SUPERPUISSANCE...
22 Mars 2020 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #pandémie
Les superpuissances actuelles ne sont plus en occident.
La superpuissance militaire, c'est La Russie.
La superpuissance industrielle, c'est la Chine.
La superpuissance médicale-industrielle, c'est Cuba.
La Chine, Cuba, répondent à l'appelle à l'aide de l'Italie, mais pas Bruxelles. Que pourrait Bruxelles, d'ailleurs ?
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/72947-covid-19-italie-demande-aide-chine-cuba-venezuela-pas-ue
"La solidarité européenne n'existe pas, c'était un conte de fée"... On ne pouvait dire mieux. D'autres pays ont plus aidé l'Italie que l'UE, l'Inde, l'Egypte, la Russie.
Fidel Castro doit bien rire dans sa tombe...
Un mythe vient de tomber, et il faut se rappeler qu'il y a à peine un mois, on se battait contre le racisme anti-chinois en Italie. Il ne fallait pas les stigmatiser. Il fallait les embrasser et leur quitter le masque...
La débandade européenne est emblématique et caricaturale. Jamais le masque n'a été jeté si rapidement. Démerdez vous tous seuls...
Complément : La Russie, quand à elle, a fermé ses frontières, et les mentalités russes, c'est de stocker, à mort, tout ce qui est stratégique. Et comme, littéralement, tout est classé comme stratégique, en fait, les stocks sont immenses. Vieux réflexes dans une société où l'immensité géographique, et une contrainte énergétique lourde, fait que l'on doit être autonome et autarcique le plus longtemps possible.
En ce qui concerne les pandémies, le coronavirus, lui, n'est pas le premier qui frappe à la porte du globalistan, ou empire américain.
A t'on oublié le sida, et ses 40 millions de morts, et qui tue encore un peu moins d'un million de personnes par an ? On peut parler aussi du SRAS, de la rougeole, de la tuberculose, toutes 2 en résurgences, Ebola, dengue, virus du Nil occidental, zika, sans compter, les épizooties.
Toutes ces épidémies, liées aux déplacements, cher à Macron, coûtent "un pognon de dingue", et font peser un stress tout aussi constant sur les systèmes de santé.
Seule, la variole a pu être vaincu, sans doute provisoirement.
Quand aux navires de croisières, ils répondent au doux nom de "boites de pétri flottantes", pour les biologistes. Cela s'apparente entre plonger dans une mine de charbon, pour l'environnement, et y subir un niveau de pollution égal à 10 années de travail, et entrer volontairement dans un laboratoire P4. D'ailleurs, pour ceux qui parlent de leur croisière, souvent, ils disent que c'était bien "s'ils n'avaient pas été malades"...
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