CONFIRMATION
De bien des choses, d'abord de la crise énergétique. Le caca de mammouth appelé GIEC, tire la sonnette d'alarme du réchauffement climatique, encore une fois, en nous disant "il faut faire des efforts", et faire passer ce qui sera SUBI, pour quelque chose de VOULU.
Groupe de fonctionnaires, le GIEC fonctionnarise et paie de soi-disant climatologues, pour chanter une chanson, comme il les paie grassement et que sans ça, ces climatologues seraient des trous-du-cul, ils chantent le réchauffement. Si on paie encore plus, ils chanteront encore plus fort. Et encore un peu plus, ils s'égosilleront.
On peut noter aussi que malgré 33 ans de chansons, la marche économique vers la conso d'énergie n'a absolument pas été entamée... Sauf quand la dite disponibilité d'énergie baisse...
Groupe de coquins, copains avec Al Gore, et "sa vérité qui dérange", ce qui dérange les USaméricains locaux chez Al Gore, c'est sa conso perso d'électricité (220 000 KWh contre 10 000 contre monsieur américain moyen), qu'il utilise fréquemment son avion personnel, et qu'il magouille et spécule avec les "droits carbone".
Pour certains, la marge d'erreur du GIEC varie de 60 à 400 %...
Donc on pourrait attendre de "Bill", de "Al", et de tous les milliardaires et millionnaires de la planète qu'ils renoncent à leurs jets privés "pour sauver la planète".
Donc, moralité : "Pour sauver la planète, il faut faire des efforts" qu'on peut traduire par "Les gueux, en raison de l'effondrement des réserves fossiles, doivent se serrer la ceinture pour que les oligarques puissent continuer comme avant".
Après, une question se pose : « Nous ne pouvons pas attendre de 8 milliards d’humains qu’ils disent qu’ils ne veulent pas d’une vie agréable pour sauver la planète », Carsten Schradin, directeur de recherche au CNRS.
Qu'appelle t'on "une vie agréable" ? Saint Augustin, disait que le bonheur c'est de "continuer à désirer ce que l'on a".
Le matraquage médiatique n'est pas que le réchauffisme, le "danger fasciste", ou le covid, mais c'est aussi, le voyage, à tous crins. Et cette année, qu'est ce que tu fais ? Qui n'a pas entendu cette question ? Chaque année, aux vacances, il "faut faire", une destination. Fabrique du désir, entrée dans les moeurs. La retraitée qui vend en viager donne le "la" aussi. Si elle vend, c'est pour "profiter de la vie", et "faire des voyages et des croisières", parce que le salarié ou la retraité qui ne "font pas", sont des ploucs et des moins que rien.
On définit le bonheur "comme un état d’accomplissement atteint lorsqu’un homme satisfait tous ses désirs". Comme les désirs sont illimités, le bonheur du posséder n'est jamais atteint. Il faut toujours faire plus.
Les jocrisses amateurs de ceci ou de cela, sont dans l'optique du toujours plus, et de la jalousie sociale, comme disait le Néarque d'Astérix. Ces groupes de retraités, jadis parlaient de choses et d'autres. Aujourd'hui ils parlent de leurs voyages, et la pression sociale du groupe invite beaucoup de gens à les faire. Même si ça les emmerde (ce qui est fréquent). Quand aux salariés, qui n'a pas vu ces gens épuisés d'être partis ? Mécontents, aigris, mais qui remettront ça parce que c'est ce qu'on fait.
Pareil pour certaines choses. Une chaine de télé, puis 2. Puis 3... Puis 200... Alors que le temps d'écoute n'est pas extensible...
Lutte des classes aussi. Dans bien des copropriétés, les anciens propriétaires refusent les travaux d'économies d'énergies, parce que EUX, n'auront pas de retour sur investissement.
Un ami m'a dit, qu'il avait été à Cuba, société largement post pétrolière ou du moins, à un étage nettement en dessous du notre. Les gens étaient instruits, parlaient plusieurs langues, avaient une culture impressionnante et semblaient heureux. Leurs besoins de base étaient somme toute couverts. Ici, on a des bougistes éternellement insatisfaits. Et souvent totalement abrutis, qui ne connaissent même pas la littérature française, que les cubains leur citeraient en français. Pour l'abruti de base en France, il va en CFA, ne sait (ou sait à peine) lire, écrire, compter et est incapable de suivre une consigne simple. Il a une excuse, il n'a fait que 14 ou 15 ans d'école, où l'on a amplement rempli la mission de base : ne rien lui apprendre du tout.
Fossé avec biens des classes populaires, avides au sortir de l'alphabétisation, de lire tout ce qui lui tombait sous la main. C'est quoi pour un chercheur du CNRS une vie agréable ?
La fabrique du consentement, c'est aussi de créer des "besoins", totalement spécieux et artificiels, qu'on "satisfait", en disant "voyez comme on est bien et démocrate ici".
Débilisation aussi du monde politique. Les californiens ont deux saisons, une sèche et une humide, qui remplit les barrages. Le gouvernement californien n'a rien trouvé de mieux pour sauver 1000 saumons que de vider les réserves accumulées en période humide. Maintenant, il n'y a plus qu'à chanter "réchauffement climatique, réchauffement climatique"...