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Humour Otanien...

7 Février 2015 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique

Là, on est dans le risible. L'Otan va se renforcer de l'Estonie à la Bulgarie, soit, à la louche près de 3000 kilomètres, de 5 000 hommes. ça, c'est de l'infantilisme de la plus belle eau. J'espère qu'une telle force n'impressionnera pas à l'est et ne les poussera pas à attaquer en premier...

Le seul "hic", serait que vu leur dispersion et éparpillement entre 6 centres de commandements, les russes auraient sans doute du mal à les trouver. Et dire qu'on se paie la figure de la bureaucratie française...

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B
Lundi 9 février 2015 :<br /> <br /> La chute des prix du pétrole, un mauvais coup pour le Texas.<br /> <br /> La chute des prix du pétrole est un mauvais coup pour le Texas dont l'économie, après plusieurs années de dynamisme, risque de sérieusement ralentir.<br /> <br /> Sur les cinq dernières années, cet Etat, le plus grand des Etats-Unis en superficie après l'Alaska, a vu son économie faire mieux que celle du pays dans son ensemble. Mais la chute des prix de l'or noir, dont il est important producteur, risque de lui faire subir un nouveau ralentissement après celui connu après la crise financière de 2008.<br /> <br /> La baisse de 50% des prix du pétrole depuis juin conduit les compagnies pétrolières et tous leurs sous-traitants à réduire leurs dépenses et à licencier. <br /> <br /> Pour le moment, cette vague n'a pas encore touché de plein fouet le Texas, qui est également le deuxième Etat américain en terme de population et de produit économique derrière la Californie.<br /> <br /> « Il va y avoir une contraction très forte de l'activité pétrolière et gazière au Texas », assure Karr Ingham, qui dirige le cabinet Ingham Economic Reporting à Amarillo dans l'ouest de l'Etat où se trouvent les principaux champs pétroliers.<br /> <br /> « Au cours des mois à venir, l'industrie va réduire ses effectifs de manière régulière. Nous ne sommes qu'au début du processus », estime-t-il.<br /> <br /> Pour Boyd Nash-Stacey, économiste principal chez BBVA Research à Houston, la ville la plus peuplée de l'Etat et la 4e plus grande aux Etats-Unis, la crise dans le secteur pétrolier va coûter entre 60.000 et 80.000 emplois au Texas avec des effets secondaires sur le commerce et l'industrie hôtelière.<br /> <br /> « Déjà, le marché immobilier à Houston commence à souffrir. La question est de savoir quelle sera la gravité de la crise et combien de temps elle va durer, déclare Charles Gordon, vice-président du cabinet immobilier CBRE. Le choc vient de la rapidité de la chute des prix du pétrole », souligne-t-il.<br /> <br /> En 2013, l'économie texane a progressé à un rythme annuel de 3,7% alors que celle des Etats-Unis dans leur ensemble était de 2,2%. L'année précédente son rythme de croissance atteignait le double.<br /> <br /> Cette bonne santé provenait notamment de l'activité dans les champs pétroliers de l'ouest et du sud de l'Etat. Si elle va certainement souffrir en 2015, la question reste de savoir dans quelle ampleur.<br /> <br /> Le chef économiste de la banque JPMorgan Chase, Michael Feroli, a estimé dans un rapport publié en décembre que les perspectives actuelles pour le Texas étaient comparables à celle de 1986 quand une forte baisse des prix du pétrole avait été suivie par des licenciements, une baisse du marché immobilier et une crise bancaire.<br /> <br /> « Le Texas va avoir au minimum une année 2015 difficile et risque de tomber dans une récession régionale, a-t-il averti. Compte tenu de la taille de cet Etat et de son importance dans l'économie américaine, cela pourrait avoir des conséquences au-delà de ses frontières », a-t-il prévenu également.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/La-chute-des-prix-du-petrole-un-mauvais-coup-pour-le-Texas_RP/563795.rom
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G
Bon, si j'ai bien tout compris :<br /> <br /> cela fait déjà un an que la guerre entre l'Otan et la Russie a commence. c'est une guerre économique a 75 % et 25 % militaire. <br /> <br /> Au niveau économique, le pétrole remonte, le rouble est faible , et Moscou vend plein de matériel militaire, aviation, centrales nucléaires. Donc 1-0 pour Moscou.<br /> <br /> Au niveau militaire, dans le chaudron de Debaltsevo sont coinces 2200 hommes de L’OTAN (vous vous souvenez, il y a quelques mois, les aéroports de l'est de l’Ukraine ont été fermes a la population a Kharkov, etc ... c’était pour les débarquer !)<br /> Et bien maintenant, Vladimir les tient dans sa nasse ...<br /> <br /> Donc 2-0 Pour Moscou !<br /> <br /> Za Putina, Za Rodinu ! Pour Poutine, pour la Patrie et longue vie a NOVOROSSIA !
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R
Les personnels de l'OTAN, c'est non vérifié. Il y a suffisamment de vraies infos pour éviter les bruits. Par contre, ce qui est sur, c'est qu'on retrouve plein de matos OTAN, et pas que du non létal. Donc les livraisons d'armes à Kiev, c'est une réalité depuis au moins septembre dernier.
A
&amp;amp;quot; dans le chaudron de Debaltsevo sont coinces 2200 hommes de L’OTAN &amp;amp;quot;<br /> <br /> c'est du lourd ça, tu as une source ?
B
Dimanche 8 février 2015 :<br /> <br /> Tsipras évoque l'obligation historique à réclamer le remboursement d'indemnités de guerre à Berlin.<br /> <br /> Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a évoqué dimanche l'obligation historique et morale de son pays à réclamer le prêt forcé et des indemnités de guerre à l'Allemagne, un sujet sur lequel Berlin a déjà dit non.<br /> <br /> « Il y a une obligation morale envers notre peuple, envers l'Histoire, envers tous les peuples européens qui se sont battus et ont donné leur sang contre le nazisme, une obligation historique à réclamer à l'Allemagne des indemnités de guerre et le remboursement du prêt forcé », a dit M. Tsipras en concluant son discours sur son programme de politique générale devant le Parlement.<br /> <br /> Le parti de la gauche radicale Syriza d'Alexis Tsipras réclame une somme d'environ 162 milliards d'euros à l'Allemagne, soit l'équivalent de la moitié de sa dette publique de plus de 315 milliards d'euros. <br /> <br /> Le Premier ministre a évoqué la lutte sur ce sujet de l'eurodéputé du Syriza, Manolis Glezos, 92 ans, figure emblématique de la Grèce, qui à l'âge de 19 ans pendant l'occupation nazie avait décroché le drapeau nazi du rocher de l'Acropole.<br /> <br /> L'Allemagne a à plusieurs reprises refusé de payer cette somme à la Grèce, en soutenant que cette affaire n'a pas de base juridique et qu'elle a perdu sa légitimité 70 ans après la fin de la guerre. <br /> <br /> http://www.romandie.com/news/Tsipras-evoque-lobligation-historique-a-reclamer-le-remboursement-dindemnites-de-/563702.rom
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P
Humour du général en chef de l'OTAN (ou bluf ? ou folie ?) :<br /> <br /> Nous ne devons pas exclure la possibilité d'un scénario militaire&amp;amp;quot;, a déclaré M. Breedlove cité par l'agence Reuters. Le général a dans le même temps souligné qu'il n'était pas question pour l'Alliance de lancer une opération au sol.<br /> <br /> http://fr.sputniknews.com/international/20150207/1014454845.html
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B
@ phil du 06<br /> Merci de m'offrir l'occasion de répéter pour la 191ième fois que l'impôt détruit l'immobilier. Sans même parler de l'achat ruineux et absurde en soit, une résidence secondaire coûte plus cher en impôts, charges syndicales, ravalements, entretiens, frais de toutes natures dont les mises aux normes etc. etc. etc. que des vacances en Thaïlande avion, hôtel, repas et massages compris. Les prix s'éffondrent à la même vitesse que la prise de conscience du fait et les candidats à la plumaison volontaire se raréfient. Quoi de plus normal ?<br /> Séjour en Thaïlande formule tout compris +ou- 1500 €<br /> Fiscalité + frais annuels moyens mini résidence secondaire +ou- 3500€<br /> Le pire est que pour avoir le droit de cramer 3500€ par an il faut d'abord acheter son tonneau des Danaïdes. Combien de temps ça va encore durer ? A priori la baisse amorcée des prix résonne comme le hallali pour ce type d'immobilier qui n'est pas de première nécessité et ne peut donc pas profiter comme la résidence principale du droit de faire chanter les occupants qui ont obligation d'avoir un lieu pour dormir.
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P
Je suis locataire à Paris : pas le choix, j'y travaille. Mais j'ai acheté un baraque à la campagne. Avec puits, verger déjà formé, en parie rénové en chiadant l'isolation, dans un hameau où je rends des services aux voisins et où je vais m'inscrire à l'association des chasseurs locale, avec un poële et une cuisinière à bois qui fonctionnent.<br /> Ce n'est pas qu'une résidence secondaire pour les vacances. Quoi, BAD? Je n'ai JA-MAIS entendu ces initiales.
P
Très juste. On peut aussi se poser des questions sur mettre sa résidence principale hors de France. Pour le moment, la seule chose qui retient est une éventuelle retraite en France.<br /> <br /> Espérons que cette chute de la résidence secondaire touche un jour le département du 06 (on voit bien que presque tout est vide en hivers: immeubles non éclairés). Mais il y a beaucoup de riches étrangers qui achètent pour planquer leur fric hors des banques.
P
Humour de notaire : les prix ne peuvent que monter ;-) <br /> D'autres veulent &amp;amp;quot;Se débarrasser d’un poids&amp;amp;quot; (dixit dans l'article).<br /> <br /> Les notaires de Bretagne s’affolent : les prix, depuis 2008, ont dégringolé de 30 %. Dans les terres apparaissent même ce qu’ils nomment des « friches touristiques ». A Cauterets, ville thermale et station de sports d’hiver des Hautes-Pyrénées, L’Immobilière des Gaves tente laborieusement d’écouler 170 pied-à-terre. Une consœur du Cap d’Agde (Hérault) en dénombre 314, soit une centaine de plus que l’année précédente. Même son de tocsin en Bourgogne, dans le Perche…<br /> <br /> La résidence secondaire ferait-elle moins rêver dans le pays qui, jusque-là, en était le champion du monde ? Selon la statistique nationale, les Français détiennent un peu plus de 3 millions de maisons de vacances. Douze fois plus que leurs voisins allemands. Sans compter cabanons, caravanes et autres mobil-home installés à l’année. Mais cette passion hexagonale semble tiédir.<br /> <br /> http://www.lemonde.fr/m-perso/article/2015/02/06/grand-menage-dans-la-maison-de-campagne_4571752_4497916.html
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B
Après l'ultimatum de la BCE, voici maintenant l'ultimatum de l'Eurogroupe.<br /> <br /> Vendredi 6 février 2015 :<br /> <br /> La Bourse de New York a perdu près de 0,5% vendredi, plongeant dans le rouge en fin de séance après que Jeroen Dijsselbloem, président de l'Eurogroupe, a dit que la Grèce avait jusqu'au 16 février pour demander un prolongement de son programme d'aide, faute de quoi le pays risquait d'être privé de soutien financier. <br /> <br /> http://www.challenges.fr/finance-et-marche/20150206.REU9325/lead-1-wall-street-finit-en-legere-baisse-avec-la-grece.html<br /> <br /> En clair :<br /> <br /> Lundi 16 février, si la Grèce ne demande pas officiellement un prolongement de son programme d'aide, la Grèce n'aura plus aucun soutien financier de la zone euro.<br /> <br /> Et si la Grèce ne reçoit plus aucun soutien financier de la zone euro, elle sera obligée d'en sortir.
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