Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

BON BILAN

4 Mai 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Chronique de l'effondrement, #Politique

Parmi les vacheries que disent les amis, ceux de votre camp, il y en a de remarquables. « Quand on a été un bon président de région, on n’a pas besoin de s’allier avec LREM ! ».(Dixit Fabien di Filippo député LR de Moselle).

Surtout avec un parti qui visiblement n'existe pas et atteint des scores minables.

On verra donc, s'appliquer une règle que Renaud Muselier n'a pas compris : 1 + 1 = -de 1. Le "front républicain" existe t'il encore ? De moins en moins, et le moment où des alliances ont des effets contre productifs est arrivé ou n'est pas loin, malgré tous les larbins.

Mais le propos est encore plus ravageur qu'il n'est dit. LR n'est plus qu'un parti localiste, assis sur des bilans, bons ou mauvais. Il n'a, simplement, plus de jus.

Muselier, représente une mouvance dont le seul but est de garder les places, au prix de n'importe quelle compromission.
Il a plus plombé sa candidature qu'il ne l'a conforté. Il n'est pas propriétaire de ses électeurs.

Syndrome aussi d'une classe incapable de penser, qui ne voit pas ce qui va arriver.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
M
Le procédé rappelle un peu celui des "combinazione" qui régissent la politique italienne. On a eu d'ailleurs les exemples de la Lega qui est obligée de négocier pour se maintenir vu qu'ils se font siphonner par la droite par Fratelli d'Italia.<br /> <br /> Au moins côté trahisons, retournement de veste et alliance improbables; ça ne manque jamais de sel.
Répondre
H
L'element qui va precipiter les choses est la vaccination cov id. La mortalite intrinseque de cette techno qui vous transforme en usine a prions (maladie de la vache folle) va completement mettre le chaos dans le pays. Fin 2022 est un bon repere.
Répondre
H
@ Fernand Naudin<br /> <br /> L'agglomération parisienne, c'est en gros un cercle bétonné d'une quarantaine de km de diamètre, qui ne produit ni sa nourriture, ni son énergie, et qui doit importer son eau, la nappe phréatique étant soit asséchée soit gravement polluée. Lorsqu'il faudra traverser une quinzaine ou une vingtaine de km de territoire incultivable et inhabitable (puisque sans eau et sans électricité) pour atteindre le cœur historique de Paris, à mon humble avis le cœur historique sera abandonné lui aussi.<br /> <br /> Jusque dans les années 20 ou 30, il y avait des fermes laitières à Paris, parce qu'on ne savait pas conserver le lait pendant le transport. Sans électricité, il faudra à nouveau avoir des fermes laitières. Mais parmi les ruines de béton, on ne pourra pas en avoir.<br /> <br /> Le destin de l'agglomération parisienne, c'est Detroit dans un premier temps, et ensuite Angkor ou les cités Mayas.
Répondre
R
@ serge<br /> 10 millions de gaulois qui tiendront les campagnes et 20 millions de .... qui serviront de nourriture pour les sangliers si ils s'aventurent en dehors de leur banlieue.<br /> Dépêchez de quitter les banlieues avant qu'ils soit trop tard.<br /> <br /> Pour le prochain confinement il n'y aura pas de préavis si c'est à cause de Ebola ou du typhus ou d'une autre saloperie. Vous serez prisonniers là ou vous serez et soumis au tir à tuer et au lance flamme si vous sorter de chez vous.<br /> Toute cette coronaconnerie n'est qu'une fumisterie destinée à préparer le terrain pour pire !!!
F
@ Serge<br /> Votre calcul en vaut un autre. Il y’a trop de variables en entrée donc trop de sorties possibles.<br /> Ce pendant on peut dire que vu la pyramide des âges, les plus de 50 ans aujourd’hui sont très très majoritairement décédés en 2034.<br /> Les jeunes générations actuelles sont aussi très allogènes.<br /> Mais il faut imaginer que se déplacer va être difficile. En outre le territoire au sens du gang ou de la tribu va devenir un élément constitutif de la géographie.<br /> Donc une leopardisation du territoire.<br /> Finalement il y a quatre groupes humains, les racailles, les bobos, les campagnards et la nomemklatura sur trois territoires les centres hyper urbains avec ses problèmes de soutenabilite prisons à ciel ouvert’ les campagnes et les banlieues avec des problèmes à mi chemin entre les deux précédents.<br /> Ce sont des typologies, chaque cas particulier est un mélange.<br /> Pleins d’interactions sont possibles, razzias, coopération, esclavage etc..<br /> Donc un joyeux bordé imprévisible à une trop grande échelle.<br /> Il faut alors définir une échelle plus petite, la sienne pour tenter d’avoir un coup d’avance.<br /> Enfin pleins d’acteurs ont des intérêts à augmenter le bordel.<br /> On a tous un plan, avant de prendre un coup de poing dans la gueule Tyson
S
@Fernand Naudin<br /> Vu que l'on a un bon 20% d'immigrés, on n'est déjà à peine plus de 40 millions, un peu ce qu'il y avait en début de WW2. Vu la baisse de natalité et l'augmentation de la population âgée, légèrement aidée à calancher, on va se rapprocher de 30 millions. Et vu l'état de l'économie, les suicides et les pertes par opioïdes (comme aux states), les départs massifs à l'étranger, on pousse vers les 20 millions, comme vous le pensez. Mais comme cela va être la baston, une perte sèche des souchiens mais une conservation des migrants puisque parait-il français. Donc,vaguement un 30 millions, 10 de blancs qui fument des clopes et roulent au diesel et 20 de CPF. Voilà mon calcul.
F
les démocraties vont disparaitre par nécessité, car il va falloir imposer des restrictions par la force, et le FdO sont très bien entrainées depuis de longue années. il faudra réduire la population, et donc stériliser de force (ou par vaccin ...) les pauvres. Ces pauvres devront être utilisés comme boeufs pour débétonner les régions arables. imaginez des chantiers ressemblant à ceux des pyramides d'égypte avec la mortalité qui va avec. le temps du village gaulois va revenir à toute vitesse. pour gagner un peu de temps il y aura le jihad contre les russes par les millions de muz importés pour cet objectif entre autres. les maigres ressources restantes seront réservées aux riches et aux guerriers dans des chateaux forts. L'armée et les FdO obéiront et tireront dans le tas pour rester parmi les biens nourris.
F
Nous sommes d'accord.<br /> Un petit jeu spéculatif et hypothétique, admettons que la France vive un effondrement tel l'URSS dans les année 90, la population en 2030 c'est 40 millions d'habitants.<br /> Malheureusement pour après nous n'avons pas les ressources de l'actuelle Russie pour redémarrer. Donc 2040, 20 millions ? <br /> Faites vos jeux, rien ne va plus.
R
Bon aussi à un moment il va falloit accepter quele rapport Meadows avait vu juste sur quasi tput ce qui arrive.<br /> L'ère 2020 2030 est appelée "fin des systèmes démocratiques"<br /> <br /> Alors que des politocards et aux industrieux qui ne veulent pas comprendre le monde dans lequel ils vivent c est la base. En attendant ils s en mettent plein les poches et les veaux font des manifs qui consistent à defiler/lancer des pierres sur rien et parfoid un flic/bruler des mechantes poubelles capitalistes.<br /> <br /> La société globalisée est dégueulasse mais on la mérite.
Répondre
F
"L'"ère du pétrole" a commencé le 27 août 1859, à Titusville, en Pennsylvanie, avec le forage du premier puits de pétrole au monde. Mais Eli Whitney a inventé son égreneuse à coton en 1793. Le premier bateau à vapeur de Robert Fulton, le Clermont, a été construit en 1807. La révolte "luddite" en Angleterre, un soulèvement contre la mécanisation des usines de tissage, a duré de 1811 à 1816. Bien que le pétrole ne soit pas encore la "chose", l'industrialisation est déjà en marche. Il y aura d'importantes restrictions - dues à la rareté des ressources - pendant longtemps encore, mais un retour à l'industrialisation pré-pétrole à grande échelle est voué à l’échec. Une partie de celle-ci restera sans doute, réduite, mais pour l'essentiel, je prévois un retour généralisé à l'économie domestique et villageoise.<br /> <br /> Cela se traduira également par un dépeuplement rapide des zones urbaines, quoique qu’avec quelques facteurs et tendances atténuantes. Aujourd'hui, la population de la ville de New York est de 8,4 millions d'habitants (chiffre de 2019). En 1860, juste après le forage du puits de Titusville, la population de New York n'était que de 813 669 habitants. C'est ce que la ville pouvait supporter, compte tenu de la disponibilité des denrées alimentaires produites dans les régions environnantes et des moyens de transport existant avant l'arrivée du pétrole (Chicago était la deuxième plus grande ville du pays à l'époque, avec une population de 565 529 habitants). Avec l'impact croissant de la pénurie de pétrole sur la disponibilité de la nourriture en raison des contraintes liées à la culture et au transport, je m'attends à ce que la population tombe nettement en dessous de ce chiffre de 800 000 habitants d'ici 20 ans. <br /> Cela ne sera pas immédiatement évident, mais cela se produira. Deux raisons.<br /> La première, les subventions du gouvernement et des entreprises. En effet, l'argent sera dépensé pour s'assurer que la nourriture et les ressources arrivent toujours dans les grands centres urbains, ne serait-ce que pour éviter que les populations ne perdent la boule. Alors que les pannes d'électricité continueront à augmenter en fréquence et en durée, elles seront officiellement expliquées comme étant dues à d'autres causes, tandis que l'augmentation du coût de la nourriture et du carburant sera soit expliquée, soit cachée par lesdites subventions. À un moment donné, cependant, certaines personnes - surtout les plus riches - décideront qu'elles en ont assez de supporter cette merde et commenceront à chercher des échappatoires (les lecteurs avisés remarqueront que c'est déjà le cas...). <br /> La deuxième raison pour laquelle elle restera indétectable pendant un certain temps sera que beaucoup de gens - surtout les plus pauvres - ne prendront pas la peine de fuir, parce que (a) où est-ce qu'ils vont aller, et (b) qu'est-ce qu'ils vont faire quand ils y seront ?<br /> En fait, je considère que la tendance actuelle à "dégraisser la police" est autant une question d'effondrement qu'une question de justice sociale. Le désengagement de la police n'est pas vraiment une question de désengagement de la police. Il s'agit de réduire la présence de la police dans les quartiers pauvres ... Alors que les quartiers plus huppés seront en mesure d'exiger une protection policière pendant plus longtemps, en raison de leur contribution à l’impôt, et pourront également se permettre une sécurité privée, les quartiers plus pauvres reviendront rapidement à la "loi du plus fort", avec les gangs locaux…fournissant des services de "gouvernement fantôme", tout droit sortis de la théorie de la guerre non conventionnelle. <br /> Cependant, la population des deux endroits finira par diminuer, en grande partie à cause du manque de ressources disponibles. Cela se traduira par des pertes dues à la chaleur en été et au froid en hiver, dans des logements urbains sans contrôle climatique moderne, par des épidémies de maladies (et il n'est pas exagéré de penser qu'elles pourraient être introduites intentionnellement pour réduire le nombre d'habitants...) et par la violence interpersonnelle.<br /> Pourquoi plus bas que 1860 ? Parce qu'en 1860, une grande partie de la zone entourant la ville de New York était un terrain agricole, largement consacré à l'alimentation de la population urbaine. Aujourd'hui ? C'est une urbanisation bitumée sur des milliers de kilomètres carrés autour de la ville elle-même."<br /> <br /> Mutatis mutandis, cela s’applique en France.
Répondre