pas d’autres pays européens, relançant une spéculation contre les<br /> obligations souveraines.<br /> <br /> Ce scenario pourra-t-il être évité ?<br /> <br /> La BMPS a perdu 91% de sa capitalisation boursière en cinq ans. Elle est de 3 milliards d’euros pour des fonds propres de 17 milliards, soit moins de 20%. Son nouveau Président, Alessandro Profumo,<br /> ancien patron de la banque Unicredito, cherche désespérément un investisseur stratégique. On cite JP Morgan, Deutsche Bank ou Nomura.<br /> <br /> La Banca d’Italia a décidé samedi d’augmenter un prêt obligataire de sauvetage à 3,9 milliards d’euros. Ce prêt fait déjà hurler dans la péninsule. Mais la banque centrale n’a pas le choix.<br /> <br /> Les moyens de cette banque centrale et de la BCE permettront-ils d’endiguer une possible banqueroute ? Il faut le souhaiter. Même si l’on y arrive sans qu’une panique éclate, il ne faudra pas<br /> oublier que, malgré quelques mois de répit, l’Europe reste vulnérable à la faillite de l’une quelconque de ses grandes banques, surtout lorsqu’elle est située dans un pays qui a une dette publique<br /> de 120% du Produit Intérieur Brut. La combinaison d’une grave faiblesse bancaire dans un pays surendetté peut être létale.<br /> <br /> http://finance.blog.lemonde.fr/2013/01/28/italie-une-banqueroute-de-monte-dei-paschi-menacerait-leurope/<br /> <br /> Dette publique au troisième trimestre 2012 :<br /> <br /> 1- Médaille d’or : la Grèce. Dette publique de 301,193 milliards d’euros, soit 152,6 % du PIB.<br /> <br /> 2- Médaille d’argent : l’Italie. Mario Monti laisse derrière lui une dette publique de 1995,143 milliards d’euros, soit 127,3 % du PIB. Mario Monti a fait la preuve de sa nullité. Mario Monti a<br /> fait la preuve de son incompétence.
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