Dissolution du principe de réalité...
4 Mai 2009 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie
L'ex-grippe porcine, grippe ZOZO -H1-N1 se révéle un pétard mouillé, soit un millier de cas pour une vingtaine de morts (et encore, en admettant que ce soit vrai), l'OMS persiste et signe.
Plutôt que de reconnaitre la galéjade marseillaise, on dit "des fois que..." et veut passer ou a allégrement passé à l'heure où vous lisez ces lignes, à l'état d'effroyable pandémie. Pandémie, on ne peut plus moderne, celle qui ne compte ni malades, ni victimes. On n'arrête pas le progrès.
Bien sûr qu'il y aura une pandémie de grippe effroyable. Mais quand ? 2012, 2025 ou 2050 ?
Quand une bande d'effroyable bande de branquignols aura finit de massacrer les services de santé pour revenir à ce qui existait en 1918, en pleine guerre ?
Il semble que dans leur paramétre, ils l'aient oubliée, celle-là, et oublier de prendre en compte que les hôpitaux étaient encombrés et pleins comme des oeufs de blessés ?
Que le personnel médical était débordé ?
Le risque d'épidémie est omniprésent, y compris pour l'épidémie-reine, celle de peste.
Toutes les années, ou presque, il existe des départs d'épidémies, et notamment dans un pays inattendu ; les USA.
L'OMS n'invente rien, mais ce n'est pas en lançant des alertes inutiles qu'on fera progresser les choses.
C'est en luttant contre l'ignorance, la pauvreté, la propagande. On n'a guère entendu l'OMS pour la vache folle.
Certains disent que les vétérinaires n'achetaient plus de viande de boeuf ou de veau.
Toujours est il que le "bruit de fond" que font certaines maladies, comme la peste, justement, reste TRES élevé. Mais, apparemment, le politiquement correct fait qu'on ne parle pas de certaines et que d'autres sont médiatisées à outrance.
Sans parler, bien sûr, de notre bonne vieille tuberculose, qui semble résister et repartir à la hausse.
Mais, là, nous avons un espoir : la prévalence de la maladie en Europe, recule depuis le XVIII° siècle, signe que l'espèce humaine y est, naturellement, moins sensible.
Là aussi, la faucheuse a tracé son chemin, pris des vies, et l'humanité ayant naturellement surmonté le problème, peu à peu, oublie les fléaux qui la terrorisait.
Autre chose. A l'heure actuelle, on ferme des hôpitaux. Ceux ci sont souvent anciens, mais bâtis sur un schéma lumineux : celui de pavillons séparés. On a oublié pourquoi, quand on érige de grands cubes à soigner.
Une grande catastrophe, il faut beaucoup de temps et de soins pour la préparer.
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