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Hérétique, c'est un hérétique...

28 Juin 2015 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique

Il doit être exorcisé, battu, exécuté.Tsipras a convoqué un referendum, commettant l'hérésie suprême à la cause européenne.

Vous savez, cette oligarchie qui se gargarise de démocratie, mais interdit de faire appel au peuple, sur un autre sujet que le cheval blanc d'Henri IV (et encore, un sujet aussi technique passe l'entendement des gueux).

Tous les gouvernements qui ne voulaient pas de l'austérité et posaient la question de l'euro étant impitoyablement débarqués.

On a dit que Tsipras trahissait ses engagements. Sans doute, a t'il agi en politique. Il fallait démontrer que les créanciers appelaient "négociations", un diktat, et "accord", une capitulation.

La crise grecque n'était pas importante. La BCE avait clairement les moyens de racheter la totalité de la dette grecque et de la monétiser. Mais cela aurait simplement montré le "mauvais exemple", aux autres.
Sans doute pouvait elle aussi, monétiser un petit pourcentage des dettes européennes, sans aucun risque. Mais la politique d'austérité ne s'imposait plus.

Tout le monde sait qu'elle ne fonctionne pas, au contraire, qu'elle n'a jamais fonctionné, et qu'elle ne fonctionnera jamais. Mais ce que demande la dictature européenne, c'est la soumission.

Ce que demandent les USA, c'est la soumission. De l'autre côté du Bosphore, Erdogan a pu faire ce qu'il voulait, jusqu'à ce qu'il signe l'accord gazier avec Poutine. Il a donc clairement été largué par la CIA, et la conjoncture s'est effondrée.

Les conséquences de la crise syrienne contaminent la Turquie, dont la croissance basée sur l'endettement et l'immobilier faiblit de 10 à 3 %, en attendant de passer sous zéro.

Les accords de partage du moyen orient qui se profilent, rendent caduque cette guerre en Syrie et en Irak, où Erdogan s'est clairement et totalement impliqué.

Après, il risque d'être berlusconisé. Sa majorité n'est que relative, et cela prête aux manoeuvres et coups tordus.

Lui, risque donc d'être débarqué promptement, pour cause d'un partage du moyen-orient entre Israël/arabie et Iran/et ses alliés.

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B
Historique.<br /> <br /> C'est un moment historique, ce soir.<br /> <br /> Lundi 29 juin 2015, à 18 heures 20, la Grèce se déclare en défaut de paiement.<br /> <br /> Lisez cet article :<br /> <br /> 18h20 : La Grèce ne remboursera pas le FMI mardi.<br /> <br /> La Grèce ne remboursera pas l’échéance de 1,6 milliard d’euros qu’elle doit au Fonds monétaire international mardi, a annoncé lundi un responsable du gouvernement grec.<br /> <br /> http://www.lesechos.fr/monde/europe/021173479300-en-direct-grece-la-porte-reste-ouverte-assure-le-patron-de-leurogroupe-1132804.php
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B
L'économiste danois Jens Nordvig a répertorié qu'entre 1918 et 2012 quelque 67 unions monétaires ont volé en éclat. Toutes les tentatives d'États indépendants de constituer une monnaie commune unique ont fini par échouer. On ne connaît pas de contre-exemple. <br /> <br /> Lisez cet article fondamental :<br /> <br /> http://www.lefigaro.fr/vox/economie/2015/06/29/31007-20150629ARTFIG00142-referendum-grec-vie-et-mort-des-unions-monetaires.php
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B
Nous savons aujourd'hui quels sont les deux prochains pays qui sortiront de la zone euro :<br /> <br /> l'Espagne et l'Italie.<br /> <br /> Lundi 29 juin 2015 :<br /> <br /> ALERTE - Crise qrecque : les taux d'emprunt de l'Espagne et de l'Italie s'envolent sur le marché obligataire.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/ALERTE--Crise-qrecque--les-taux-demprunt-de-lEspagne-et-de-lItalie-senvolent-/607086.rom<br /> <br /> Dette publique :<br /> <br /> 1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 317,094 milliards d’euros, soit 177,1 % du PIB.<br /> <br /> 2- Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2134,920 milliards d’euros, soit 132,1 % du PIB.<br /> <br /> 3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 225,280 milliards d’euros, soit 130,2 % du PIB.<br /> <br /> 4- Irlande : dette publique de 203,319 milliards d’euros, soit 109,7 % du PIB.<br /> <br /> 5- Chypre : dette publique de 18,819 milliards d’euros, soit 107,5 % du PIB.<br /> <br /> 6- Belgique : dette publique de 428,365 milliards d’euros, soit 106,5 % du PIB.<br /> <br /> 7- Espagne : dette publique de 1033,857 milliards d’euros, soit 97,7 % du PIB.<br /> <br /> 8- France : dette publique de 2037,772 milliards d’euros, soit 95 % du PIB.<br /> <br /> 9- Royaume-Uni : dette publique de 1600,862 milliards de livres sterling, soit 89,4 % du PIB.
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B
Le retour de l'Histoire.<br /> <br /> Dimanche 28 juin 2015 :<br /> <br /> Je recopie trois titres d'actualité sur le site romandie.com<br /> <br /> Ces trois titres sont ahurissants.<br /> <br /> On a l'impression que l'Histoire accélère comme un torrent qui dévalerait une montagne.<br /> <br /> ALERTE - Grèce : un Grexit presque inévitable.<br /> <br /> Le ministre autrichien des Finances a estimé dimanche qu’une sortie de la Grèce de la zone euro semblait presque inévitable, après le refus des ministres des Finances de l’Eurogroupe de prolonger le programme d’aide grec.<br /> <br /> ALERTE - Athènes envisage la fermeture des banques lundi (Varoufakis).<br /> <br /> Le gouvernement grec envisagera ce dimanche la mise en place de mesures de contrôle des capitaux et la fermeture des banques du pays lundi. Le ministre des Finances Yanis Varoufakis l'a annoncé à la BBC. <br /> <br /> ALERTE - Berlin recommande aux Allemands se rendant en Grèce de prévoir suffisamment d'argent liquide.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/
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G
La panique gagne, après l’approbation du référendum par le parlement grec<br /> <br /> Le cartel des oligarques et leurs marionnettes eurocrates, veulent parler à la place du peuple Grec . Le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble a assuré qu’Athènes restait membre du bloc monétaire, selon son homologue français Michel Sapin c’est « son destin ». Vals s’inquiète, et la fausse gauche tel que Die Linke, fait appel à Merkel .<br /> <br /> https://fr.finance.yahoo.com/actualites/grèce-zone-euro-refuse-prolonger-plan-daide-au-145651039.html<br /> <br /> La BCE appelée à trancher sur la Grèce au bord du précipice<br /> <br /> Dimanche 28 juin 12h . Les gouverneurs de la BCE devaient décider dimanche s ?ils maintiennent les banques grecques sous perfusion, mais malgré les pressions politiques l’espoir de les voir intervenir pour éviter l’effondrement du système bancaire et de l’économie grecque était mince.<br /> <br /> Les 25 membres du conseil des gouverneurs, qui tiennent leur conférence sans doute par téléphone, pourraient couper le robinet du financement des banques hellènes, pour lequel les conditions ne sont plus réunies depuis que les Européens ont décidé samedi, après cinq mois de négociations infructueuses, de laisser expirer mardi 30 juin le programme d’aide dont bénéficiait la Grèce.<br /> <br /> Tout en reconnaissant son indépendance, le Premier ministre français Manuel Valls a appelé l’institution à ne pas « couper les vivres » de la Grèce et à « prendre ses responsabilités » en apportant « un soutien financier dans les jours qui viennent » à Athènes.<br /> <br /> Sinon c’est la panique bancaire qui guette, et derrière elle se profile le risque du défaut de paiement de la Grèce, d’une catastrophe humanitaire et sociale dans le pays et de sa sortie de l’euro.<br /> <br /> Les responsable européens s’employaient à rassurer sur ce point. Le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble a assuré qu’Athènes restait membre du bloc monétaire, selon son homologue français Michel Sapin c’est « son destin ».<br /> <br /> suspendre ELA ? –<br /> <br /> Des propos de leur confrère autrichien Hans Jörg Schelling rapportés par la presse sur le caractère inévitable d’un « Grexit » ont été démentis ensuite à Vienne.<br /> <br /> Mais du point de vue de la BCE, « il n’y a aucune raison de remettre de l’argent » après l’échec de négociations entre la Grèce et ses créanciers à Bruxelles samedi, a commenté une source proche des négociations, « la BCE va suspendre ELA demain, c’est clair ».<br /> <br /> Les prêts d’urgence ELA sont la bouée de sauvetage des banques grecques, coupées des financements normaux de la BCE depuis février. Les conditions de leur attribution, un programme d’aide et la solvabilité des banques, ne sont plus remplies. Pour laisser un petit répit à la Grèce, le conseil des gouverneurs pourrait théoriquement seulement durcir les conditions d’ELA, sans y mettre fin. Mais pour beaucoup de banquiers centraux, cela constituerait une entorse inacceptable aux règles de l’institution.<br /> <br /> Depuis samedi, des files d’attente se sont formées devant les distributeurs en Grèce, et le rythme des retraits, déjà soutenu ces dernières semaines, s’est accéléré, alors que les Grecs anticipent le pire.<br /> <br /> Les coffres des banques vont à ce rythme se retrouver très vite vides et, sans soutien de la BCE, le financement de toute l’économie coupé, ainsi que celui de l’Etat aussi puisque les banques grecques étaient les seules à le refinancer, en achetant ses obligations à court terme dont personne d’autre ne veut.<br /> <br /> L’annonce vendredi soir par le Premier ministre Alexis Tsipras qu’il soumettait à ses compatriotes par référendum la proposition d’accord mise sur la table par les créanciers la veille – qui prévoyait un renflouement contre des réformes qu’il juge inacceptables – a entraîné la cascade d’événements du weekend.<br /> <br /> Le Parlement grec s’est prononcé samedi soir en faveur de la tenue du référendum le 5 juillet. M. Tsipras a prédit que le peuple grec dirait alors « un grand non à l’ultimatum mais en même temps un grand oui à l’Europe ».<br /> <br /> Référendum sans objet –<br /> <br /> Mais « d’un point de vue juridique, le référendum portera sur des propositions et des arrangements qui ne sont plus valides », a souligné la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde dans une interview télévisée dans la nuit de samedi à dimanche.<br /> <br /> Certains entretenaient un espoir ténu de trouver un dénouement d’ici mardi, date d’expiration du programme actuel et d’une échéance de remboursement de 1,5 milliard d’euros de la Grèce au FMI. M. Valls a exhorté les Grecs à « revenir à la table des négociations » et appelé à « tout faire » pour que le pays reste dans l’euro.<br /> <br /> A Berlin, l’opposition parlementaire en appelait à Angela Merkel. « La chancelière doit intervenir, le sort de l’Europe est entre ses mains », a plaidé le parti d’extrême gauche Die Linke.<br /> <br /> L’attention commençait aussi à se tourner dimanche vers l’ouverture des marchés financiers lundi, où les événements du weekend pourraient déclencher à tout le moins une forte volatilité.<br /> <br /> « Si vous me demandez si (les marchés) sont prêts à ce qu’il est en train de se passer en Grèce, je vous réponds que non : ils ne prévoient, dans leurs évaluations, aucun risque », a déclaré dans un entretien à La Stampa l’économiste de l’OCDE Catherine Mann.
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G
Mauvais lien, l'original c'est celui ci<br /> <br /> http://www.france24.com/en/20150627-deepening-greek-crisis-puts-ecb-eye-storm
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G
Le « Cartel des Oligarques Européens » (Eurogroupe) dans la panique<br /> <br /> http://www.france24.com/en/20150627…<br /> <br /> Traduction Bing Microsoft Translator 27 juin 2015-22H 45<br /> <br /> Approfondissement de la crise grecque met la BCE dans le œil du cyclone<br /> <br /> BERLIN (AFP)- La crise grecque escalade met la Banque centrale européenne dans l’oeil de la tempête, comme le seul organe qui peut empêcher un effondrement bancaire ou, dans le pire des cas, gérer les conséquences d’un « discute ».<br /> <br /> Comme les citoyens grecs anxieuses attente pour extraire leur argent de distributeurs automatiques de billets, soulevant les craintes d’une banque exécutent et contrôles des capitaux, tous les yeux étaient sur la BCE comme prêteur en dernier recours du pays frappés.<br /> <br /> « Si la Grèce doit sortir de la zone euro dépend désormais la BCE. Une responsabilité terrible pour les fonctionnaires non élus, » tweeté économiste Paul De Grauwe de l’Université de Louvain.<br /> <br /> La BCE a été les banques grecques du maintien de la bouée de sauvetage—et par extension l’État grec—à flot avec des espèces d’urgence par le biais de cinq mois de négociations tortueuses, qui ont maintenant pris une forte tourner pour le pire.<br /> <br /> La Grèce fonçait vers par défaut et une sortie possible de l’euro samedi après que Europe a répondu à l’annonce par le gouvernement de gauche d’un référendum de surprise sur la question en refusant d’étendre Athènes désespérément besoin de renflouement.<br /> <br /> Tout ce que la BCE fait maintenant, c’est l’avenir du bloc monnaie qui est en jeu.<br /> <br /> Si l’institution basée à Francfort coupe la corde d’assurance aux banques grecques et en même temps l’ensemble de l’économie, il précipiterait la « discute », que le pays quitte la monnaie unique.<br /> <br /> Il appartiendrait ensuite la BCE pour gérer les conséquences, y compris tenter, avec les outils de politique monétaire dont elle dispose, pour contenir les risques de contagion à d’autres membres de l’euro.<br /> <br /> En revanche, en continuant à perfusion ses banques, la BCE violerait les règles de ce chef de la BCE Mario Draghi aime à rappeler aux gens est une « institution basé sur des règles ».<br /> <br /> Pour certains, il serait le début de la fin de la zone euro.<br /> <br /> Draghi, qui a soigneusement resté clair des échanges entre la Grèce et ses créanciers de l’UE-FMI chauffés ces derniers mois, se retrouve donc sur place, dans une situation qu’a jamais exprimé le souhait.<br /> <br /> Draghi a déclaré au Parlement européen ce mois-ci qu’elle devrait être « absolument claire » qui a élu les responsables politiques, banquiers centraux pas, doit se prononcer sur la Grèce ? programme de renflouement de s.<br /> <br /> Gérance ?<br /> <br /> Le Conseil des gouverneurs devait tenir une conférence téléphonique dimanche, une source bancaire à l’AFP, de décider sur la prochaine étape de carène de la Grèce vers une panique bancaire potentielle.<br /> <br /> Dans un communiqué, la Banque a déclaré : « le Conseil des gouverneurs de la BCE tiendra une réunion en temps opportun pour discuter de la situation. La BCE surveille attentivement l’évolution de la situation. »<br /> <br /> La BCE a gardé des banques grecques à flot depuis février à travers ce que l’on appelle d’urgence liquidité Assistance (ELA), qui a récemment été prolongée de jour en jour.<br /> <br /> Grèce, étant donnée l’état grave de ses finances, n’a pas accès aux marchés financiers et dépend uniquement de ses banques pour le financement.<br /> <br /> Mais les banques, à son tour, ne peut pas financer eux-mêmes via normales opérations de refinancement de la BCE, parce qu’ils sont interdits d’utiliser les obligations des gouvernements grecs indésirable inscrits comme garantie.<br /> <br /> Draghi a toujours insisté pour que ELA ne peut être accordée en vertu des règles strictes : l’existence d’un programme d’aide et la solvabilité des banques.<br /> <br /> Aucune condition était une donnée par samedi, comme le programme d’aide UE-FMI était fixé à expiration et banques sont exposées à des retraits massifs, mettant sérieusement en danger leur solvabilité.<br /> <br /> La conférence téléphonique attendue rassemblerait le Conseil d’administration de 25 membres—les six membres du Directoire et les 19 gouverneurs des banques centrales de la zone euro.<br /> <br /> Toute décision de couper ELA requiert une majorité des deux tiers du Conseil des gouverneurs.<br /> <br /> Certains membres du Conseil ont été notoirement opposés à l’octroi de prêts ELA avant même que les choses ont pris une tournure pour le pire, parmi lesquels Deutsche Bundesbank chef Jens Weidmann.<br /> <br /> Weidmann, a déclaré jeudi que ELA pour la Grèce soulève des inquiétudes « sérieuses » au financement monétaire des gouvernements, qui est illégal selon la législation européenne.<br /> <br /> Si ils ont coupé de financements aux banques grecques, le Conseil de la BCE devra réfléchir à la gestion des conséquences d’une sortie presque inévitable de la Grèce de la zone euro.<br /> <br /> Pour éviter les taux d’emprunt européen tir vers le haut, la BCE pourrait, par exemple, de Musclez sa soigneusement calibrée « quantitative easing » programme d’achats d’obligations.<br /> <br /> Il pourrait également lancer un programme d’achat de dette publique, une mesure jamais utilisée jusqu’à présent, appelé « Pure et simple des Transactions monétaires » ou OMT.<br /> <br /> Ce programme, l’annonce simple qui en 2012 évasée calmé les marchés alors que la crise de la zone euro, a juste été validé par la Cour européenne de Justice.<br /> <br /> par Mathilde Richter<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Cliquer pour éditer<br /> <br /> <br /> <br /> Supprimer
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