Vaincre la faim...
18 Juillet 2009 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie

Enfin, c'est ce qui est officiellement dit. La réalité, c'est beaucoup plus.
100 millions de plus en une année, c'est le politiquement correct.
Si l'on compte les gens qui ont du liquider leur épargne financière l'année dernière, les personnes qui souffrent "un peu" de la faim, les personnes sans excédents aucuns, ni financier, ni de réserve alimentaire, on arrive à rajouter 3 milliards de personnes supplémentaires.
Le un milliard, c'est la sous alimentation sévère.
Le remède ? :
"Champs à explorer pour la recherche et les techniques de développement durable: Améliorer les techniques culturales biologiques et à faible impact externe
Travailler à l’obtention de variétés mieux adaptées à la température et aux nuisibles
Récompenser, financièrement ou non, les actions en faveur de l’environnement
Remplacer les intrants chimiques par des produits biologiques
Réduire la dépendance de l’agriculture à l’égard des combustibles fossiles. "
On voit donc, que pour permettre à la population de vivre, il faut retirer du champ du marché :
- la question alimentaire,
- la question logement.
Ces deux points soulagés, les problèmes seraient beaucoup moins importants.
Ce n'est pas la voie qui a été prise, parce que c'était des "besoins incompressibles", qu'on pouvait toujours se faire du blé sur le dos de toute la population.
Bien entendu, le jardin familial et le logement social quelle incongruité pour les thurifaires de l'économie de marché et de la propriété privée.
Bien entendu aussi, ceux qui nient les bienfaits à tout crin de l'économie de marché et de la propriété privée, sont des "idéologues".
Bien entendu, que le/les bénéficiaires de ces lignes soit des bénéficiaires du statut de la fonction publique (d'origine communiste), n'entre pas en ligne de compte, pourvu que la rente assurée par ce système permette de boursicoter (ça c'est moderne, coco).
Bien entendu, le tout marché amène à des points d'arrivées simples : aux émeutes de la faim (les "guerres des farines"), où les "forces de l'ordre" sont le fléau de la balance.
Bien entendu, ce qui n'est pas prévu par certains (les bénéficiaires du statut de la fonction publique), c'est que dans le "tout marché", il n'y a plus de fonctionnaires, mais des cipayes de la compagnie des indes.
Dommage que les cipayes finissent aussi, par retourner leurs armes, que cela finisse par une étatisation totale, la liquidation des compagnies des indes.
Et ça, ce n'est pas une cause, c'est une conséquence...
C'est bizarre, d'ailleurs, comme les cipayes, ça porte la poisse. C'est pas Lally - Tollendal qui me contredira.
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