RESUMONS...
22 Février 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Chronique de l'effondrement, #Energie, #Politique
"En tout cas ! si ont lis se se blog on sait depuis longtemps que de toute façon il n'y a rien d'éternel et le pétrole en fait parti. Maintenant on a 2 solutions ; soit on laisse nos élites décider pour nous soit ont trouve un moyen personnel ou en groupe pour tenter de se préparer au pire.
Certes c'est pas pour demain. C'est juste simplement inévitable. Donc on a même pas le choix.
Si vous comptez sur l'irresponsabilité de nos élu depuis 50 ans, on va bien que la notion de croissance en est le point centrale. L'intérêt d'imprimer beaucoup d'argent pour eux même et leur copains a surement pris le dessus. On prend le pognon après on verra.
Que pouvons nous donc attendre de politiques qui objectent l'inéluctable. C'est un peut comme cette grippe "putain de virus" inéluctable en hiver et qui voie fleurir les interdiction de certains médicament.
Je pense que compter sur eux pour trouver des bonnes solutions c'est pas gagné.
C'est soit le nomadisme soit le kibboutz. Çà fait 2 solutions." Avec le chef de groupe, psychopathe assuré, mais capable de mettre en sécurité le groupe sans états d'âme.
"“Bref, le grand effondrement, c'est pour cette décennie.”
Je le pense aussi. Surtout depuis que j'ai vu, il y a déjà longtemps, que le Club de Rome prévoyait déjà en 1972 une baisse de la population mondiale à partir de 2030. Non pas à cause de la dénatalité (qui n'était pas prévue) mais du manque de nourriture. C'est-à-dire de famines d'abord localisées, et puis s'étendant sur des territoires de plus en plus grands.
Sans doute ce qui est en train de se dérouler avec les criquets en Afrique.
Ce que le Club de Rome prévoyait entre 1972 et 2021 s'est produit, en gros. Cela fait quand même presque cinquante ans. J'ai tendance à penser qu'il pourraient aussi avoir raison pour les neuf ans restant à courir d'ici 2030...
On a déjà vu bien des choses depuis un an. Ceux qui disaient "On ne peut pas fermer les frontières, because les grands principes républicains, les valeurs de l'UE, la démocratie, les droits de l'homme, etc” nous ont confiné chez nous (ce qui ne sert à rien, voir le contre-exemple suédois), ont imposé le port du masque en sachant qu'il ne sert à rien (sauf à la rigueur, dans un lieu confiné) et le couvre-feu, qui est absolument inutile d'un point de vue sanitaire. Ceci étant, j'habite en Seine Saint-Denis, le couvre-feu rend le quartier un peu plus calme la nuit, du moins pour l'instant. C'est toujours ça.
D'après Jancovici (je cite de mémoire) la planète a passé le pic tous pétroles en octobre 2018. Miracle (?) début 2020 nous avons le Covid, qui permet de mettre l'économie mondiale en veilleuse, et donc de faire baisser la consommation d'hydrocarbures. En même temps, des mesures peu utiles, voire nocives d'un point de vue sanitaire (par exemple le confinement, un désastre pour la santé mentale des gens) habituent la population à obéir aux ordres, façon 1984 d'Orwell.
Le Grand Effondrement, le “vrai”, je pense que ce sera quand la population mondiale commencera à baisser. En Afrique, où ils font encore beaucoup d'enfants, cela se fera dans le chaos, avec le trio augmentation de la mortalité (famines, épidémies, guerres), baisse de la natalité (quelle que soit la façon dont cela se fera) et émigration (qui sera de moins en moins facile).
L'émigration sans pétrole, c'est une marche de la mort.
Imaginons par exemple que nos capacités d'importation de pétrole et de gaz tombent à zéro ou presque zéro (ce qui arrivera inéluctablement avant la fin du siècle). Le rendement à l'hectare de notre agriculture tombera à un 5e ou un 6e de ce qu'il est actuellement, et encore faudra-t-il soustraire de la production destinée aux humains de quoi nourrir les chevaux. Sachant qu'un cheval consomme 4 fois plus de nourriture qu'un humain. Sans chevaux, il faut produire peu de céréales et faire pousser des pommes de terre à la place.
Comme dirait M'sieur Reymond, il faudra revenir à 1750. La population de la France, à l'époque, était d'environ 23 millions d'habitants, un peu moins du tiers de ce qu'elle est actuellement. La chute, en deux ou trois générations, sera vertigineuse et donc violente. Quand elle sera terminée, il ne restera plus grand-chose de la technologie moderne, parce que l'enseignement public au-delà du niveau école primaire ou, au mieux, petit collège d'enseignement technique, aura disparu."
La population de 1750 était habituée à peu et savait survivre. Celle d'aujourd'hui a des exigences et des doléances et aucun savoir faire. Il va y avoir du sang sur les murs. En 1750, l'alphabétisation se faisait dans les champs. Les petits paysans lisaient et apprenaient à lire les livres à 3 sous de la bibliothèque bleue.
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