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LE POINT SUR LES TRANSPORTS...

18 Février 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #transport maritime, #transport aérien

Pas de joie...

Donc, certains à ADP se réjouissent de l'arrêt de "l'hémorragie de cash". Bon, en même temps, ADP a vu son endettement passer de de 5,392 à 7,484 milliards d’euros, et comme n'importe quel bredin mondialiste, a "investi", dans moult aéro-porcs tout autant sur le flanc...

Quand la dette augmente de 2.092 milliards, il n'y a pas de quoi pavoiser, et que l'avenir ne s'avère pas incertain, mais tracé, sur une réduction drastique du trafic, réduit à un moignon.

1.17 milliards de pertes, avec un effet pervers du premier trimestre 2020, qui masque encore pas mal l'arrêt du trafic.

Le premier "plan social" (parce qu'il ne l'est pas) est le premier d'une longue série à venir, et voit partir 11 % de ses effectifs (1150 dont 700 "non remplacés " ?).
 

Air Rance-Klm connait une perte historique de 7 milliards, et la quasi totalité des compagnies aériennes mondiales sont sous perfusions, sauf les archaïques qui ne vivaient que du fret. Là, la dette a doublé (11 milliards).

Au large de Chypre, les bétaillères flottantes sont sagement garées, engendrant là aussi, moult taxes d'accostage, sans la plaie des touristes.

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G
Coronavirus à Dunkerque : Carnaval « underground » ou non, l’hôpital débordé par l’arrivée du variant<br /> <br /> Les soignants de l’hôpital de Dunkerque s’inquiètent de la déferlante du variant anglais du Covid-19 si le « relâchement » continue.<br /> Publié le 18/02/21 à 13h33 — Mis à jour le 18/02/21 à 13h33<br /> <br /> https://www.20minutes.fr/lille/2980099-20210218-coronavirus-dunkerque-carnaval-underground-non-hopital-deborde-arrivee-variant?utm_medium=social&utm_source=twitter#xtor=RSS-149<br /> <br /> Ils ne parlent plus de « vague » mais de « marée » : face à la déferlante du variant anglais du Covid-19, les soignants de l’hôpital de Dunkerque tiennent grâce à des transferts vers d’autres hôpitaux, mais s’inquiètent d’une submersion si le « relâchement » continue.<br /> <br /> « On n’est clairement plus sur une vague, on est sur ce qu’on peut appeler une marée avec des coefficients au-delà de ce qu’on a pu connaître », résume le Dr Christophe Couturier, le responsable des urgences, dont le service a colonisé les urgences pédiatriques pour faire face à l’afflux de patients Covid.<br /> Saturation permanente des lits disponibles<br /> <br /> Sur la soixantaine de malades du Covid-19 hospitalisés dans cet hôpital, dont 10 en réanimation, plus de 60 % sont porteurs du variant anglais, une proportion qui distingue le Dunkerquois du reste du territoire national. Les médecins redoutent que la proportion n’atteigne bientôt les 100 %.<br /> <br /> S’il ne donne pas de symptômes plus graves que le Covid « classique » et se soigne de la même façon, ce variant « se transmet hyper vite : vous rencontrez quelqu’un qui est porteur du virus et le lendemain, vous êtes contagieux et positif », alerte le médecin hygiéniste de l’hôpital, Isabelle Durand-Joly.<br /> <br /> Aguerris par presque un an de pandémie, les soignants de l’hôpital de Dunkerque savent mieux comment prendre en charge les patients mais doivent gérer une saturation permanente des lits disponibles, occupés par des patients un peu plus jeunes que lors des phases précédentes.<br /> <br /> Transfert de 45 patients<br /> <br /> « On a transféré 45 patients vers des services de réanimation depuis le 1er février, ce qui représente trois mois de transferts en temps plus habituels », recense la directrice par intérim du CH, Justine Leibig, soulignant toutefois qu’à ce stade, aucune opération n’a dû être déprogrammée.<br /> <br /> Les patients transférés le sont pour l’instant vers d’autres établissements du Nord-Pas-de-Calais mais les soignants voient arriver avec appréhension le moment, « dans 15 jours au maximum » selon le Dr Durand-Joly, où ces hôpitaux vont se retrouver également saturés.<br /> <br /> Le médecin souligne que le taux d’incidence, qui atteignait en début de semaine 658 cas pour 100.000 habitants dans l’agglomération de Dunkerque, grimpe aussi dans la région de Saint-Omer.<br /> Foyers épidémiques familiaux<br /> <br /> La stratégie à adopter face à la flambée épidémique a donné lieu à une passe d’armes entre le maire de Dunkerque et la préfecture. Patrice Vergriete avait demandé la fermeture des établissements scolaires une semaine avant les vacances. Le préfet a décidé de simplement décaler les entrées et sorties dans le primaire et mettre le secondaire « en mode mixte » (sur site/à distance).<br /> <br /> Médecins et infirmiers notent, pour leur part une baisse de la vigilance dans la sphère privée, qui aboutit à la formation de beaucoup de foyers épidémiques familiaux, parents et grands-parents se retrouvant parfois hospitalisés.<br /> <br /> Une polémique est d’ailleurs née concernant un éventuel « carnaval underground » à la suite d'une interview, dans La Voix du Nord, du responsable du Samu 59, Patrick Goldstein. « Nous connaissons tous l’amour que les Dunkerquois ont pour ce carnaval et le drame que cela représente de ne pouvoir le faire. Peut-être sont-ils en train de le faire autrement ? », explique-t-il en pointant la concomitance entre la situation à Dunkerque et la période de carnaval.
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S
Chouette, direct importé des US. Notre bon gouvernement envisage le vote par anticipation et les machines à voter. C'est sûr qu'avec un petit 4% aux municipales, LAREM au milieu, a grandement besoin d'un résultat à la Biden.
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L
Prenez le vaccin, prenez prenez :<br /> https://www.francesoir.fr/videos-debriefings/vaccination-en-israel-des-chiffres-de-mortalite-qui-interpellent-video
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L
Normal comme problème si vous vaccinez des malades qui sont déjà en état de faiblesse vous augmentez les causes de morbidité. Les thérapies arn sont à l'origine réservées aux cancéreux. Maintenant on teste sur tout le monde . Avoir appelé cette thérapie comme étant un vaccin contre le covid est une embrouille qu'on n'explique pas aux cobayes qui se précipitent. <br /> Prenez prenez le vaccin on verra ce qui se passera . <br /> Je suis prêt à parier que de nouvelles maladies vont apparaître avec ces technologies.
G
Infos dernières, sur le "front du coronavirus" , pour l'effet vaccination le doute subsiste sur son efficacité ou sa nocivité .<br /> <br /> Covid-19 : tenir la “digue” sanitaire, l’aérien secoué par les turbulences <br /> publié le 18 février 2021 à 17h45. <br /> <br /> https://www.24matins.fr/topnews/une/covid-19-tenir-la-digue-sanitaire-laerien-secoue-par-les-turbulences-1274182<br /> <br /> La France espérait toujours jeudi éviter que "la digue lâche" face à l'épidémie de Covid 19, dont les conséquences économiques se sont rappelées au pays, avec des pertes abyssales pour des fleurons du secteur aérien, laminé par la crise.<br /> <br /> Avec près de 20.000 nouveaux cas confirmés par jour sur la dernière semaine, la progression des variants dans plusieurs régions et une tension toujours forte sur les hôpitaux (plus de 3.300 patients en réanimation), “la situation reste si fragile qu’un rien peut la faire basculer,” comme le soulignait encore mercredi le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.<br /> <br /> Mais le plateau se maintient, et l’exécutif s’en tient à sa stratégie: pas de reconfinement, mais pas question non plus de desserrer la vis. Le ministre de la Santé Olivier Véran ne devrait d’ailleurs faire aucune nouvelle annonce lors du traditionnel point gouvernemental du jeudi, à 18H00. Pas plus qu’il n’y en avait eu mercredi, après le conseil de défense sanitaire.<br /> <br /> La contagiosité plus grande de certains variants met toutefois à mal les régions où ils circulent, comme à Dunkerque (Nord), où le Dr Christophe Couturier, responsable des urgences à l’hôpital prévient: “On n’est clairement plus sur une vague, on est sur ce qu’on peut appeler une marée”.<br /> <br /> Et malgré une mobilisation “exemplaire” du personnel, le médecin craint tout simplement “que la digue lâche”.<br /> <br /> Les deux prochains mois vont être délicats car “on est encore en hiver et on sait que les virus respiratoires aiment cette période”, a prévenu sur France Inter l’épidémiologiste suisse Didier Pittet, président de la mission indépendante nationale sur l’évaluation de la gestion de la crise Covid-19 en France.<br /> <br /> Il s’est pourtant dit “optimiste” face aux derniers chiffres de l’épidémie en France, un “plateau stable”, même s’il est “relativement élevé”.<br /> <br /> Outre ses ravages sanitaires, l’épidémie a aussi frappé de plein fouet des pans entiers de l’économie, comme l’ont rappelé les pertes astronomiques annoncées jeudi par deux fleurons du secteur aérien, quasiment mis à l’arrêt par les nombreuses restrictions de voyages imposées depuis un an pour tenter d’éviter la circulation du virus.<br /> <br /> Plus de sept milliards d’euros pour Air France-KLM ! Des chiffres “qui donnent un peu le tournis” pour Frédéric Gagey, directeur financier du groupe franco-néerlandais, qui a perdu les deux tiers de ses clients. “Un impact sans précédent”, a résumé l’entreprise en présentant ses résultats.<br /> <br /> Un peu plus de un milliard pour l’avionneur européen Airbus, qui parvient à limiter la casse provoquée par ce que son patron Guillaume Faury qualifie de “crise la plus sévère qu’ait connue l’industrie aérospatiale”. Face aux incertitudes pour l’avenir, le groupe ne versera pas de dividende.<br /> <br /> Autre secteur sinistré, la culture. Artistes, intermittents, directeurs d’établissements et désormais élus locaux, la grogne s’étend suite aux longs mois de fermeture, sans perspective d’avenir claire.<br /> <br /> Après Perpignan, où le maire RN Louis Aliot a vu sa réouverture des musées municipaux retoquée, la justice administrative, a également suspendu jeudi celle du musée d’Issoudun, décidée par le maire (PS) André Laignel, par ailleurs vice-président de l’Association des maires de France (AMF).<br /> <br /> Sur le front de la vaccination, meilleur espoir de retrouver une vie normale, 2,4 millions de premières injections ont été administrées depuis le début de la campagne, fin décembre, et 923.000 deuxième injections.
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