INSUFFISANCE ENERGETIQUE...
11 Novembre 2016 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie
Si Donald Trump est menacé, c'est plus par le plafonnement/effondrement des ressources énergétiques, que par ses ennemis. Du moins, s'il ne les écoute pas.
Ils veulent un alignement sur leurs positions. Pendant que le monde politique se recompose. Les républicains, eux, sont en partie fan à 100 %, ou hostiles... à 100 %, mais avalent des couleuvres. Et doivent se taire.
Côté démocrate, les vaches sacrées, genre Donna Brazile, sont contestées elles aussi.
Pendant ce temps, un genre de "révolution de couleur" est en cours. Rien d'étonnant, les révolutions de couleurs sont des créations de crapules, genre Soros, dont le neveu est marié à Chelsea Clinton.
Ils y a donc des partisans de Trump battus, pendant que 2 millions de personnes se torchent le cul avec le suffrage universel, aspirant à une dictature qui ne prenne même plus la peine de se cacher. Au nom,bien sûr, du bien. La dictature, la tyrannie, c'est toujours pour faire le bien. Le charnier, c'est pour la bonne cause.
Les élites se méprennent. Peut être Trump se plantera t'il. Mais c'est aussi leur politique qui se plantera. Paradoxalement, il est la dernière petite chance pour l'empire US de se maintenir un peu plus longtemps.
Si 102 millions d'USaméricains sont au chômage, (40 %), c'est dû, en partie à la crise énergétique, en partie à la politique suivie.
L'inégalité des sociétés, comme je l'avais écrit, est d'abord un choix. Les riches sont énormément consommateur d'énergies, comme Al Gore, et ses 220 000 KWh, contre 10 000 au pékin moyen.
Le riche est aussi consommateur énorme d'infrastructures spécifiques. Le riche, aime voyager et changer d'air, souvent. Alors, le riche aime l'aéroport. Le pauvre, le 102 million, l'aéroport, il n'a pas les moyens d'y aller.
Mais la consécration du monde d'avant, le monde du fossile, a toujours empêché le monde d'après d'émerger. Aujourd'hui, le renouvelable a émergé, et il est compétitif. Mais le problème, c'est qu'il est bien tard.
Tordre le cou à la banque centrale et virer Yellen, c'est dans les faits, tordre le cou au pétrole de schiste. Mais il est impossible d'arrêter le quantitative easing, comme il est impossible de le continuer : il détruit l'économie.
Sans l'oligarchie, ou une partie, ont filé le pouvoir pour faire supporter à d'autres la responsabilité de l'effondrement en cours, dont certains signes se réaniment.
La seule chose oubliée, c'est que celui qui tient le pouvoir n'est pas forcément disposé à le laisser sans se battre, et il n'est pas forcé qu'il échoue.
La nouvelle donne énergétique peut être un électrochoc salvateur. Et s'il se plante, Trump aura sans doute détruit l'édifice, et comme 65 % de la monnaie mondiale c'est le dollar, une bonne partie du reste, l'euro, simple annexe, il est clair que le complot d'une élite mondialiste n'arriverait à rien...
Sans doute, la dégradation "lente" de l'économie US, devrait arriver à un stade de "dégradation rapide", si Trump n'arrive pas à corriger le tir, et sans doute, énergie, oligarchie, et autres, n'auront pas ou plus d'importance.
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