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Le coronavirus nous indique qu'en matière de conséquences économiques et sociales, l'impact est identique.
A savoir l'effondrement du prix des matières premières, jadis, le blé, aujourd'hui, pétrole, cuivre, fer, etc...
Mais aussi la flambée de l'activité chez les survivants, pour certains produits, à savoir ici, le matériel médical où des pmi minuscules multiplient leurs effectifs par 3, sans arriver à satisfaire la demande. La grande peste noire avait aussi vu ce phénomène, avec la flambée des salaires des survivants, notamment en matière artisanale et on s'aperçut à l'époque, que la valeur de cette production dépassait sans doute celle de l'agriculture.
On va voir sous peu, aussi, certains secteurs industriels s'effondrer totalement, notamment l'aéronautique, où le coup fumant de boing boing, l'avait envoyé par le fond...Mais là, c'est plus grave, c'est l'activité même de décervelage (le sacro-saint voyage inutile) qui en prend plein les dents. Logiquement, le dernier avionneur survivant, Aircar, devrait aussi, en prendre plein les dents. Et ceux qui prévoient le doublement ou le triplement du transport par bétaillère volante, passer pour ce qu'ils sont, des idiots. En attendant, au delà des Alpes, c'est Alitalia qui doit être contente. Un concurrent éliminé. Bon, ça ne l'empêchera pas de mourir, mais cela reportera un petit peu.
Les pays pétroliers vont passer à l'échafaud, secoué déjà par les baisses précédentes, et voient arriver le krach : "le marché du pétrole regarde vers le bas le baril sans croissance de la demande pour l'année civile, et une contraction pure et simple de la demande est maintenant sur la table" .
On peut prévoir aussi certaines évolutions. Par exemple, le navire bloqué au Japon voit se multiplier les cas. La croisière, visiblement, ne rigolent plus du tout, et la promiscuité régnante, ainsi que le tringlage dans toutes les positions de tous et toutes, n'ont pas du arranger la chose. On imagine le ravage dans certains bidonvilles ou villages de toiles. Quand aux "croisiéristes", on ne va pas les plaindre. Ils se sont comportés stupidement, en oubliant ce qu'était le lot des navires, pour une partie de plaisir. Bon, on ne va pas leur rappeler que dans le pire des cas, on va les remorquer en mer, et les couler. J'ai juste là ? C'est bien comme ça que ça se passait avant ???
Juan Guaido, lui, jouit des avantages du pouvoir sans y être. Comme n'importe quel Macron venu, il est insulté et vilipendé à son arrivée à Caracas. Qu'est ce que ça serait s'il avait eu le pouvoir. Pas content ? pourtant on le traite comme un président en exercice...
lui aussi à réuni ses partisans. Je remets la photo, elle me plait trop.

Remplacez le conférencier par gaudillot, et le mec assis par ses fans... Le pire, c'est qu'on dit qu'il a encore une côte de popularité de 38 %... A mon avis, ils ont du se tromper, ça devait être 0.38 %. gaudillot devrait faire un effort, et faire comme pitre, pardon, pete (Butti-machin), devenir homo et se marier. Cela prouverait qu'il est "moderne" et "progressiste", et capable de lire le prompteur.
On a donc atteint un nouveau stade dans la détestation des gouvernants : le mec pas encore en fonction, déjà universellement haï... En plus, comme le notre, on peut constater qu'il a une tête à claque (je vais lui envoyer une invitation à diner, sans trop d'espoir, il a du en recevoir plein).
Pour en revenir au dégraissage, c'est Peugeot qui réduit la voilure, en détruisant quelques bâtiments devenus inutiles. Sochaux perd 800 000 euros de recettes fiscales... Horreur, les gouffres doivent être comblés et disparaitre. Fini la piscine et la salle de cons-sert. Comme la dite salle coûtait 1 000 000 par an, ils peuvent même dégager de l'excédent. Bien sûr en sabrant la sacro-sainte "culture". Le bébé devait être refilé à la communauté qui n'a pas l'air d'en vouloir...
Bien entendu, c'est la survie, dans le contexte de coronavirus, des grandes firmes automobiles qui est en question. Le monde peut tourner encore des décennies sur le parc déjà existant.
La grande peste vit l'abandon de bien d'infrastructures urbaines et rurales, devenues inutiles, un renforcement de la qualité, et la fortification des églises...