LA CHRONIQUE DE L'EFFONDREMENT XIII : LA VITESSE DUDIT EFFONDREMENT
"La première et la plus illustre victime de la peur du virus a été le tourisme de masse international. L'effondrement sera probablement irréversible: lisez toute description de ce qui est aujourd'hui pour visiter Disneyland en portant des masques et en gardant des distances et vous comprendrez pourquoi. Le tourisme de masse était de toute façon insoutenable, mais la vitesse de sa chute a été incroyable."
"De plus, l'effondrement des compagnies aériennes civiles est bien avancé et celui d'une grande partie de l'industrie qui produit des voitures privées. C'étaient toutes des infrastructures très coûteuses qui consommaient beaucoup de ressources pour peu de chose. Leurs effondrements entraînent avec eux l'industrie des combustibles fossiles, mais ce n'est pas un problème pour l'armée. La production restante peut maintenant être réorientée vers des utilisations militaires."
Quand aux détournements de ressources faites pour les armées de l'empire, le problème se pose bien, mais il se pose depuis longtemps, depuis 1965-1966 et les "politiques d'économies", qui consistaient à sabrer les dépenses d'investissements civiles au profit des militaires, avec des exemples criants, la nouvelle Orléans, le barrage d'Oroville, le pont Morandi, le covid qui détruit le système de santé, déjà exsangue, avec le contre exemple cubain.
On peut citer aussi, le sport professionnel, qui visiblement, lui aussi, est atteint par un collapsus cardiaque. J'ai bien la solution à leur proposer ; réduire de 90 % les salaires des sportifs de haut niveau...
Et oui, un système de santé n'est pas fait pour pratiquer des opérations chères, mais le plus simple possible. il doit d'abord être fait pour prévenir les maladies, assurer un suivi, et éventuellement opérer.
La force, en elle même, n'est "qu'une apparence de force", disait de Gaulle, qui avait bien senti ses limites. Quand les gamelles sont vides ou se vident, c'est une solide base de révolte. Elles peuvent être éteinte, avant qu'une autre arrive.
"Le modèle occidental, basé sur le capitalisme et la démocratie, ne parvient plus ni à défendre l’intérêt général, ni à garantir la souveraineté populaire".
La démocratie n'existe que formaliste, mais il n'y a aucun changement de politique possible, et tous ceux qui pourraient, éventuellement, la porter sont qualifiés de "racistes", "fascistes", et "nazis".
"Au contraire, les lourdes bêtises du progressisme et du simulacre du Progrès continuèrent à mener la danse, au rythme des certitudes et des arrogances diverses, y compris les préjugés de classe dont la bourgeoisie su bien mieux et bien plus cruellement user que toutes les aristocraties du monde, puisqu’au départ sans aucun droit, puisque sans aucun devoir accompli en faveur des plus déshérités".
L'analogie avec le Titanic est criante : "Au contraire, si les officiers avaient courageusement accepté l’inévitabilité du naufrage du navire dès le début et conçu un plan pour minimiser les pertes de vie ?"
"Plutôt que de promouvoir l’absurde simulacre selon lequel le navire allait bien, très bien merci alors que le temps de la catastrophe était compté, les autorités auraient pu rassembler femmes et enfants à bord des canots de sauvetage".
"Nos dirigeants, tels qu’ils sont, consacrent des ressources à maintenir l'absurde prétexte que tout sera magiquement ramené à la situation de septembre 2019 si nous imprimons juste assez d'argent et renflouons l’aristocratie financière".
On est dans la même optique aujourd'hui. Certains étaient déjà perdus, les personnes ayant des problèmes de santé sous jacent, soit disant tués par le covid 19. Mais l'obésité généralisée aux USA, par exemple, est sans doute la vraie raison de la mortalité, et les 2.6 maladies graves par morts ailleurs aussi. Aux USA, l'obésité monstrueuse, généralisée chez les noirs (à 50 % de la population, on peut considéré que c'est généralisé) est la vraie raison de la surmortalité.
Le régime médiatique devient hystérique contre tous ceux qui contestent le système.
Mais même le système lui même évolue. Par ses plus illustres membres ; "Elisabeth Badinter : « Cela ne peut plus se régler dans le pacifisme »". Il faut bien en sacrifier quelques uns. Après avoir porté le mythique migrant et "Zimmigré" aux nues, aboli la peine de mort, on risque d'avoir un retournement express de la classe dirigeante, pour qui le pouvoir vaut bien des sacrifiés, pourvu que ce ne soit pas eux.
Abolition de la peine de mort et féminisme, n'étaient que des marques de la société d'abondance pétrolière.
Quand on atteint ou frôle un certain stade, celui de la famine, et pas dans les trou du cul du monde, on enverra bouler bi, gay, lesbiennes et surtout transgenres, qui ont besoin d'un traitement médical à vie. Et quand on ne peut plus se le payer, on meurt.
La géopolitique nous apprend aussi que l'opposition heartland /rimland existe aussi aux USA entre les villes côtières favorisées par le libéralisme économique, et l'intérieur, vidé de sa substance. A ces villes côtières on peut rajouter les noeuds de communications, de toutes sortes, mais surtout aérien, Atlanta, né au XIX° siècle comme "Terminus", des voies de chemin de fer, aujourd'hui hub aéroportuaire, et Colorado spring.
L'opposition heartland /rimland existe aussi en France, avec Paris/province.