La crise occidentale dans sa phase terminale.
Décidément, il n'y a qu'une seule explication : ils sont trop bêtes, au dernier degré de la bêtise.Le machiavélisme ne peut même plus être évoqué.
J'ai toujours été dubitatif vis-à-vis de "l'Europe", et si j'ai mis le doigt sur le le budget européen à 1 % du PIB, c'est pour mettre le doigt sur la stupidité de ses partisans.
En effet, comment vouloir bâtir leur truc, avec des bouts de chandelle ? Ils sont trop bêtes pour pousser leur logique jusqu'au bout.
Un minimum de 6 à 7 % était vital. Il ne l'ont pas fait. Je constate, c'est tout. Ils veulent sans vouloir.
Les projets de redressement des finances publiques sont dans la même lignée, des âneries de premier ordre. Toute réduction de budget réduira le PIB et donc, les rentrées fiscales.
Mais, plus que le leadership américain en la matière, c'est le moule-à-con, dans lesquels ont été plongés les dirigeants occidentaux qui est en cause.
Ils pensent la même chose, même sans se consulter, faisant passer les dirigeants soviétiques pour des modèles d'intelligence, de compréhension et d'ouverture.
Pour EAP, "les idéologues de l’Europe ont mis le monde entier au bord du désastre ". Ils ont voulus sauver... les banques, mais cela ne règle rien.
En effet, le plan, si celui-là en est un, ne serait qu'un gigantesque traité de Versailles, où les allemands verseront des réparations pendant des décennies, pour maintenir l'échafaud branlant de l'édifice...
Comme la conjoncture internationale n'est pas au mieux, surtout en Chine, rien ne viendra sauver le monde.
Les réductions de budget, seule possibilité dans la vulgate libérale, renvoient aux années 1930 et au triomphe du nazisme par retour de balancier.
Les politiques de rigueur (pas pour tout le monde), coulent les pays, d'autant plus fort qu'elles sont fortement appliquées.
" Les Grecs souffrent depuis 18 mois : pour quels résultats ? ". En ce qui concerne la Grêce, c'est emballé, Moody's vient de dégrader la note grecque. Bravo pour Nabuchodonosor, ce plan aura donc duré encore moins que les autres.
A quoi joue républicains et démocrates ? Demande "La Tribune". C'est simple. Ils jouent au plus con, et chacun dit "c'est moi", après tout, c'est le pays des simpsons.
"6 points clés" pour les échos. Mais tous les plans prévoient un dégraissage des dépenses, et ceux qui prévoient quelques augmentations d'impôts pour les plus
riches, les prévoient fort timides.
Conclusion :
les coups de pics à glace dans le crâne risquent de devenir de plus en plus probables. Behring Breivik n'aura t'il été qu'un précurseur. La partie est finie, il faudra désormais, pour
maintenir les choses, jeter le masque de la démocratie, en créant, cette fois encore, plus d'ennemis, encore plus résolus.
Je suis enfin d'accord avec une parole du MRAP, il parle de "climat délétére", mais bien sûr se trompe de cible.
Le climat délétére, c'est la classe dirigeante qui s'en met plein les fouilles en prêchant la rigueur (aux autres et aux classes populaires), en faisant marcher l'immigration, pour laquelle ceux
qui n'ont rien sont priés de partager...
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