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Obsolescence programmée au décès programmé ???

25 Avril 2013 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie

Il y a 40 ans, existait une alternative au monde de l'obsolescence programmée, ou monde occidental, c'était le bloc soviétique.

Là-bas, s'il y avait beaucoup de déchets causés par les problèmes de production, tout était conçu pour être indéfiniment réparable, que ce soit les équipements collectifs ou individuels.

 

Cela provenait de la période 1914-1926, et il fallu 12 ans pour effacer le recul de l'investissement.

Mais, si cette organisation avait une efficacité certaine, elle avait aussi un défaut majeur. En effet, tout restait bloqué au moment de la construction et de la conception des investissements et produits.

Les Lada avaient grande réputation chez les soviétiques, qui pouvaient farfouiller à loisir dans leur voiture.
Le problème était leur consommation. ET c'était le problème général de l'économie soviétique.

 

Si en Occident le sabotage ou obsolescence programmé était la norme, le problème de l'économie soviétique était un caractère totalement dispendieux des consommations énergétiques.
Ce qui avait été crée dans les années 1930 consommait comme dans les années 30,

ce qui avait été crée dans les années 1940 consommait... etc. Vous avez compris le principe.

Mais, la mise au rencart, n'avait jamais lieu.

 

Aussi, dans les années 1990, avec la chute du communisme, eût lieu une chute des consommations énergétiques, par des dépôts de bilan, qui terrassèrent les aberrations.

 

La consommation finale de l'ex-URSS, s'est grandement rapprochée de celle de l'Europe occidentale, et seul sont restés à l'écart de tous progrès énergétiques, les USA, dont l'évolution s'est arrêtée dans les années 1950.

 

D'ailleurs, le grand emblême du retard économique, technique et de l'archaïsme, reste la bagnole américaine.

Comme on voit, il n'est pas simple de sortir de l'obsolescence programmée, cela va beaucoup plus loin. La seule mesure efficace, vraiment, serait un allongement des durées de garanties.

 

D'ailleurs, la différence entre USA et URSS devient de plus en plus ténue, et les USA arrivent même à rapprocher URSS et Allemagne Nazie.

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L
Pour tout racheter a bas prix. Et pour devoit tout reconstruitre. Il n'y a que comme cela que le systéme financier et banquaires cloture un cycle.
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I
« On va au-devant d’événements graves. D’abord sur le plan économique. Les voitures ne se vendent plus. Les appartements pas davantage. Il n’y a plus un emploi qui se crée. Ensuite, il y aura une<br /> crise sociale. Puis, on va se prendre une crise financière d’une violence rare. Et enfin, cela finira avec des troubles politiques. » Nicolas Sarkozy à Valeurs Actuelles, Mars 2013.<br /> En tout cas, la suite des festivités est parfaitement connu de certains. Pour aller vers où ?
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P
Même les "blessés" de "l'attentat" de Boston étaient FAUX... !!!<br /> <br /> Regardez !!!<br /> <br /> http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/04/false-flag-de-boston-le-double-ampute.html<br /> <br /> http://pichost.biz/viewer.php?id=arx1367065315w.jpg
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P
Boston: Un exercice des services d'urgence mené en 2012 impliquait la simulation d'une "bombe à la ligne d'arrivée"<br /> <br /> Boston: Un exercice des services d'urgence mené en 2012 impliquait la simulation d'une "bombe à la ligne d'arrivée"! Un exercice d'entraînement des services d'urgence s'est tenu en mars 2012 pour<br /> préparer un plan pour une attaque qui comprenait des bombes sur la ligne d'arrivée d'une course et sous la tribune VIP sur Boylston Street. Le directeur de l'Agence de gestion des urgences du<br /> Massachusetts, Peter Judge, a déclaré au Boston Herald que l'agence coordonne des plans d'intervention en cas de catastrophes et dirige […]
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S
Toutes ces idées ne feront qu'accélerer la décomposition de notre monde. Nous avons des marchés plus que matures. Seul remède, l'innovation. Pour trouver l'innovation qui convient, qui crée de<br /> l'industrie, de l'emploi, il faut de la recherche de tous ordres. Tous les moyens destinés à la recherche ont été confisqués au profit des rentiers depuis ... fatigué. Le reste, pardonnez ma<br /> trivialité, c'est du baratin.<br /> Conséquence: notre monde est obligé de mettre les comptes à zéro. Ce sera long et douloureux. Comme toujours.
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B
on peut aussi imaginer un système qui évolue.<br /> prenons l'exemple de la 4L (chère à Patrick).<br /> son principal défaut est la consommation (en fait la corrosion...). comme il y en avait des millions on aurait pu créer des kits pour en améliorer les performances. pourquoi pas changer le bloc<br /> moteur.<br /> ç'aurait été d'autant plus facile si cette logique avait été prévu à la conception.<br /> pour anecdote, les cubains ont viré les V8 goulus de leurs vieilles américaines et les ont remplacés par des moteurs chinois ou russes avec 4 cylindres mais beaucoup moins gourmands.<br /> pour les biens moins énergivores on doit pouvoir conserver très longtemps une imprimante. même si elle est un peu lente et qu'elle consomme 25% d'électricité en plus. Là l'optimisation dans le<br /> temps est moins cruciale.<br /> Mais dans tous les cas on peut raisonnablement envisager de fabriquer des produits qui durent et qui restent à l'optimum.
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A
Réflexions interessantes qui prend comme hypothèse que l'énergie est le point de convergence des problèmes de société.<br /> C'est bien probable et si on se réfère aux études sur les autres type de sociétés, il semble qu'il n'y ait aucun avenir ni dans le gaspillage ni dans l'inéficacité énergétique.<br /> <br /> Pour revenir sur le sujet, l'article cité en référence est un bon exemple de pur produit de propagande.<br /> L'auteur arrive en conclusion à renvoyer la responsabilité de cette obsolencence planifiée sur celui qui la subit, le fameux "consomateur".<br /> La technique habituelle est d'utiliser les silences à bon escient. On ne parle donc pas de la crise de 29, de cette réunion fin 40 entre H. Truman, le patron de Chrysler et un avocat pour mettre au<br /> point cette obsolescence planifiée (et qui sera dans les faits mise en place) qui semble le seul moyen d'éviter une nouvelle dépression et une autre guerre, ni même des efforts de conception de la<br /> part des constructeurs pour obtenir cet effet.<br /> <br /> Par tour de téléphone portable, un peu d'écologie et de l'incontournable "on n'a que ce que l'on paie" et le "consomateur" se retrouve de la place de victime à la place d'accusé déjà coupable, il<br /> n'y a pas présomption d'innocence pour lui mais pour les multinationales il est évident qu'elles ne sont responsables de rien puisque l'on vient trouver le coupable.<br /> <br /> Il n'est jamais venue à l'idée de ces personnes bien pensantes que cette obsolescence planifiée revenait à planifier l'obsolescente de la société. Si à la place d'un avocat on aurait mis un<br /> anthropologue de la trempe de Marvin Harris cela au moins aurait été dit mais il est vrai que les buts de ces deux métiers sont totalement différents, pour ne pas dire contradictoires.<br /> <br /> Alors maintenant que l'on a évité la crise économique et la guerre (si on admet qu'il n'y a pas de crise économique actuellement et si on oublie les dizaines de millions exterminés par le<br /> capitalisme), entre tout garder et tout jeter il y aurait sans doute un juste millieu à observer.<br /> <br /> Apparement ni le capitalisme ni le soit disant communisme de L'URSS ne sont à même de résoudre ces questions; il faut une alternative.<br /> <br /> http://www.counterpunch.org/2011/03/25/the-man-who-poisoned-us-all/
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G
Attila se devoile :<br /> <br /> merluchon lui propose de ne pas payer la dette, de sortir de l'euro ...<br /> <br /> ce qui me plait le plus c'est que le journaliste du parisien est pas pro-attila, enfin !<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Face à la crise, Mélenchon propose à Attali «l'inflation ou la mort»<br /> <br /> <br /> L'économiste Jacques Attali souhaitait un «débat sérieux et serein» avec Jean-Luc Mélenchon dans l'émission Des paroles et des actes sur France 2. Les échanges sont restés très policés.<br /> .. presque jusqu'à la fin. Alors que le co-président du Parti de gauche exprime la plupart du temps un point de vue hexagonal, l'ancien conseiller de François Mitterrand s'est attaché à lui<br /> demander d'élargir sa vision de la crise à l'Europe et au monde.<br /> <br /> <br /> «Nous sommes au bord du gouffre, la crise est gérée n'importe comment», a déclaré Jean-Luc Mélenchon au début de l'échange. Pour éviter la chute, la solution serait de ne pas rembourser la dette,<br /> menace-t-il, jugeant que cette solution a réussi à l'Argentine de Nestor Kirchner. Une option que Jacques Attali ne partage pas, même s'il reconnaît que les emprunts sont rarement honorés par les<br /> Etats. Pour solder ces sommes vertigineuses, Mélenchon énumère, en accord avec l'économiste, les autres solutions dont la guerre, la croissance et l'inflation !<br /> <br /> «Vous préférez l'inflation ou la mort ? Je préfère l'inflation», questionne et répond l'ancien candidat à la présidentielle. Et d'expliquer que l'inflation est bonne pour les moins de 40 ans mais<br /> pas pour des couches de population plus âgées : l'Allemagne est explicitement visée, d'autant qu'elle la redoute depuis la crise des années 1930.<br /> <br /> <br /> Mélenchon, «l'homme qui prépare la Corée du Nord» selon Attali<br /> <br /> Le ton est monté à la fin du temps imparti aux deux hommes. La discussion est revenue sur le non paiement de la dette préconisé par Jean-Luc Mélenchon. «Si vous faites cela, vous condamnez la<br /> France à sortir de l'euro», lui a répliqué Jacques Attali, estimant que la politique prônée par le Parti de gauche n'était «pas possible à appliquer à l'échelle française». Sinon ce serait «la<br /> Corée du Nord».<br /> <br /> «Ça ne vous choque pas», réplique aussitôt Mélenchon en interpellant David Pujadas, le présentateur de l'émission. «C'est pas violent. C'est correct. C'est courtois» insiste-t-il, trop content de<br /> montrer que, pour cette fois, ce n'est pas lui qui pratique l'anathème.<br /> <br /> Instaurer un rapport de force avec l'Allemagne<br /> Pour Mélenchon, en Europe, il faut instaurer un rapport de force avec l'Allemagne «des conservateurs de la CDU/CSU» (le parti d'Angela Merkel) . Il évoque une hypothétique création d'une zone mark.<br /> «L'Europe du Sud est poussée dehors. Et la France refuse de jouer son rôle de locomotive», argumente Mélenchon ajoutant que Paris a un avantage : ses liens avec la zone méditerranéenne. Et Attali<br /> d'ajouter avec toute la «francophonie».
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