VIOLENCES...
8 Janvier 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #politique
Ils sont marrant les commissaires. Ils se plaignent de la cagnotte du boxeur.
110 000 euros.
Mais il faut choisir son rôle. Soit celui de "Boxeur-des-bois", soit celui du Shérif, ou plutôt, du nervi protecteur du régime. Parce que la police nationale, et la gendarmerie, cela a cessé d'exister. Le shérif peut avoir une bonne image, le sicaire et le nervi, jamais.
Perdre 10 ans d'espérance de vie parce qu'on se retrouve au chômage, ça c'est de la violence. Mais jamais sanctionnée. Au civil seulement, et pour un montant ridicule.
Pour ce qui est de la violence des bleus, un petit exemple.
Qu'ils ne se plaignent pas, ils n'ont encore rien vu. Et il se sentiront terriblement seuls. je me rappelle une anecdote de 1944. je n'y étais pas, mais les deux protagonistes me l'ont raconté. Ils étaient cousins, et l'un, FFI, est allé voir l'autre, inspecteur de police. Il lui a dit que c'était le moment de choisir. Avec ou contre nous ?
Les branquignols de commissaires se trouvent devant l'alternative. Si l'inspecteur, visiblement, à fait le bon choix, à l'époque, visiblement, les commissaires sont beaucoup limités intellectuellement parlant pour saisir les alternatives.
Faut il leur rappeler que quelques uns, à l'époque, ont été lynchés, et au sens premier du terme. Il se pose à eux, la question terrible.
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