FMI : Le crétin magnifique...
31 Juillet 2009 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie

Fort de ses nouvelles ressources, il prête à tout va, fait l'impasse sur les intérêts, se montre compréhensif, et attendant de redevenir un parfait trou-du-cul celle-ci finie.
" Les mesures de relance doivent certes être maintenues jusqu'à la reprise mais il faudra ensuite être prêt à prendre des mesures pour maîtriser la dette. "
D'abord on pourrait commencer par dissoudre le FMI, donner les verges à tout ceux capables de dire des âneries pareilles et prévoir une longue période de rééducation par le travail, où on leur ferait faire des choses utiles : casser des cailloux à coup de masses, par exemple.
Le problème reste entier : la reprise par les états de leur droits régaliens, c'est à dire de frapper monnaie.
à 85 % du PIB et à 4 % d'intérêts, cela représente, mécaniquement une dérive de 3.6 %.
Il n'y a pas lieu de payer une telle "récompense" à des cafards nuisibles, les banquiers.
Bien entendu, on se demande à quoi aussi peuvent servir une "aide" à la Géorgie, sinon à prendre une autre déculottée militaire expresse face à la Russie, mais dans ce cas là, on n'a rien à refuser au complexe militaro-industriel US.
Je ne savais pas que le financement du sado-masochisme faisait partie des attributions du FMI.
Un FMI, d'ailleurs qui chante la pluie et le beau temps. Pour lui, en Europe, un coup c'est la récession, un coup la reprise.
En réalité, tout est emballé, déjà.
La reprise qu'ils attendent impatiement pour recommencer "comme avant", c'est l'arlésienne.
"Tout vient des réductions de coûts sur une base de chiffre d'affaires affaiblie. Mais les réductions de coûts ne font qu'alimenter les pertes dans l'économie car si vous réduisez les coûts, vous ne faites qu'amputer les revenus de quelqu'un d'autre."
et
"Les grandes entreprises sont dans l'ensemble parvenues à dégager des profits mais au prix de nouveaux programmes de réduction de coûts, de suppressions d'emplois et de fermetures de sites. "
Toute réduction de budgets, ferait de même. Accroitre, en final, la crise.
Il n'y a pas 36 solutions, mais une seule : reprendre pour les états, leur fonction, y compris régalienne de frapper monnaie, cela évitera des dérives monétaires monstrueuses, comme nous la connaissons depuis le début des années 1970. La monnaie, confiée aux banquiers, a perdue 90 % de sa valeur. C'est une chose trop sérieuse pour leur être confiée.
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