" Evidemment, Macron rompt (petit pataton) avec une tradition clientéliste qui a réussi à maintenir la stabilité politique en France depuis 40 ans. Ce que Max prend pour du courage politique (lol-mdr) est en fait une inconscience totale du milieu dans lequel il évolue à cause de son éducation de bébé-éprouvette (GPA de la paire Attali-Minc), qui le rend très vulnérable. Le papillon n'est pas encore sorti de sa chrysalide.
Macron mélange autorité et autoritarisme. Et ses choix sont visiblement dictés par des considérations qui n'essaient même pas de donner le sentiment d'être appliquer pour de bonnes raisons. Il est le caniche encore plus visible de l'Allemagne et de l'UE, ce qui avait conduit Hollande à une déroute complète. Un destin similaire se profile donc pour le toutou et son mouvement, "En Marche" vers le cimetière.
Macron n'a rien d'un fin politichien comme vous le décrivez bien. Et ses mentors, croyant leur heure arrivés, ne peuvent que multiplier les bourdes lourdes de conséquences."
Des villes centre comme Chicago, bien propre sur elles, politiquement parlant (votant pour la virago à la dernière présidentielle), connaissent une flambée des meurtres (+ 60 %), et sont quadrillés par 150 000 membres de gangs (vs 12 000 policiers). Pendant ce temps là, la population qui le peut, pratique le repli élastique (cher à Hitler sur le front de l'est, qui indique la déroute militaire). En Illinois, d'ailleurs, c'est la déroute des fonds de pensions. GM veut lever 3 milliards de $ pour payer les retraites. Les titres sont vendus... à d'autres fonds de pensions... Ponzi oblige.
Après cela, je vous conseille d'aller voir la série "the good fight", où l'on voit la démocrate Diane Lockhart, être soufflée par l'investiture de Donald Trump, voulant acheter une propriété en Provence, et prendre sa retraite. A la suite de quoi, elle découvre que le Fond d'investissement Rindell, où ses millions de $ sont investis est en réalité une chaine de Ponzi depuis 2008. Adieu, donc, retraite, mas provençal, belle vie et perspective -horrible- qu'on ne lui laisse qu'un salaire minimal pour vivre... Depuis 2008, rien, généralement, n'a été résolu. Seulement glissé sous le tapis, comme l'a fait le fond Rindell. Jusqu'à ce que la vérité éclate. J'adore, d'ailleurs le passage ou Diane Lockhart toujours polie et tirée à 4 épingles, lâche le "Fuck", quand elle apprend qu'elle est ruinée...
Le Venezuela est menacé de sanctions, et l'on incrimine dans sa ruine, le "socialisme". Ce n'est pas le cas. C'est le simple cas où une entreprise ou un pays voit s'effondrer le prix de vente de son produit... Dans ce monde qui se déglingue, un politique responsable, lui, se doterait d'un gros bâton. C'est à dire d'une police nombreuse et puissante, et d'une armée conséquente. Au moins en effectifs.
Il n'est jamais bon, dans ce contexte, de se brouiller avec les apparatchiks. Surtout d'une manière généralisée. Un bon politique en dégomme 1 ou 2, sans inquiéter les autres. Voir Vladimir Vladimirovitch. Il en colle 1 sur une mine d'uranium, et personne ne moufte. Parce que par ailleurs, il ne les menace pas, au contraire. Et eux font ce qu'il dit.
Nos apparatchiks politiciens, poussés dans leurs retranchements, risquent d'ailleurs de se rappeler qu'ils sont sensés représenter le peuple et ses intérêts (je sais, c'est complétement faux, mais ça claque toujours pour s'opposer).
Le manque de savoir faire présidentiel est ici éclatant. Il rejoint celui de François Hollande. Quand la tempête va se lever, il n'y a rien à attendre de lui. Et lui même, sera très vite, par les haines qu'il est en train de faire lever, en difficulté.