Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

LA FIN DES HARICOTS...

8 Mai 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités

Ou plutôt des hypermarchés. Ces mastodontes sont simplement, trop gros.
Et il est difficile de s'en débarrasser. Visiblement, il n'y a pas d'acheteurs. Le bâti n'a aucune valeur.

Mais aussi fin des producteurs laitiers. On aura bientôt plus besoin de vaches pour produire du lait. Même si 2/3 tient encore à ce produit, la filière ne résistera pas à la perte du tiers de sa clientèle...

L'Alberta se distingue ; les compagnies pétrolières ne paient plus rien.

Le recul de l'âge de la retraite accroit le chômage, les licenciés trop âgés ne retrouvent pas de travail, et les cadres qui choisissent de se faire virer ont de lourdes illusions sur le marché du travail après 50 ans. Il n'existe, tout simplement pas.

Visiblement, l'Allemagne entre dans la catégorie des pays qui se font porter pâle.

"Ici, nous sommes tous à nouveau, seulement avec les rôles quelque peu inversés. En 2018 et maintenant en 2019, c'est l'Allemagne qui mène à la baisse. Cela ne veut pas dire que le Sud est un pilier de la force économique; loin de là. En termes de faiblesse relative, l'économie allemande se situe actuellement au sommet."

Par contre, article totalement halluciné sur l'état économique des USA. Tout baigne nous dit on. A part 100 millions de chômeurs et 600 milliards de déficits extérieurs. La popularité de Trump est à rechercher ailleurs que dans une amélioration économique inexistante.

Un article à signaler. "Ce qui bloque votre transformation organisationnelle, ce sont vos modèles mentaux". Comme l'a dit Goebbels, à force de répéter les choses, elles deviennent des évidences, même si elles sont totalement fausses. Ce qui est le cas de tout ce qui est dit en économie et en politique.

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
S
Vous disiez pour l'Espagne 12 dollars pour 1 dollar de PIB. Les US sont à 8 pour 1. Pas vraiment mieux pour l'empire d'où l'absolue nécessité de se bastonner avec l'Iran (pétrole), le Vénézuela (pétrole), la Corée du Nord (métaux rares)... afin d'être le seul détenteur de toutes les rares réserves. La mafia au stade ultime...
Répondre
B
La pièce de Bernard-Henri Lévy a laissé perplexe ce journaliste allemand.<br /> <br /> En tournée dans les grandes métropoles du continent pour plaider la cause de l’Union européenne avant le scrutin fin mai, BHL n’échappe pas à la critique sarcastique des intellectuels d’outre-Rhin, comme dans cet article paru dans Der Spiegel :<br /> <br /> Quelque part au milieu du deuxième acte, l'acteur BHL perd soudain le fil. Il bégaie, bute sur les mots, incapable de retrouver le bon. Il bredouille, cafouille, se corrige mais il est déjà trop tard. Son élan est brisé, son discours affaibli.<br /> <br /> Un monologue ne souffre aucune erreur.<br /> <br /> Sous la lumière des projecteurs, le charme du Français s’évapore alors qu’il se jette à corps perdu dans la langue de Shakespeare - mais ne parvient qu’à produire un sabir trahissant ses origines. Il tend son ordinateur portable à une assistante, reçoit en échange un manuscrit qu’il feuillette nerveusement avant de le jeter dans un coin. Il poursuit. <br /> <br /> Mais le charme est rompu entre l’orateur et son public – la salle prétendument comble du théâtre royal Carré d’Amsterdam dont les 1 700 places ne sont manifestement pas toutes occupées. Les chuchotements se transforment en murmure. Des spectateurs commencent à se diriger vers la sortie.<br /> <br /> Mais que fait l’homme sur la scène ?<br /> <br /> Il jette des livres dans une baignoire. “Wagner et Mozart, Siegfried et don Giovanni, dans la baignoire ! Bethsabée, Charlotte Corday, Asia Argento, Madeleine, dans la baignoire ! Tout le monde dans la baignoire !”, s’écrie-t-il avant d’y plonger lui-même dans son costume noir. Cela fait partie de la mise en scène. Il reste ainsi pendant un moment, comme un Marat avant l’assassinat, puis continue : “Où en étais-je ?” Les vêtements dégoulinants, il sort de la baignoire et reprend son monologue.<br /> <br /> Les spectateurs quittent à présent la salle par petits groupes. La représentation a basculé. Sur scène, l’homme continue de tempêter. Comme un caniche mouillé.<br /> <br /> Le lendemain matin, Bernard-Henri Lévy est encore tout ébouriffé par la déconfiture de la veille. Costume frais, portable chargé et barbe grise, il affiche une mine fatiguée. “Vous avez vu ? Le cauchemar de tous les acteurs : je n’avais plus de texte !”<br /> <br /> Le téléprompteur, dissimulé dans son ordinateur portable, avait rendu l’âme.<br /> <br /> https://www.courrierinternational.com/article/culture-la-piece-de-bernard-henri-levy-laisse-perplexe-ce-journaliste-allemand
Répondre
S
Concernant Trump, certains prédisaient qu'ils s'en débarrasseraient en lui collant la-prochaine-crise-financière-qui-n'arrive-jamais sur le dos. Apparemment les plans ont changé. Réélection en vue? Face au néant Démocrate, finalement...<br /> Ou alors, c'est l'effet Beep-beep. Illusion et virtuel...Jusqu'au gros bisous contre le sol.<br /> Pour comprendre l'Amérique, ce poulet sans tête, aujourd'hui, il faut se lever tôt. Et je suis pas matinal.
Répondre