JOYEUSETE DU MONDE...
A la suite d'une bavure en 2015, où le racialisme n'avait pas été retenu (victime et agents noirs), les cops de Baltimore ont mis genoux à terre.
Pas pour s'excuser, mais pour se couvrir. 6 de leurs collègues avaient été arrêtés.
Moralité de l'histoire : le nombre de meurtre est passé de 211 en 2014 à 344 en 2015. Mais les 150 morts en plus chaque année, les bonnes âmes s'en foutent. Le politiquement correct est sauf.
Il faudrait rappeler aussi, qu'un type sous méthamphétamines ne s'arrête pas facilement. Il doit être criblé de balles pour qu'il y ait un effet. L'armée allemande l'a utilisé en masse pendant le second conflit mondial. Le crack doit avoir les mêmes effets.
Pour la police de Baltimore, la leçon avait été bien apprise. Il vaut mieux rester dans la voiture, et n'intervenir que quand il n'y a pas de risque. Ramasser les morts des fusillades, et mettre les camés dans les sacs poubelles.
Le taux d'homicide à Baltimore est dix fois celui des USA.
Dans un autre trou à.... endroit pas très fréquentable, Madagascar, prix des médocs de base :
- Paracétamol : 200 Ar la plaquette de 10 gélule de 500 mg (0.06 €)
- Ibuprofene : 400 Ar la plaquette de 10 gélule de 200 mg (0.11 €)
- Amoxicilline : 500 Ar la tablette de 10 gélules (0.14 €)
- Charbon actif : 500 Ar la plaquette de 10 (0.14 €)
Bizarre, là, les labos arrivent quand même à se faire du pognon ???
Péricaud appelle les français à dépenser leurs bouzoufs, acquis en ne dépensant rien (le comble de l'habileté !) pour ne pas leur donner de mauvaises habitudes, et surtout, comme d'habitude, une bonne part de cette épargne n'en est pas une. En effet, pendant deux mois, les prêts aux particuliers, de l'ordre de 25 milliards d'euros chaque mois, n'ont pas été distribués. Donc, une quarantaine de milliards, ou peut être un peu moins, sont, ni plus, ni moins, que du remboursement d'emprunts.
Trump, "Gorbatchev" américain ? Sans doute pas. En effet, le bordel qu'ont laissé s'installer les gouverneurs et maires, souvent démocrates, servira de repoussoir, comme aux bons temps de mai 1968.
D'ailleurs, il est bizarre que certains endroits n'aient pas été pillé : ceux gardés par des simples citoyens. Mais simples citoyens avé le gilet pare balle, et une puissance de feu impressionnante.
Pour le reste, cela prend des allures d'insurrection généralisée, avec des policiers abattus ou renversés, ce qui va sans doute les inciter à plus d'indulgence ??? Peu importe, d'ailleurs que les policiers soient blancs ou noirs (ils le sont souvent, parce que la police est un moyen d'ascension sociale pour eux).
Bien entendu, on a aussi dit que c'était "la faute à la Russie". Et l'on peut constater que ces émeutes touchent essentiellement ce qui était, "des ilots de prospérité dans un océan de misère", les villes, souvent démocrates. Parce que, simplement, l'économie vient de s'y effondrer, et que cela a peu à voir avec un quelconque racisme policier, un quelconque système raciste (les noirs de l'upper class s'en sortent très bien). Le problème de la police, c'est avec les pauvres, et que dans ce qui est les zones rurales, désormais républicaines, ce problème se pose beaucoup moins, la police, moins nombreuse, plus désargentée, est plus implantée dans la population et nettement moins militarisée que celle des grandes villes...
En Californie, c'est l'immobilier commercial d'une économie bulle de consommation qui s'effondre. l'état permet de renégocier les baux, ou de les résilier. Comme Charles VII rentrant dans Paris en 1437 et annulant les rentes de l'hôtel de ville, devenues fictives.
Les zones encore démocrates viennent de s'effondrer économiquement, politiquement, socialement... Ils viennent de perdre leurs illusions, et les allocations chômage ont eu un effet pervers : bien que pour beaucoup elles soient plus importantes que les pertes de salaires, les gens se sont retrouvés inoccupés, alors qu'ils n'en avaient pas l'habitude.