Macdo se barre...

De Crimée. Où faut il donc s'inscrire pour qu'ils se cassent d'ici ??? Et leurs clones, bien Sûr.

Cela, c'est loin d'être une sanction. Ou alors, on n'a pas la même conception des sanctions.

Sondage sur l'UE : les courbes de popularité se croisent. 48 contre 52 qui pensent qu'on serait mieux ailleurs, mais encore un bêtise crasse importante.
48 % y croient encore, et c'est souvent pire ailleurs.

Les espagnols, d'ailleurs, sont complétement tarés. Ils acclament le système qui leur en met plein la gueule à72 %, et visiblement, pas grand monde ne comprend que le problème, c'est l'euro.

La conscience de classe est donc au plus bas. Les voyageurs se félicitent de ne pas payer de frais de changes, quand ils voyagent en Europe, sans vouloir voir tous les coûts cachés.

Les peuples ayant vécus la dictature sont les plus fous : ils ne la reconnaissent même plus quand elle est de nouveau là.

Pour ce qui est de la démondialisation, elle se porte on ne peut mieux. Maintenant, ce sont les réseaux de paiement et réseaux de communications, les réseaux existants se révélant vieillots et obsolètes, et comme je l'ai dit pour le génie européen, c'est de créer des concurrences qui permettent de tourner les régressions qui s'installent, les positions rentières qui stérilisent tout, et la stagnation et le plafonnement technologique.

Comments

[raphael]

Même réflexion sur le sondage :
Le sentiment européiste du "sud" sacrifié sur l'autel de l'€ semble beaucoup moins impacté par la crise que la france, pourtant moins directement impactée...

Par contre, les Francais sont devenus anti-européens mais restent pro-euro...
Seuls les Allemands sont plus réservés sur la monnaie unique, alors que la plus pure logique voudrait plutôt l'inverse...

[La Gaule]

"Les français sont devenus anti-européens mais restent pro-euro"
Il semblerait donc que les bobards constamment martelés sur "l'apocalypse" de la sortie de l'euro fonctionnent.
Par ailleurs une petite majorité a encore les moyens de voyager, c'est à dire d'être ravie de pouvoir se payer un casse-dale dans la même monnaie que leur trou.
Le premier facteur peut-être maintenu indéfiniment, même en payant la caste journalistique à coup de pierre. Pour le deuxième, c'est plus critique.